Jean Valjean Noyade

haussa les épaules. – L'étain a une odeur. – Alors, des couverts de fer. Madame Magloire fit une grimace expressive. – Le fer a un goût. – Eh bien, dit l'évêque, des couverts de bois. Quelques instants après, il déjeunait à cette même table où Jean Valjean s'était assis la veille. Tout en déjeunant, monseigneur Bienvenu faisait gaîment remarquer à sa sœur qui ne disait rien et à madame Magloire qui grommelait sourdement, qu'il n'est nullement besoin d'une cuiller ni d'une fourchette, même en bois

pour critiquer l’homme et la justice. On pourra ainsi étudier dans un premier temps, le jugement personnel de Jean Valjean, derrière laquelle on verra se développer, dans un deuxième temps, sa condamnation par la société. D’entrée, notre personnage principal de cet extrait, nous exprime ses sentiments face à la punition qu’il subit. Tout d’abord Jean Valjean se reconstitue le tribunal le jour de son jugement et il se remet en question par ses actes commis comme le

en arrières. Plus particulièrement l'année où il avait été condamné au bagne pour avoir volé un misérable pain. Puis le visage de Monseigneur Bienvenu lui apparut à l'esprit. Nette, dressée dans son esprit comme un portrait minutieusement détaillé. Jean Valgean se sentit envahie d'un sentiment étrange. C'est comme si il revivait ce moment une nouvelle fois. Comme il avait été bon et brave avec lui songea-t-il. Il se surpris à se sentir des années après ,encore honteux de l'avoir tromper ainsi. Il

votre compréhension, au revoir. ^^ A ce que je vois le document est trop court, voici donc un copier/coller d'un résumé du livre des Misérables (extrait du site Wikipédia) "" Dans ce tome s'entremêlent les deux destinées de Fantine et de Jean Valjean. Le livre s'ouvre sur le portrait long et détaillé de monseigneur Myriel, l'évêque du diocèse de Digne, où il vit très modestement en compagnie de sa sœur Baptistine et d'une servante, Madame Magloire. Ce religieux est un juste qui se contente

barricade de la rue de la Chanvrerie, pendant l'Insurrection républicaine à Paris en juin 1832, en tentant de récupérer des cartouches non brûlées pour ses camarades insurgés et en chantant une célèbre chanson qu'il n'a pas le temps d'achever (Tome V. Jean Valjean – Livre Premier : La Guerre entre quatre murs – Chapitre 15. Gavroche dehors) : On est laid à Nanterre, C'est la faute à Voltaire, Et bête à Palaiseau, C'est la faute à Rousseau. Je ne suis pas notaire, C'est la faute à Voltaire, Je

livre sur Jean Val Jean ? V.Hugo- (en se frottant le menton) J’ai toujours trouvé que les personnages avec les mêmes Caractéristique que Jean Valjean n’étaient pas assez mis en valeur dans les romans. Journaliste- Je comprends. Maintenant, pourquoi avoir appelé votre personnage Jean Valjean V.Hugo- Humm… ce n’est pas la première fois que l’on me pose cette question . Mais j’ai choisi de l’appeler ainsi car je voulais rappeler ses origines rustiques avec un nom simple tel que Jean valjean. Journaliste-

mensonger ; mythe ; légende ; fantaisie, fantaisiste ; illusion ; conte A)  Une grande liberté pour le créateur - Certains romans ont une portée sociale (Germinal de Zola). - varier les types de personnages : les bons et les méchants s’opposent (Jean Valjean et Javert dans Les Misérables), l’auteur peut choisir des personnages proches de la réalité ou fantaisistes (comme les animaux dans les fables). - varier les registres - faire rire, dénoncer, simplifier, grossir, critiquer, la fiction semble parfois

que cela ne se peut pas. Enfin, il y a bien des choses que je ne puis pas dire, je ne vais pas vous racontez ma vie, un jour, on saura. J’ai volé Mgr Myriel, cela est vrai ; j’ai volé Petit-Gervais, cela est vrai. On a eu raison de vous dire que Jean Valjean était un malheureux très méchant. Toute la faute n’est peut-être pas à lui. Ecoutez, messieurs les juges, un homme aussi abaissé que moi n’a pas de remontrance à faire à la providence ni de conseil à donner à la société ; mais, voyez-vous, l’infamie

Rédaction Sujet Avant de délivrer Javert, Jean Valjean lui raconte son parcours et lui explique son cheminement moral. Ecrivez le dialogue entre les deux hommes. Quelques conseils N’oubliez pas la présentation et la ponctuation du dialogue. Faites varier les verbes de parole et leur place. Interrompez parfois le dialogue par de la narration ou de la description (gestes et expressions des personnages, ton sur lequel ils parlent…) Respectez l’histoire et le caractère des personnages (par exemple

les Thénardiers pour toi ? C : Ce sont des hypocrites chez qui ma mère m'a abandonner et qui m'ont réduit en esclavage. G : Pourquoi t'es tu enfuis ? C : Je ne me suis pas enfuis, c'est un certain Jean Valjean qui m'a adopté ou plutôt sauvé de cet enfer. G : Quel lien avais-tu avec Jean Valjean à cette époque ? C : C'était pour moi une sorte de sauveur, un père adoptif. G : Je laisse la parole à mon collègue pour la 2eme partie. Son amour : A : As-tu un amoureux ? C : Oui, j'en ai un