Jean Vigo

PLAN DETAILLE : Le Savetier et le Financier, Jean de La Fontaine, 1678 Introduction : Jean de La Fontaine, est un fabuliste qui marqua l’histoire littéraire par son œuvre les Fables. Cet auteur classique cherche par le biais de son art à corriger les travers de la société de son temps. Dans cette fable d’une morale implicite et complexe, contrairement à son habitude de mettre en scène des animaux, Jean de La Fontaine compare deux personnages opposés à travers les rapports qu’ils entretiennent avec

Belle et la Bête », mise en scène par William Mesguich  - « Les histoires de la Belle et la Bête racontées dans le monde », par F.Morel et G.Bizouerne. Interdisciplinarité : - En Art visuel : « La Belle et la Bête » de Jean Cocteau - En Education civique : le conte se prête à des échanges sur le thème de l’exclusion, de la différence et du respect de l’autre

et surtout va les balayer en une phrase : « Mes enfants trouveront assez d'autres repas. » (v 21). C'est donc un refus méprisant que le chat oppose au plaidoyer de la souris. III- L'ironie du fabuliste A un 1er niveau nous pourrions penser que Jean de la Fontaine donne raison a la brutalité contre la ruse, en fait plusieurs éléments donnent a penser que le fabuliste ironise sur ses personnages et renvois dos à dos l'attitude et la mentalité qu'incarne chacun d'eux. Premièrement,la satyre de la

1. BIOGRAPHIE François CLOUET est le fils du célèbre artiste portraitiste à qui on doit la Catherine de Médicis : Jean CLOUET, artiste de François II et Charles IX. François CLOUET est un artiste français de la renaissance. Il continua les œuvres de son père pour l’exécution des portrais mais poussant d’avantage son travail notamment dans des tableaux galant, réalisant de simple esquisses au rang de portrait ou dessin. Maître de sa technique "maniériste", l’artiste est un perspicace « médiateur

Mérope). De cette énumération d'exemples, il ressort bien que la langue est divisée selon un schéma hiérarchique, à l'image de la société. La richesse poétique de ce quotidien est aveuglée par l’habitude, c’est notamment ce que démontre Jean Cocteau dans « Le Secret professionnel ». L’homme n’attache pas d’importance aux choses qu’ils l’entourent tous les jours, avec le temps, il ne les voit même plus : « Tout ce qu’ils présentent de spécial, de fou, de ridicule, de beau nous accable.

Eléments biographiques et présentation de la pièce Genet voit le jour à Paris, en 1910 de père inconnu et de Camille Gabrielle Genet qui l’abandonne sept mois plus tard. Il devient pupille de l’Assistance publique et est placé dans une famille d’accueil. A dix ans, il est placé en maison de correction. En 1926, à la suite de plusieurs fugues, arrestations et emprisonnements, il est conduit dans une colonie pénitentiaire agricole. Il suivra ensuite une carrière militaire, de 1929 à 1936

même du stade et à l’extérieur de ce dernier alors que le principe même du football est l’esprit d’équipe, le respect de l’autre, le fairplay ? Plusieurs raisons peuvent expliquer ces faits. La première est d’origine socio culturelle : c’est ce que Jean Yves Huchet nous explique dans son article « l’impuissance ou la gloire » : ces supporters effrénés appelés hooligans sont prêts à se battre, voir à mourir pour défendre leur équipe préférée, défendre leur honneur, leur réputation, leur territoire :

Phèdre ____________ Thésée ____________ Antiope l Hyppolite Tirade de Thésée (longue réplique), 5 actes, ALEXANDRINS, rimes suivies (AABB) -> Pièce classique -> Mythologie grecque. Phèdre aime Hyppolite. Hyppolite aime pas Phèdre. Phèdre dis a

commentaire composé est tiré du roman « Pierre et Jean » de Guy de Maupassant (1850-1893), écrit en 1887 et publié en Janvier 1888 aux éditions Ollendorf. Maupassant a fortement marque la littérature française car il captive l’attention de ces lecteurs avec des écrits qui font toujours preuve de beaucoup de réalisme, de fantaisie et de pessimisme, ce qui est rare et choquant pour la bourgeoisie de l’époque. On retrouve tous ces aspects dans le roman Pierre et Jean ainsi que les thèmes fétiches  de Maupassant

qu´une ombreIls ne devaient jamais plus revoir un étéLa fuite monotone et sans hâte du tempsSurvivre encore un jour, une heure, obstinémentCombien de tours de roues, d´arrêts et de départsQui n´en finissent pas de distiller l´espoirIls s´appelaient Jean-Pierre, Natacha ou SamuelCertains priaient Jésus, Jéhovah ou VichnouD´autres ne priaient pas, mais qu´importe le cielIls voulaient simplement ne plus vivre à genouxIls n´arrivaient pas tous à la fin du voyageCeux qui sont revenus peuvent-ils être heureuxIls