Jean Vilar Dom Juan

364 365 365 366 366 368 369 370 CONTENTS xvii 371 372 372 373 373 374 375 375 376 376 377 378 379 380 381 382 382 383 386 386 388 388 389 390 391 392 393 394 395 396 397 399 401 401 402 402 403 403 404 Institutional developments The CDNs Vilar Barrault Planchon Playwrights of the 1960s Gatti Arrabal Theatre since 1968 Boulevard and mainstream La création collective Directors and playwrights Sarraute and Duras Playwrights since the 1970s Théâtre du quotidien Koltès and Vinaver Conclusion

Marcel J. Mélançon Philosophe, professeur chercheur en bioéthique Université du Québec à Chicoutimi (1976) Albert Camus Analyse de sa pensée Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, bénévole, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jean-marie_tremblay@uqac.ca Site web pédagogique : http://www.uqac.ca/jmt-sociologue/ Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://classiques.uqac.ca/ Une collection développée

| |Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, bénévole, | |professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi | |Courriel: jean-marie_tremblay@uqac.ca | |Site web pédagogique :

| |Un document produit en version numérique par Jean-Claude Bonnier, bénévole, | |professeur d'histoire et d'économie au Lycée de Douai, | |dans le département du nord de la France | |Courriel: Jean-Claude.Bonnier@wanadoo.fr

A son brevet. SUZANNE : Déjà ? La COMTESSE : C'est ce que je disais. Est-ce là ma baigneuse ? SUZANNE s'assied près de la Comtesse. Et la plus belle de toutes. ( Elle chante avec des épingles dans sa bouche. ) Tournez-vous donc envers ici, Jean de Lyra, mon bel ami. ( Chérubin se met à genoux. Elle le coiffe. ) Madame, il est charmant ! La COMTESSE : Arrange son collet d'un air un peu plus féminin. SUZANNE l'arrange. Là. Mais voyez donc ce morveux, comme il est joli en fille ! j'en

d’une pièce à l’autre, en dépit des difficultés, sa foi en l’homme et ne remet pas fondamentalement en cause les caractères traditionnels du théâtre classique qu’il mêle de manière divertissante avec quelques traits du théâtre de boulevard. En 1947, Jean Vilar crée le Festival de théâtre d’Avignon ; en 1951, on lui donne la direction du T. N. P, le Théâtre National Populaire : on croit à la mission civilisatrice et sociale du théâtre, que l’on veut populaire et décentralisé, capable d’aller au devant

pièce à l’autre, en dépit des difficultés, sa foi en l’homme et ne remet pas fondamentalement en cause les caractères traditionnels du théâtre classique qu’il mêle de manière divertissante avec quelques traits du théâtre de boulevard. En 1947, Jean Vilar crée le Festival de théâtre d’Avignon ; en 1951, on lui donne la direction du T. N. P, le Théâtre National Populaire : on croit à la mission civilisatrice et sociale du théâtre, que l’on veut populaire et décentralisé, capable d’aller au devant

d’une pièce à l’autre, en dépit des difficultés, sa foi en l’homme et ne remet pas fondamentalement en cause les caractères traditionnels du théâtre classique qu’il mêle de manière divertissante avec quelques traits du théâtre de boulevard. En 1947, Jean Vilar crée le Festival de théâtre d’Avignon ; en 1951, on lui donne la direction du T. N. P, le Théâtre National Populaire : on croit à la mission civilisatrice et sociale du théâtre, que l’on veut populaire et décentralisé, capable d’aller au devant

d’affaires israélien à Paris. Osera-t-on, comme les Britanniques, expulser des diplomates israéliens ? (Lire la suite page 11.) (1) Lire, entre autres, Claude Angeli, « Kouchner fait profil bas en Israël », Le Canard enchaîné, Paris, 25 juin 2008 ; Jean-Pierre Perrin, « La France humiliée par Tsahal», Libération, Paris, 25 juin 2009; Gilles Paris, « Le 15 juillet à Gaza », Le Monde, 17 juillet 2009. P A R G I L L E S F AVA R E L - G A R R I G U E S , THIERRY GODEFROY ET PIERRE LASCOUMES * JAN

page est lisible. Cependant à une sorte d’inquiétude dans l’esprit, à ce haut-le-cœur très proche de la nausée, au flottement qui me fait hésiter à écrire… la réalité est-elle cette totalité de signes noirs ? tel-00411828, version 1 - 30 Aug 2009 Jean Genet, Un captif amoureux 2 Dédicace A mon neveu Highname et ma nièce Rima Mes parents Le poète Adonis Oussama Ghanam et Marie Elias Laurent Papot et Séverine Chavrier Houssein Seddik et Mossadak AL Khatib Pia Butterbach et Mohamad Al Cheik