Jelly Roll Morton

in: Ethnomusicology, 12 (1968), S. 373-396; Jürgen Hunkemöller: Jazz, in: Handbuch der musikalischen Terminologie, hrsg. von Hans Heinrich Eggebrecht, 1976). Als Gattungsbegriff wird das Wort von Musikern zum Teil dezidiert befürwortet (z.B. Jelly Roll Morton) oder wegen seiner musikalischen Eingrenzung abgelehnt (z.B. Duke Ellington, Miles Davis). Trotz verschiedener Versuche, Ersatzbegriffe zu etablieren oder beispielsweise einzelne Stilbegriffe wie "Swing" oder "Bebop" in Opposition zum Terminus

musiciens, des artistes de jazz, vont connaître la célébrité. LE JAZZ NOUVELLE ORLEANS Le Jazz New Orleans est le Jazz des origines. On l'appelle aussi Jazz classique. Il est né à la Nouvelle-Orléans avec Bunk JOHNSON, Freddie KEPPARD, Jelly Roll MORTON, King OLIVER, Louis ARMSTRONG, Johnny DODDS, Fats WALLER, Sidney BECHET, Milton MEZZROW, Coleman HAWKINS, Earl HINES... Un important chapitre est consacré aux clarinettistes de ce style et notamment à Sidney BECHET. Le jazz s'est déplacé ensuite

fermé pour des raisons sanitaires. Une fois fermé, tous ceux qui y gagnaient leur vie et y travaillaient (musiciens, prostituées et clients) vont monter vers le nord, le long du Mississippi. Des grandes figures du Jazz y ont joué : le pianiste Jelly Roll Morton et le trompettiste Buddy Bolden. L’atmosphère du quartier est libérale. On peut y entendre des musiques afro-américaines, mais aussi des musiques françaises et espagnoles. Surtout, la ville est en majorité catholique (à l’inverse des états

cette technique totalement aboutie dans des pièces telles Central Park in the Dark. * Clusters Les clusters existent depuis le début du XXe siècle en tant qu’éléments centraux de certaines pièces de ragtime composées par Scott Joplin ou Jelly Roll Morton. En ce qui concerne la musique dite classique, ils furent introduits par Leo Ornstein, Henri Cowell et Charles Ives. Cependant, l’histoire retiendra surtout les deux premiers en tant que pionniers étant donné que les pièces d’Ives ne furent créées

temps en jouant mais se réfèrent inconsciemment à des motifs rythmiques superposés au tempo de basse qui fournissent une ossature à leurs phrases mélodiques. Jelly ROLL MORTON est un des premiers musiciens de la Nouvelle-Orléans à employer l’attitude rythmique issue des Caraïbes. Voici avec l’exemple The Chant. ♫ Piste n°3: ROLL MORTON « The Chant ». 2. Le ragtime. On peut affirmer que la « forme ragtime » a servi de fondement à la naissance du jazz. Mais le style « ragtime » n’est pas du

serait alors la troisième source essentielle du Jazz, aux côtés du spiritual et du blues. L'un des premiers musiciens a se dégager des contraintes de l'interprétation du rag imposée par le compositeur et à adopter une approche plus libre fut Jelly Roll Morton (1885-1941), de son vrai nom Ferdinand Joseph Lamothe, un pianiste et chanteur. Ce fut également l'un des musiciens les plus importants du début de la tradition néo-orléanaise et il en était conscient, peut-être même un peu trop « J'ai inventé

musicales. Ainsi, le ragtime et le jazz de la Nouvelle Orléans se popularisent dans tous les États-Unis. Ce sont les premières formes de musique noire à percer dans l’Amérique blanche, avec des pionniers comme Scott Joplin, le « Roi du Ragtime », Jelly Roll Morton, Ma Rainey ou W.C. Handy, le « Père du Blues », qui inaugurent le chemin de la notoriété qui sera suivi par plusieurs autres artistes. Cependant, l’acceptation de cette musique est également due aux reprises qu’en font certains artistes

Enrique Hindemith, Paul Holst, Gustav Honegger, Arthur Ives, Charles Janacek, Leos Johnson, Bunk (jazz) Keppard, Freddie (jazz) Kern, Jerome Kodaly, Soltan Martinu, Bohuslav Messiaen, Olivier Milhaud, Darius Morton, Ferdinand Joseph La Menthe ou La Mothe, dit Jelly Roll (jazz) Oliver, Joe Oliver, dit King (jazz) Ory, Edward, dit Kid (jazz) Porter, Cole Poulenc, Francis Prokofiev, Sergueï Serguéïevitch Rachmaninov, Sergheï Vassilievitch Ravel, Maurice Roussel, Albert Schoenberg

lesquelles l’image du revolver est utilisée métaphoriquement pour désigner le micro. Le micro se transforme en arme à feu, la scène devient le lieu de meurtres imaginaires, et les couplets servent de balles à charge creuse. En son temps le pianiste Jelly Roll Morton n’affirmait-il pas déjà : "Nos mélodies(...) c’étaient nos armes." ? Et pour les musiciens de jazz l’instrument prend le surnom peu amène de hache (axe), car il servait à « couper » l’autre dans ces joutes musicales qui firent florès à

of them, Toni Morrison (1931- ), author of Beloved and other works, won the Nobel Prize for literature in 1993, only the second American woman to be so honored. Chapter Eleven EXPORTING POPULAR CULTURE Baseball, basketball, movies, jazz, rock and roll, and country music Mickey Mouse, Babe Ruth, screwball comedy, G.I. Joe, the blues, "The Simpsons," Michael Jackson, the Dallas Cowboys, Gone With the Wind, the Dream Team, Indiana Jones, Catch-22 -- these names, genres, and phrases from American sports