Jeu De L Amour Et Du Hasard Relation Maitre Valet

"Le Jeu de l'Amour et du hasard", Acte I, scène I, Marivaux, 1730 (Objet d'étude : Théâtre) Introduction : Marivaux est un écrivain français du XVIIIème siècle, siècle des Lumières qui voit l'émergence de revendications de la liberté ainsi que de l'égalité des hommes entre eux. Celles-ci poussent Marivaux à traiter des thèmes tels que la liberté d'aimer ou la redéfinition des relations maîtres/valets. Il écrit pour les comédiens italiens dont il apprécie le jeu plein de fantaisie, explore et renouvelle

Marivaux la plus jouée avec Le jeu de l’amour et du hasard . On y retrouve les grands thèmes qui firent le succès de ses comédies précédentes : le mariage, la ruse, l’amour impossible. L’histoire qui court sur trois actes, est extrêmement simple, comme si le dramaturge avait cherché a produire un concentré d’expérimentations théâtrales. Cette brièveté ne met que d’avantage en avant les ruses et les stratagèmes mis en place par un valet futé, soucieux de satisfaire les ambitions

Dans les comédies antiques, le valet est un esclave ou un parasite. Plus tard, inspiré de la comédie italienne, il va devenir un être rusé, espiègle, préoccupé de nourriture, boissons, argent. Il occupe donc plusieurs rôles : · rôle comique par sa naïveté, ou sa grossièreté, par son habit, son comportement – (goinfre, ivrogne, paillard…). Sganarelle · rôle de faire-valoir – il valorise son maître plus fin, plus intelligent – Sganarelle chez Dom Juan· rôle d’auxiliaire

voisin M. Robert essaie de prendre la défense de Martine mais elle protège son mari car elle va se venger des coups que Sganarelle lui donne. Pendant ce temps, deux domestiques, Valère et Lucas, cherchent un médecin pour soigner la fille de leur maître qui est devenue muette. Le plan de Martine est de faire passer son mari pour un médecin qui résout tout. S’ensuivent des quiproquos entre Valère, Lucas et Sganarelle. Les deux domestiques lui donnent des coups de bâton comme l’a dit Martine pour qu’il

Introduction Amorce : Le théâtre, par ses artifices matériels et ses conventions, semble nous écarter du réel et de la vérité. Les termes jeu etjouer indiquent bien ce côté factice et illusoire. Problématique : Mais le théâtre n'est-il qu'artifice et conventions, ou l'illusion théâtrale dévoile-t-elle la vérité ? Annonce du plan : S'il n'est pas « le pays du réel » (Hugo), le théâtre ne dépasse-t-il pas l'artifice pour nous conduire par des détours à ce que Hugo appelle « le vrai » ? I. Le théâtre :

Introduction Amorce : Le théâtre, par ses artifices matériels et ses conventions, semble nous écarter du réel et de la vérité. Les termes jeu et jouer indiquent bien ce côté factice et illusoire. Problématique : Mais le théâtre n'est-il qu'artifice et conventions, ou l'illusion théâtrale dévoile-t-elle la vérité ? Annonce du plan : S'il n'est pas « le pays du réel » (Hugo), le théâtre ne dépasse-t-il pas l'artifice pour nous conduire par des détours à ce que Hugo appelle « le vrai » ? I. Le théâtre

mal employé empoisonne les relations familiales. Cléante, à la merci de son emprunteur, obligé d’accepter les conditions exorbitantes du prêt, exprime sa rancœur : « Voilà où les jeunes gens sont réduits par la maudite avarice des pères ; et on s’étonne, après cela, que les fils souhaitent qu’ils meurent. » La crudité d’un tel aveu ne relève pas vraiment de la comédie. Prononcé sous l’effet de la colère, il n’en reste pas moins inquiétant. En effet l’intermédiaire, maître Simon, révèle par la suite

du : 29/07/14 statut: 81 7FR10CTPA0314 Objet d’étude : Le texte théâtral et sa représentation, du XVIIe siècle à nos jours Question (4 points) Que peut-on dire dans ces trois extraits de la relation entre maîtres et valets ? Vous répondrez à cette question en étant attentif à l’évolution de cette relation dans la comédie, de l’Antiquité au XXe siècle. Conseils de méthode pour la question - Lisez attentivement la question (en relevant les mots-clés et en réfléchissant à la réponse attendue) puis

sur un schéma classique (un canevas) sur lequel les acteurs improvisent. Leur jeu est essentiellement physique. Les comédiens jouent masqués, chaque masque représentant un personnage : Pantalon (vieillard amoureux cherchant à empêcher l'Amoureux et l'Amoureuse de s'aimer), le Dottore (pédant prétentieux), le Capitan (soldat fanfaron), le valet (Brighella, le valet sérieux, rusé, intelligent ou Arlequin, le valet gouailleur, grossier, fainéant). La Tragédie classique : on parle de tragédie

très jeune femme ne font pas de notre auteur un parangon de constance. Quant à Mozart, génie de la musique, il invente des personnages qu’il met en action accompagné de mots et de situations. C’est ainsi que Mozart donne naissance à un jeu de théâtre ; jeu de chant, jeu de la rencontre entre la parole et la musique. Il n’abandonnera jamais le mot, il accordera constamment la même attention au texte qu’il doit traiter, intervenant, décidant et retravaillant l’ouvrage pour qu’il se plie à la nécessité