Jeune Fille Devant Un Miroir

Charles Dogson, ne s’imaginait sans doute pas que son livre deviendrait un classique de la littérature enfantine. Enseignant mathématicien de son état, il publia en 1865, pour sa jeune amie Alice Liddell, les aventures de son homologue plongée dans un univers fantastique et lui donna une suite en 1874 : De l’autre côté du miroir et ce qu’Alice y trouva. Depuis lors, les deux ouvrages font l’objet de nombreuses récritures et adaptations. Tandis que le dessin animé Alice in Wonderland réalisé par Disney

dans une huile siccative. Description du tableau : Deux sources de lumières éclairent la scène : un lustre et la lumière du jour visible à travers une fenetre . Les époux sont en train de se marier . La présence des témoins visibles dans le miroir dont le peintre lui-même ainsi que sa signature" Johannes de Eyck fuit hic 1534" (Jan Van Eyck fut ici; 1534). La signature fait ici office de certificat de mariage. Sainte Marguerite, patronne des naissances semble donner sa bénédiction aux nouveaux

Elle avait deux filles de son humeur, et qui lui ressemblaient en toutes choses. Le mari avait de son côté une jeune fille, mais d'une douceur et d'une bonté sans exemple; elle tenait cela de sa mère, qui était la meilleure femme du monde. Les noces ne furent pas plus tôt faites, que la belle-mère fit éclater sa mauvaise humeur; elle ne put souffrir les bonnes qualités de cette jeune enfant, qui rendaient ses filles encore plus haïssables. Elle la chargea des plus viles occupations de la maison:

- Il est un adepte du miroir et de la balance. - Il essaie de combler par la nourriture un manque affectif (défaillance dans la relation à la Mère).                   Dépression     - A l'adolescence, caractérise la phase transitoire. La bande ne suffit pas et même l'ami intime ne peut pas comprendre. C'est dans son journal intime qu'il écrit son incompréhension, son angoisse devant la vie. - L'adolescent voit

dans une grange, et le narrateur parle d'une truie qui vient de donner bas, mais on dirait qu'il parle d'une femme. Quelque chose comme peut-être des météorites des flèches en feu tue les cochons et met le feu à la grange . Tout est en feu, une jeune fille sort du poulailler, elle est couverte de coquille et de jaune de elle est très sale. Elle n'entend pas sa famille. Elle cherche son fils qui est censé pleurer parce qu'il a faim mais elle n'entend rien. Lorsqu'elle arrive près du bâtiment, elle

à la lumière de cette définition que nous allons relire Le pagne noir de Bernard Dadié pour y noter la place donnée au dialogue et à la vie en commun. | | | |« La famine donc était au village », nous dit la première fable du recueil, « le miroir de la disette ». Et Kakou Ananzé n’échappe pas au « sort commun » [2]. Tout | | | |au long de l’ouvrage, l’individu est ainsi partie d’un tout ; il est enraciné ; il a son village - le mot est mentionné quatre-vingt-quatre fois en 158 pages.

extrait, il s’attarde sur le cas de Fantine, femme du peuple qui se bat pour subsister et assurer un avenir à sa fille. Nous allons nous demander comment, à travers ce personnage féminin, l’auteur dénonce le sort des femmes du peuple au XIXe siècle. Il nous décrit tout d’abord la déchéance de Fantine puis se pose en juge de la société, responsable, selon lui, de la misère de la jeune femme. Nous pouvons nous apercevoir que Fantine est victime de la déchéance et vit dans la misère. Cette misère

chambre d'enfant ou tout simplement d'adolescente qui expose toujours ces doudous, car il est attachée. Cependant ces deux images ne restent pas plus d'une seconde, tout s'enchaine. Une adolescente en sous vêtement fait place a l'image et devant elle un miroir. Elle se regarde mais rien de plus. On peut apercevoir dans son visage de la tristesse. Elle se touche la hanche et son regard montre le désespoir. Par la suite on peut voir ses jambes. Cela se voit qu'elle est mal dans sa peau; mais tout adolescent

tachèrent la neige. Voyant cela, la reine émit le souhait d’avoir une fille au teint de neige, les lèvres rouges comme le sang et les yeux et les cheveux aussi noirs que les montants de la fenêtre. Elle mourut peu de temps après avoir mis au monde Blanche-Neige. Le roi se remaria avec une mégère vaniteuse qui possédait un miroir magique et qui se vantait d’être la plus belle. Lorsque Blanche-Neige devint plus belle qu’elle dit le miroir, la reine devint jalouse d’elle et ordonna à un garde de la tuer

sa main gauche la main de la femme tandis qu’il lève la main droite, dans un geste qu’il nous faudra tenter d’interpréter. A y regarder de plus près, le couple n’est pas seul dans la pièce : deux autres personnes se tiennent devant lui, comme le montre leur reflet dans le miroir placé derrière l’homme et la femme. Le tableau, par son traitement pictural, son sujet et sa composition marqua un tournant dans l’histoire de la peinture européenne. Précisons. Jan van Eyck (et son frère Hubert) n’a pas