Jil Sander

nouvelle. Et d'Honoré de Balzac (La Maison du chat-qui-pelote, Contes drolatiques) à Gustave Flaubert(Trois contes), de Victor Hugo (Claude Gueux) à Stendhal (Chroniques italiennes), d'Alfred de Musset à Barbey d’Aurevilly (Les Diaboliques), de George Sand (Nouvelles) à Zola(Contes à Ninon), il n’est guère de romancier d’importance qui n’ait écrit de nouvelles, et même de recueil de nouvelles. Certains, comme Prosper Mérimée, Jean de La Varende,Guy de Maupassant qui en a écrit plus de trois cents5 dans

Elargissement Spacio-temporel; Gout pour l'idéal; Elevation du statue. Roman exotique : Paul et Virginie, Bernardin de Saint-Pierre Roman Historique : Les trois mousquetaire, Dumas Roman fantastique : Frankenstein, Mary Shelley Roman : Indianna, George Sand Drame romantique : On ne badine pas avec l'amour, Musset Poésie : Demain dès l'aube Les contemplations, Hugo

publication de nouvelles qui vont établir sa réputation. En 1831 Grâce à diverses protections, Mérimée entre dans la haute administration. Il est nommé chef de cabinet du Comte d'Argout, Ministre du Commerce. Mérimée a une liaison éphémère avec George Sand  Il publie La Double Méprise. En 1833. Mérimée publie Arsène Guillot, une nouvelle dans La revue des Deux Mondes. Il est reçu à l'Académie française en 1844 Mérimée est emprisonné 15 jours à la Conciergerie pour l'affaire Libri. Il avait défendu

adultère. En 1846, rencontre de Louise Colet qui devient sa maîtresse. Dans l’année 1951,sa correspondance devient plus littéraire, jusqu’à la rupture, en1854, il commence aussi Madame Bovary. En 1863, Débute une amitié et une correspondance avec George Sand, jusqu’à sa mort en 1876. En 1877, Les Trois Contes sont publiés. En 1880, il meurt subitement Le genre : le livre madame bovary est un roman Le cadre : en septembre 1851, Gustave Flaubert, plein de doutes et d’incertitudes, commence la rédaction

masculin de George Sand afin de faire valoir sa liberté d’expression. Elle excelle surtout sur le fait qu’elle exprime à travers ses œuvres le pouvoir et le droit de la femme du XIXe siècle. // Le personnage de Marie dans cet œuvre, est perçu comme une jeune fille autonome et débrouillarde qui n’a besoin d’aucune aide de la part de Germain. Elle lui démontre et favorise un rapport d’égal à égal avec lui. // Il sera donc intéressant de développer à partir de La mare au Diable de George Sand sur l’idéalisation

sous le titre d'Un spectacle dans un fauteuil (1832). C'est entre 1833 et 1837 que se situe la période la plus féconde d'Alfred de Musset, production exacerbée par les souffrances vécues lors de la liaison passionnée et douloureuse qu'il a avec George Sand, de 1833 à 1835. Il écrit notamment à cette époque les pièces suivantes : Les Caprices de Marianne, Fantasio, On ne Badine pas avec l'Amour, Lorenzaccio, le Chandelier, Il ne faut jurer de rien, Un caprice. Les poésies des Nuits et La Confession d'un

comme l’âge de l'essor de la nouvelle. Et d'Honoré de Balzac (Contes drolatiques) à Gustave Flaubert (Trois contes), de Victor Hugo (Claude Gueux) à Stendhal (Chroniques italiennes), d'Alfred de Musset à Barbey d’Aurevilly (Les Diaboliques), de George Sand (Nouvelles) à Zola (Contes à Ninon), il n’est guère de romancier d’importance qui n’ait écrit de nouvelles, et même de recueil de nouvelles. Certains, comme Prosper Mérimée, Jean de La Varende et surtout Guy de Maupassant, avec dix-huit recueils publiés

Madame Bovary, L’Éducation sentimentale. Stendhal (1783-1850) : Le Rouge et le Noir, La Chartreuse de Parme. Balzac, Honoré (1799-1850) : La Comédie humaine (91 romans). Maupassant, Guy (1850-1893) : Pierre et Jean, Une Vie, Bel-Ami. Sand, George (1804-1876) : La Mare au diable.

La mare au diable de George Sand - résumé |[pic] | |Résumé - La Mare au diable | |Anti-copie - Résumé et fiche de lecture - La mare au diable - George Sand | |

milieu de rude besogne et de misère où ils vivent. » La question sociale à cette époque se retrouvait déjà dans les romans de George Sand ou dans Les Misérables de Victor Hugo. La nouveauté de L’Assommoir ne consiste donc pas dans la représentation du bas peuple. Ce qui est nouveau ici, c’est moins la présence que « l’odeur » authentique du peuple. Chez Hugo, chez George Sand, la pitié ou le style atténuaient du moins la laideur du réel. Ici, tout au contraire, l’auteur évoque l’avachissement des personnages