Jil Sander

juillet 1852) ▪ « Je regarde comme très secondaire le détail technique, le renseignement local, enfin le côté historique et exact des choses. Je recherche par-dessus tout, la Beauté, dont mes compagnons sont médiocrement en quête. » (à George Sand, décembre 1875) ▪ « Il ne s'agit pas seulement de voir, il faut arranger et fondre ce que l'on a vu. La Réalité, selon moi, ne doit être qu'un tremplin. Nos amis sont persuadés qu'elle constitue tout l'Art. » ("nos amis" = Daudet, E. de Goncourt

George Sand écrit et publie sous ce nom qui deviendra à jamais le sien, Indiana fut surtout son premier grand succès. Dès sa publication en 1832, il est reçu avec enthousiasme dans la sphère littéraire et contribue à élever Sand au rang des meilleurs auteurs du XIXe siècle. Très vite, les critiques comparent la romancière à Balzac, Stendhal, ou encore Lamartine[1]. Toutefois, se différenciant de ses contemporains en abordant les questions sociales et politiques qui occupent son temps, Sand scandalisera

ouvriers commencent à écrire des poésies, des témoignages. LE plus célèbre d’entre eux est Agricol Perdiguier dont son livre Mémoires d’un compagnon servira de modèle à George Sand pour le Compagnon du Tour de France. D’autres ouvriers ont eu une grande renommée comme Charles Poncy dont ses poèmes sont également encensés par George Sand : « Vous pouvez être le plus grand poète de la France » LE XIX essaie de rendre la lecture populaire : un livre étant cher et pesant, se développent donc des éditions divisées

Gabriel George Sand Gabriel O Dieu ! Pardonne-moi cette dernière tromperie. Tu connais la pureté de mes intentions. Ma vie est une vie de mensonge ; mais ce n’est pas moi qui l’ai faites ainsi, et mon cœur chérit la vérité !.. Antonio Il y a assez longtemps que je cours après vous, je vous tiens enfin ; cette fois, vous ne m’échapperez pas. Gabriel Laissez-moi, monsieur, je ne suis pas des vôtres. Antonio J’ai à vous parler ; veuillez m’entendre. Gabriel Cela m’est tout à fait

MUSSET, Alfred de, Lorenzaccio, Le livre de poche, Paris, 1986, 247 p. Contexte Lorenzaccio fut composé en 1833 par Alfred de Musset, même si c’est d’abord George Sand qui avait eu l’idée d’une telle œuvre avant de la céder à Musset. Musset avait déjà composé d’autres pièces de théâtre qui avait été mal accueillies par le public et, en composant celle-ci, on peut croire qu’il ne voulait pas qu’elle fût jouée. Cette pièce de théâtre se déroule dans Florence en 1537 lorsque, après avoir été

délire Couche sur le papier ce que je n’ose dire. Avec soin de mes vers lisez les premiers mots, Vous saurez quel remède apporter à mes maux. Alfred de Musset ——————— La réponse de George Sand Cette insigne faveur que votre coeur réclame Nuit à ma renommée et répugne à mon âme. George Sand

printemps 1946,et pour une dizaine d'années, il partage une liaison agitée avec la poetesse Louise Colet, où il écrit dans une riche correspondance son point de vue sur l'ecrivain et son travail. Il à également eu des liens très etroits avec George Sand, et à été l'amant de la mere de Guy de Maupassant. Louis Bouilhet et Maxime Du Camp, sont deux amis importants de l'auteur,puisque c'est, poussé par eux qu'il commence Madame Bovary. Ce roman le trainera devant les tribunaux, pour « atteinte aux bonnes

constitué de 3 textes et d'une photographie portant sur la condition féminine. Le premier texte du corpus est celui de Louis-Sébastien Mercier auteur du XIXème siècle:Tableau de Paris.Son œuvre est publiée avant la Révolution. Un second texte de George Sand auteure et poétesse du XIXème siècle elle aussi appartenant au mouvement littéraire du réalisme a écrit Histoire de ma vie en 1855. Un troisième texte de Simone de Beauvoir femme de lettre engagée dans le mouvement féministe a publié son essaie Le

Stendhal à mais aussi à madame Hanska. Suite à cette lettre, Henri Beyle lui consacra un article dans  son journal La Revue Parisienne un an plus tard. Il eu aussi beaucoup d'estime à Amantine Aurore Lucile Dupin connue sous le nom de Georges Sand. Balzac l'admirait sincèrement. Il avait avec elle des rapports amicaux, parfois complices quand il s'agissait de conseiller George sur ses compagnons. Victor Hugo, lui, était considéré comme son premier rival. En effet, les relations n'ont pas

relative avec ses pièces de théâtre, (la Quittance du diable et la Nuit vénitienne ), qui fut un échec retentissant. La mort de son père en 1832 l’amena à se consacrer entièrement à la littérature et à en faire son métier. En 1833, il rencontra George Sand et séjourna avec elle en Italie. En 1835, après plusieurs ruptures violentes, cette passion prit définitivement fin, laissant à Musset la douleur d’un échec sentimental cuisant, mais donnant à son œuvre une profondeur qui lui manquait encore. Malade