Joan Miró

del Presidente del Gobierno - Tom Burns, adjunto al presidente y director de Comunicación, Grupo Recoletos, ex corresponsal de Financial Times - José Manuel Calvo, redactor jefe de Internacional, El País, ex corresponsal en Washington y Bruselas - Joan Canals, presidente, Pulligan y presidente del Consejo de Promoción Exterior, CEOE - Emilio Crespo, director de Internacional, Agencia EFE - Christopher Crommet, vicepresidente ejecutivo y director general, CNN en español (Atlanta) - Andrzej Czarnek

reverente silencio. En cuanto apareció el duque de Abrantes –encargado de anunciar el nombre del futuro rey de España– se vio acosado. Guardando un grave silencio, echó una mirada en torno suyo. Blecourt, el embajador francés, se adelantó, Abrantes le miró muy fijamente y luego, volviendo la cabeza, hizo como que buscaba a la persona que tenía casi delante. Este gestó extrañó a Blecourt y fue interpretado como mala señal para Francia; luego, de pronto, haciendo como si no hubiera visto al austríaco conde

l’entoure et de ce qu’il signifie, c’est du dédain qu’elle éprouve, envers elle-même et envers sa propre 162 algo mÁs faiblesse, celle de quelqu’un qui comptait naïvement sur l’aide des autres au lieu de ne compter que sur ses propres forces : « Gina miró a su alrededor : la cama sin hacer, la ropa dejada caer sobre una de las sillas, los estantes aún llenos de peluches. « “Es la habitación de un niño”, se dijo con desdén. », (l. 47-50). Sa décision de se débarrasser de toutes les peluches revient à

Museum de New York, et au Pittsburgh Museum of Art. Il reçoit le prix de la Fondation Graham, ainsi que le prix Kandinsky en 1961. En 1962 il fait une exposition personnelle au Kunsthalle de Bâle et participe à l’exposition «Trois espagnols : Picasso, Miró, Chillida» du Museum of Fine Arts à Houston. En 1964 reçoit le Prix Carnegie pour son sculpture au Pittsburgh International et participe à une exposition collective à la Tate Gallery. Gaston Bachelard le surnommait « le forgeron » en raison de son

c’est du dédain qu’elle éprouve, envers elle-même et envers sa propre © Éditions Belin, 2012 162 ALGo mÁS faiblesse, celle de quelqu’un qui comptait naïvement sur l’aide des autres au lieu de ne compter que sur ses propres forces : « Gina miró a su alrededor : la cama sin hacer, la ropa dejada caer sobre una de las sillas, los estantes aún llenos de peluches. « “Es la habitación de un niño”, se dijo con desdén. », (l. 47-50). Sa décision de se débarrasser de toutes les peluches revient à

c’est du dédain qu’elle éprouve, envers elle-même et envers sa propre © Éditions Belin, 2012 162 ALGo mÁS faiblesse, celle de quelqu’un qui comptait naïvement sur l’aide des autres au lieu de ne compter que sur ses propres forces : « Gina miró a su alrededor : la cama sin hacer, la ropa dejada caer sobre una de las sillas, los estantes aún llenos de peluches. « “Es la habitación de un niño”, se dijo con desdén. », (l. 47-50). Sa décision de se débarrasser de toutes les peluches revient à

en provoquant et se montrer en opposition à ces régimes ○ John Heartfield = images qui passe dans la presse (revues spécialisées mais aussi de grands publics). ○ D'autres vont utilisés leur propres méthodes picturales mais aussi pour dénoncer: ■ Joan Miro, « l'époque des monstres », 1935. ■ René Magritte « Le drapeau noir » 1937 = oeuvre dans le sens d'une dénonciation de ces régimes = oeuvre pacifiste avec les avions militaires dans un ciel noir . = pas une position contre la guerre d'espagne ■ Rudolph

; Robert Desnos ; Jean-Pierre Duprey ; Paul Éluard ; Max Ernst ; Maurits Cornelis Escher ; David Gascoyne ; Radovan Ivsic ; Federico Garcia Lorca ; Michel Leiris ; René Magritte ; César Manrique ; André Masson ; Roberto Matta ; Mayo (peintre) ; Joan Miró ; Pierre Naville ; Mimi Parent ; Roland Penrose ; Benjamin Péret ; Francis Picabia ; Francis Ponge ; Raymond Queneau ; Man Ray ; Alfred Georges Regner ; Franklin Rosemont ; Shuzo Takiguchi ; Yves Tanguy ; Roger Vitrac; André BRETON (1896-1966)

traducción del griego, sino una adaptación de las ver­ siones inglesa, italiana y francesa. Más recientemente en la traducción española de la biografía de Cavafis de Robert Liddell, realizada por Carlos Miralles Solá se traducen del griego numerosos poemas. Joan Ferraté publicó 20 poemas (Barcelona, 1971) en una edición con fotografías de Dick Frisell, que también están tra­ ducidos del original. Salvo estos dos casos de Miralles y Ferraté, lo demás que ha aparecido de Cavafis en español son selecciones muy

ponctuation qui évoque le rythme de la parole. Romans : Le Tricheur, La Corde raide, Gulliver, Le Sacre du Printemps, Le Vent. Tentative de restitution d'un retable baroque, L'Herbe, La Route des Flandres, Le Palace, Femmes (sur vingt-trois peintures de Joan Miró), Histoire, La Bataille de Pharsale, Orion aveugle, Les Corps conducteurs, Triptyque, Leçon de choses, Les Géorgiques, La Chevelure de Bérénice, Discours de Stockholm, L'Invitation, Album d'un amateur, L'Acacia, Le Jardin des Plantes, Le Tramway