John Kenneth Galbraith

Depuis le pop art dans les années 60, de nombreux artistes se sont intéressés à la société de consommation et à ses dérives. Apparue dans les années 1950-60, l’expression « société de consommation » désigne, d’après l'économiste américain John Kenneth Galbraith, une société de type occidental au sein de laquelle les consommateurs sont incités à consommer abondamment des biens et des services. La consommation devient, plus qu’un moyen de satisfaire ses besoins matériels, une façon de se différencier

l’information n’y circule par parfaitement. Les crises sont récurrentes et présentent des caractéristiques communes : on parle alors de cycle financier. Nombreux sont les économistes qui se sont intéressés aux phénomènes de cycle : John Maynard Keynes, Hyman Minski, John Kenneth Galbraith, Charles Kindleberger ou plus récemment Paul Krugman et Michel Aglietta. Selon ces économistes, il n’y a pas simplement une répétition des crises, mais une répétition de cycles financiers, dont la crise constitue l’un des

éventuellement normatifs, rarement explicatifs, à l'image de ceux qui se limitent à une explication, fondée par exemple sur l'excès de spéculation comme La Grande Dépression (1934) de Lionel Robbins ou La Crise économique de 1929 (1955) de John Kenneth Galbraith. Du reste, chaque école de pensée économique a tiré la couverture en faveur de ses thèses générales. L'explication par surconcentration de richesse, à l'époque soutenue par des économistes marxistes et keynésiens, n'explique pas l'emballement

se répéter sans fin car l’homme ne sera jamais véritablement heureux. Reisman définit la notion de “Standard package” : un ensemble de biens que l’homme moyen doit posséder, ce dernier étant conditionné par la société de consommation. Pour Galbraith, la société de consommation implique qu’il soit nécessaire de conditionner le consommateur afin de maintenir la stabilité du système capitaliste. Le consommateur ne doit pas prendre d’initiative, c’est l’industriel qui doit décider. Pour Baudrillard

le prince d’un territoire devrait constamment utiliser la force, sa richesse ainsi que la religion. Avec ces moyens, le prince peut parvenir à ses fins dont l’un est de conserver le pouvoir. Machiavel n’est pas le seul à dire ces propos, John Kenneth Galbraith n’inclut-il pas lui aussi ces moyens dans ces propos sur le pouvoir?

d’autres le virent partir ; la ruée pour vendre se fit panique ; les prix tombèrent dans précipice. 1) Esotérique = Compréhensible seulement pour les initiés 2) Soit l’équivalent de 25 000 à 50 000 € d’aujourd’hui ! John Kenneth Galbraith, « Brève histoire de l’euphorie financière », Le seuil, 1992 Document 3 : [pic] Document 4 : L’impact des externalités Quand les individus et les entreprises ne sont pas obligés de payer pour leurs actes lorsque ceux-ci affectent

sont échangés (c’est tout de même moins important que le jeudi mais supérieur à l’ancien record). Le 29 octobre, le mardi noir (Black Tuesday), le volume échangé atteint 16,4 millions de titres (c’est du jamais vu avant ce lundi 29 octobre). John Kenneth Galbraith (conseiller économique de quelques présidents américains tels que Franklin D. Roosevelt ou encore JFK) écrit qu'il s'agit du « jour le plus dévastateur dans l'histoire de la Bourse de New York, et peut-être aussi dans toute l'histoire des

consommation » est utilisée pour désigner une société au sein de laquelle les consommateurs sont incités à consommer des biens et services de manière abondante. Elle est apparue dans les années 1950-1960, dans les ouvrages de l'économiste américain John Kenneth Galbraith (1908-2006) pour rendre compte de l'émergence des critiques du mode de vie occidental. La société de consommation nous aliène-t-elle ? Dans un premier temps nous verrons que la société de consommation nous rend différent, enfin dans un second

mortalité et la natalité. Il en a été de même dans nos pays, espérons qu'une régulation rapide soit trouvée. La rencontre de plusieurs civilisations, comme toutes choses apportent des avantages et des inconvénients. Comme dit si bien John Kenneth GALBRAITH : "Ce qui résultera de la rencontre entre plusieurs civilisations ne sait être fixé à l'avance." Cela est donc relatif. L'homme est un animal social qui cherche les rapports avec les individus de sa race, on peut donc l'excuser si en cherchant

tandis qu'avant un équilibre entre la mortalité et la natalité régnait. La rencontre de plusieurs civilisations peut donc être considérée comme fructueuse dans certains domaines et comme infructueuse dans d'autres domaines. Comme dit si bien John Kenneth Galbraith: "Ce qui résultera de la rencontre entre plusieurs civilisations ne sait être fixé à l'avance." Cela est donc relatif. Étant donné que l'homme est un animal social qui cherche les rapports avec les individus de sa race, on peut donc l'excuser