John Locke Lettre Tolérance

comptoirlitteraire.com André Durand présente Charles de Secondat, baron de la Brède et de MONTESQUIEU (France) (1689-1755) Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’Les lettres persanes’’, différentes lettres étant analysées). Bonne lecture ! Il naquit le 18 janvier 1689 au château de La Brède, près de Bordeaux. À partir de ce château aux murs épais, aux ouvertures étroites, couronné de tourelles et cerné de douves, il se construisit

être contesté sur le plan des idées. On va voir apparaître toute une série de théories politiques qui vont proposer des conceptions de la société qui vont reposer sur le principe d’une égalité de droit entre les individus. Ex : Thomas Hobbes et John Locke. Tous les deux vont proposer une organisation de la société qui repose sur l’idée d’égalité. La pensée de ces auteurs témoigne de la progression de l’idéal d’égalité. Replaçons d’abord cette explosion de la pensée politique dans son contexte.

1 Université Djilali Liabès. Sidi Bel Abbès. Faculté des lettres, des langues et des arts. Département de langue Française. Année universitaire : 2020-2021 Matière: Civilisation et culture de la langue Française. Niveau: Deuxième année LMD Mme Hallam.R Le baroque Env.1580-1660 Présentation : Le baroque est un mouvement littéraire qui commence à la fin du 16ème siècle (vers 1580). Il sera supplanté par le classicisme en 1660. Comment est-il advenu ? Quelles sont ses caractéristiques ? En quoi

en occident et la distinction du temporel, et du spirituel (laïcité) sont deux aspects importants de la culture européenne. Cette double tradition gréco-latine et judéo-chrétienne d’origine méditerranéenne dans les deux cas, est identifiée par les lettrés comme ayant informé l’esprit européen. Il s’agit de ce qui fait son identité même, son essence, son esprit. Paul Valery met cela en évidence dans un texte célèbre intitulé « la crise de l’esprit » lors d’une conférence à l’université de Zurich en

dans la mémoire collective française et internationale. Figure emblématique de la philosophie des Lumières, chef de file du parti philosophique, son nom reste attaché à son combat contre le fanatisme religieux, qu’il nomme « l’Infâme », pour la tolérance et la liberté de pensée. Déiste en dehors des religions constituées, son objectif politique est celui d’une monarchie modérée et libérale, éclairée par les « philosophes ». Intellectuel engagé au service de la vérité et de la justice, il prend, sur

garantir le droit en intervenant le moins et le mieux possible dans la vie des citoyens. Les autres conceptions du libéralisme sont davantage pragmatiques et moins faciles à caractériser idéologiquement. L’utilitarisme13, à la suite de Jeremy Bentham14 et John Stuart Mill15, essaie de valider sans a priori les principes libéraux en fonction de leurs conséquences sur le bien-être des gens. Son apport est important, sans être déterminant. Max Stirner (1806-1856), anarchiste allemand, est l’auteur de « l’Unique

INTRODUCTION Notre projet de recherche: «  Chacune de nos lecture laisse une graine qui germe ». (1) Hérodote, Aristote, Erasme, Rabelais, Shakespeare, Locke, Montesquieu, Voltaire … Tant d’auteurs, qui au travers de leurs œuvres, de leurs écrits ont marqué les siècles, ont fait germer leurs penser, éclore leur philosophie. Les bibliothèques peuvent êtres vues comme des arbres de la connaissance, arbres dans lesquels le savoir germe perpétuellement et est nécessaire

droit naturel avant de le reléguer dans les ténèbres extérieures d'un droit sans référence fondamentale, sans critère substantiel de légitimité. Le formalisme est en marche. La philosophie du droit devient philosophie du pouvoir. 3. Locke (1632-1704) John Locke relève également du jus-naturalisme, du droit naturel qui est né après Descartes. Elevé dans une famille très croyante et pratiquante, il aurait dû devenir ecclésiastique mais entreprit des études de médecine. Exilé en Hollande, il y écrivit

l'autorité de l'Etat pour rétablir l'ordre matériel. Dans cette perspective, s'impose le principe de la religion d'Etat. Chaque prince est maître de la religion de son Etat. Il peut accepter avec plus ou moins de tolérance les autres cultes mais chaque prince est seul maître de cette tolérance. ¨ 2 ¨ Dans un 2e temps, les réformes religieuses entraînent le développement d'idées démocratiques. Elles sont le fait d'auteurs dits "monarchomaques". Au début, ce sont des auteurs protestants puis leurs idées

nord catho, sud protestant : succession de conflits (nuit de la St Barthelemy 1572) La paix retrouve la paix à la fin du 16ème siècle avec l’accession au trône d’Henri 4 (protestant converti au catholicisme pour la couronne) qui publie un Edit de tolérance. Un certain nombre de philosophes stigmatisent les insuffisances du principe monarchique incapable de garantir la paix alors que les citoyens ne veulent que pratiquer la religion de leur choix. Etienne de LA BOETIE (1530-1563). Il écrit à 18