Joie

s'efforcent de montrer qu'il dépend de l'homme d'avoir de bonnes ou de mauvaises dispositions d'esprit et que c'est en quelque sorte une question de morale plutôt que de psychologie. On voit, dans les Propos sur le bonheur, que les mots plaisir, joie et bonheur expriment souvent la même idée. Par exemple, dans le Propos qui commence par « Il y a de merveilleuses joies dans l'amitié », c'est de « bonheur » qu'il est question un peu plus loin (P.B. LXXVII). Ailleurs, contestant l'idée que « le bonheur

vie dévaste tes habitudes Tandis que son vent désoriente tes points de vue, car la vie pour nous se sont les changements On aime, on aime plus, on se sent bien, on se sent mal, du bien-être, on passe au mal être Des pleurs, on passe à la joie, de la joie aux larmes de tristesse, puis des larmes de tristesse aux larmes des éclats de rire la vie La vie quoi, la vie n'est pas la même pour tous, a bas la démagogie, on ne nait pas tous égaux On ne s'engage pas dans la bataille de la vie avec les

mot «ses mâts touchaient l'azur» pour démontrer a quel point son rêve était grand. De plus, le choix de «l'or massif» (un métal très précieux) vient appuyer l'impression qu'il tenait beaucoup a son grand rêve. En utilisant le mot «soleil», symbole de joie, on peut supposer qu'il était heureux. Donc, tous ces termes de richesse, d’espoir et de joies mentionnés ci-haut permettent de nous faire comprendre son bonheur . Bref, il nous indique aussi que ces sentiments ne sont que du passé car au début de

il nous permet d'évacuer nos tensions (Marine et Aïssatou)   Le rire est naturel et inné. Bien qu'il nous permette de nous détendre, Il est toutefois essentiel de le contrôler (Bélinda et Anaïs)   Par le rire on peut exprimer aussi bien une joie franche qu'une malsaine perversité. (Younan et Mélanie)   Des études ont révélé que le rire avait des vertus de longévité dont il serait malheureux de se priver (Isabelle et Joyce)   Le rire est un mécanisme naturel de démonstration d'une

« Qu’elle est belle ! » vers 19 de Chénier, « Ô Beauté ! » plus lyrique chez Baudelaire vers 12 et « C’est toi… » Qu’Aragon utilise en anaphore donnant ainsi un rythme enjoué et insistant au poème. Cependant ces trois poèmes n’expriment pas que la joie de l’amour, on dénote aussi une certaine souffrance chez les trois poètes. II) Les souffrances et les peines A/ La souffrance physique Pour dépeindre la souffrance physique les poètes utilisent de nombreux procédés : -Images de blessures, souvent

critiquer ce que vous n'avez pas lu ... faites donc votre biographie . Certaines personnes donnent de la joie là où elles vont, d'autres la donnent dès qu'elles s'en vont. Être fort, c'est essayer de pardonner à quelqu'un qui ne mérite pas le pardon. Être fort, c'est attendre quand on ne croit pas au retour. Être fort, c'est rester calme dans les moments de désespoir. Être fort, c'est montrer de la joie qu'on ne ressent pas. Être fort, c'est sourire quand on a envie de pleurer. Être fort, c'est rendre

manière d'exprimer sa joie, sa peine, sa désillusion, son amour, sa solitude, sa souffrance et son orgueil.' L'ange était de plus en plus impressionné. - 'Tu es un génie, Seigneur, tu as pensé à tout. La femme est vraiment merveilleuse' - 'Hé oui ! dit le Dieu sage. Les femmes auront des énergies qui étonneront les hommes. - Elles affronteront les difficultés, règleront les problèmes graves; - Et même au milieu de ces difficultés elles respireront le bonheur, l'amour et la joie; - Elles souriront

est plénitude et affirmation de soi. (c’est le conatus : effort pour persévérer dans son être). S’il peut prendre la forme d’une passion, il peut également être actif, lorsqu’il procède de l’esprit et produit la connaissance. C’est alors une grande joie qui nous remplit . III/ Un désir ne doit pas annuler l’intensité qui le produit 1/ Distinction du désir de quelque chose et du désir de l’autre Kojève : remarque que le désir de quelque chose tend à l’appropriation de l’objet (que dès lors

comme transcendance ? Dans tous ces cas la liberté est entendue comme arrachement à la nature et comme déracinement par rapport à la culture donc comme le produit d’une conscience nécessairement malheureuse ! Il restera à examiner si une culture de la joie qui ouvre sur le dialogue où bonheur et liberté semble se rejoindre est possible. Nous verrons dans un premier temps l’eudémonisme antique pour lequel le bonheur est possible sur terre pour les hommes vertueux. Notre seconde partie sera consacrée

remplacé par sa « contrefaçon » : le divertissement. On n'est pas heureux mais distrait. Mots à nuance psychologique : chagrin, passion, malheureux..Et le temps du futur ; Pascal pose des certitudes. L 17 : opposition entre joie et tristesse et plus bonheur et malheur car joie et tristesse sont des sentiments plus compréhensibles pour le lecteur. La formulation est simple, elle donne du relief à la pensée. Stratégie argumentative Pascal => divertissement contrefaçon du bonheur. L 17 à 20 : élargissement