Jonas Brothers

Liberté ou sécurité « Big Brother is watching you ! »1 Dans son roman d’anticipation 1984 (publié en 1949), George Orwell dépeint un Londres ultra-totalitaire dans les années 1980. Caméras et micros omniprésents ainsi que police de la pensée font partie intégrante de la vie des personnages de ce roman. L’auteur soulève ainsi la question de la sécurité dans la société. En France, l’augmentation des chiffres de la délinquance a conduit les gouvernements récents à appliquer une politique sécuritaire

imaginait déjà dans son roman d’anticipation en 1948, une société avec des caméras partout, rues, magasins, immeubles où ces caméras portaient le nom de « Big Brother », Au milieu du 20 ème cela paraissait pour la société une idée complètement folle et irréalisable. Seulement voilà qu’en 2001 arrive « Love story » sur M6, qui n’est autre que « Big Brother » l’émission de télé-réalité transmise au Pays-Bas qui a complètement repris l’idée d’être filmer a tout moment, partout de George Orwell. Mais Loft Story

nquement à ma culture littéraire est un doux euphémisme. Entre sa réputation internationale ayant du faire connaître Big Brother à un bon pourcentage de personnes n'ayant pourtant jamais touché à un livre ou encore sa note SC de 8.5 pour plus de 13000 notes, autant dire que je pensais plus ou moins savoir à quoi je m'attaquais. Aussi, avec de telles attentes, difficile de ne pas être dérouté en s'y lançant. Le style de George Orwell, bien qu'assez accrocheur, se révèle classique, très classique

sera question de montrer, d'après les pages 280 à 287 du roman 1984, que les techniques utilisées par le Parti de Big Brother le rendent omnipotent et infaillible aux yeux de la population. Ces méthodes sont alors imposés en créant une illusion de la réalité et en assurant une surveillance constante de ses membres. En premier lieu, parmis les manières utilisées par Big Brother, qui le rendent aussi puissant et implacable au près du peuple, il y a l'illusion de la réalité. En effet, le contrôle

vite. L’indice boursier, le CAC 40, est en dessous de la barre des 3500 points alors qu’il y a 2 ans il était à plus de 4000 points. Les bourses ont connu leurs plus fortes baisses depuis 2001 et aux Etats-Unis, une banque de premier plan, Lehman Brothers, a fait faillite tandis que la plus importante société d'assurance américaine, AIG, échappait à la déroute en se faisant racheter 80 % de son capital par la banque centrale américaine ! Les sondages montrent que l’opinion publique est inquiète

l’affaire Enron paraissent seconds en comparaison de ce qui se passe depuis le milieu de 2007. Le choc a été mal anticipé, par presque tout le monde, et surtout nous sommes passés de mauvaise surprise en mauvaise surprise, avec la faillite de Lehman Brothers en septembre 2008 et le scandale Madoff en décembre 2008. Cette crise inachevée est d’abord un drame pour ceux qui ont perdu ou risquent de perdre leur emploi. Elle crée aussi une « fenêtre de tir » pour corriger les excès de la finance virtuelle

donnait pas une image de la société de son temps. Par exemple, dans le roman 1984, Georges Orwell imagine la société de 1984, dans laquelle reignerait une surveillance généralisée des moindre faits et gestes des citoyens par un chef invisible « Big Brother is watching you ». Cependant, Orwell cherche à représenter la société soviétique de son temps, la dictature stalinienne où tous les citoyens sont sous surveillance constante. Le roman de science fiction peut donc représenter d’une certaine manière

ayant massivement investi dans le marché du crédit américain. En septembre 2008 la crise s’est brutalement aggravée : le manque de capital dans les banques pour pallier les effets pervers de la crise se fait ressentir. La banque d’affaires Lehman Brothers fait faillite. La méfiance entre les banques prend place : le taux de prêt à court terme entre les banques atteint 6 % soit 3 fois plus qu’en Juillet. On prévoit : -Un ralentissement sensible de la croissance en Asie orientale, mais pas de récession

les valeurs prônées sont systématiquement bafouées. La prise de pouvoir de Big Brother : Selon les rumeurs et les manuels d’histoire sans cesse retouchés de l’Océania, après la Seconde Guerre mondiale, Big Brother et Emmanuel Goldstein (dont on ne sait s’ils ont une existence réelle ou ne sont que des inventions du Parti car personne ne les a jamais vus) deviennent les leaders de la Révolution. Big Brother trahit Goldstein et s’empare du pouvoir : Goldstein s’enfuit car il est déclaré “ennemi

était découvert, l'emmener à la mort ou encore à 25 ans de travaux forcés. Il ne sait pas à qui il va l'adresser, ni comment sera le futur. En repensant aux "Deux minutes de la Haine", Il se rend compte qu'il avait écrit plusieurs fois "A bas Big Brother" sur une des pages de son journal. Puis il ajouta le chemin qui l'attendait si on le découvrait et qu'il s'en fichait. Chapitre 2 Mme Parsons, une des voisines de palier de Winston, vient toquer à la porte de celui-ci afin de lui demander de