Jørn Riel

territoires de l’Ouest, le gouvernement canadien souhaite son intention d’exproprier les Métis et d’installer des colons, sur les terres fertiles de la région de la rivière rouges. Face à cette menace les métis organisent une rébellion avec Louis Riel comme chef. Riel exige que le gouvernement reconnaisse le peuple métis, ainsi que le droit territorial, linguistique et religieux des métis. Le gouvernement leur accorde plusieurs droits ainsi que la création du Manitoba. Cependant le tout est rompu lorsque

Ontariens voulaient-ils la mort de Louis Riel ? Réponse : ils se sont révolté parce qu’il ne voulait pas donné leur terre au gouvernement et louis riel avait tué un ontarien. 10 : À quelle condition les provinces suivantes sont-elles adhéré au Canada ? A) La Colombie-Britannique ? B) L’Île-du-Prince-Édouard ? Réponse : a) ils voulaient le chemin de fer en 10 ans et b) voulait un système de traversier. 11 : Quelles sont les réactions suite à la mort de Louis Riel ? Ces réactions sont-elles «uniformes»

années 1805, les premières familles s’installaient sur des terres dans un emplacement appelé pointe de Saint-Boniface situé à la confluence des rivières Seine et Rouge) (PAYMENT, Diane Paulette, 1999, P. 57 à 58) et canadiens. C’est grâce à Louis David Riel (chef des métis d’origine canadienne-français et Déné (Chipewyan). Il fut pendu en novembre 1885 parce qu’il voulait la solidarité des français canadiens) qu’on doit la fusion des deux noms (Métis et Canadiens) pour celui de Franco-Canadiens.

d'une seule et même sphère. Cela a notamment permis l'emploi de structures symétriques pour leur donner leur maintien, et explique également la parfaite reproductibilité des tuiles, toutes conçues à l'identique. Tuile : Inspirées de bols repérés par Jørn Utzon au Japon. La décoration intérieure, quant à elle, est assurée par du granit rose.

( x y z) + ( 13,2 17,6 1,8 ) = ( 0,2 x+13,2 0,1 x+0,12 y+0,08 z+17,6 0,05 x+0,08 y+0,12 z+1,8) « Le savoir n'est jamais inutile. Seulement il se trouve qu'il faut apprendre un tas de choses inutiles avant de comprendre les choses utiles » Jørn Riel in La maison de mes pères 1/5 http://dossierslmm.chez-alice.fr DS2_corrige.odt 22/11/14http://dossierslmm.chez-alice

Gallimard -2 Les mises en boîte - Meiltz, Eugène - La joie de lire -2 Nouvelles histoires pressées - Friot, Bernard - Milan -2 Taïga - Reynaud, Florence - Pocket -2 Le garçon qui voulait devenir un être humain, « Le naufrage », (volume1) - Riel, Jørn - Sarbacane -2 Wiggins et le perroquet muet - Nicomède, Béatrice - Syros -2 Grand ours - Place, François - Casterman -3 Le prince des voleurs - Funcke, Cornelia - Hachette jeunesse -3 L’homme à l’oreille coupée - Mourlevat, Jean-Claude

racontant des faits fictifs ou réels qui se passent chez une population étrangère à la nôtre peut permettre au lecteur d’apprendre à connaître de nouveaux peuples et de nouvelles cultures. Par exemple, dans le roman Le jour avant le lendemain de Jørn Riel, l’auteur nous raconte une histoire inventée sur un peuple qui lui, est bien réel. On se retrouve plongé dans le nord-est du Groenland, au cœur d’une tribu inuit, et l’on suit les coutumes de la tribu qu’enseigne une grand-mère mourante à son petit-fils

tout péjoratif mais uniquement un petit peu familier. On l’utilise pour parler d’un quartier ethnique. 7) Problématique La problématique soulevée est « Quelle influence la politique peut-elle avoir sur l’enfance ? II] Le jour avant le lendemain de Jørn Riel 1) Biographie de l’auteur Il est né en 1931. Il passa 16 ans de sa vue au Groënland, c’est pourquoi la moitié de ses œuvres parlent de ce pays. 2) Résumé Ce livre raconte l’histoire de Ninioq, une vielle femme qui doit bientôt mourir. Elle a peur

Évolution[modifier | modifier le code] Évolution de la démographie entre 1961 et 2003 (chiffres de la FAO, 2005 en millier d'habitants). Culture[modifier | modifier le code] Article détaillé : Culture du Groenland. La lecture des œuvres de Jorn Riel, un Danois qui a vécu lui-même au Groenland pendant de nombreuses années, offre une excellente représentation des modes de vie des Groenlandais et des Inuits. Une grande partie de la population, surtout urbaine, parle ou comprend l'anglais, qui est

par une littérature de voyages et d’explorations aux accents héroïques et/ou dramatiques (Roald Amundsen, Robert Scott, James Cook, Robert Peary, Ernest Shackleton), aux contenus ethnographiques exotiques (Paul-Emile Victor, Jean Malaurie, voire Jørn Riel), ou terres des derniers exploits des aventuriers de l’ère contemporaine (Jean-Louis Etienne, Laurence de la Ferrière, Nicolas Vanier), la destination polaire ne cesse de fasciner. Cependant, de rêves fous d’aventuriers intrépides à destination touristique