Joseph Ignace Guillotin

Complétez ce proverbe : "La caque sent toujours... Le hareng Quelle comédienne incarne à l'écran "Joséphine, ange gardien" ? Mimie Mathy Quel homme politique français est ministre de la Police sous le Directoire, le Consulat puis l'Empire ? Joseph Fouché En 2008, quelle comédienne lyonnaise endosse le rôle de Françoise Sagan ? Sylvie Testud Dans quel sport peut-on jouer pilier, demi d'ouverture ou trois-quarts ? Le rugby Dans quel sport, le Français Teddy Riner a-t-il obtenu

(Pie V). De nombreux héros catholiques surgirent, dont Ignace de Loyola (1491-1556), espagnol mais qui fonda son ordre à Montmartre. Le 15 août 1534, il y créa les Jésuites, religieux modernes, savants, lettrés, et surtout entièrement dévoués à la papauté. Très souples, un peu machiavéliques, ils surent employer des moyens intelligents « pour la plus grande gloire de Dieu » (Ad majorem Dei gloriarri). Les Exercices spirituels de saint Ignace ont été un best-seller. Beaucoup de missionnaires furent

Provence/ Comte Stanislas 1816: dissout chambre ultra (chambre introuvable) "Romantisme politique" 3 auteurs: Joseph de Maistre: sujet du roi de Sardaigne. Noble savoyard. Se réfugie en Russie (Cath II d'abord favorable rev, achete biblio Rousseau, puis mort de Louis XVI choc). Talent littéraire. Louis de Bonald (noble Aveyron) Chateaubriand Pensée: Lumière KANT soumission ordre naturel: Joseph de Maistre: politique doit s'accorder aux impératifs de la raison universelle.(=saisons) S'opposent aux libertins

virtuel : * ANDRE POZZO (1642-1709) : frère laïc de la Compagnie de Jésus, connu pour son traité « Perspectiva pictorum et architectorum » et doué pour la peinture plafonnante, appelé à la cour de Vienne comme architecte - Plafond Gloire de Saint Ignace de Loyola à l’église du Gesù à Rome (1685-1689) Pozzo améliore la technique de mise en perspective développée à la fin du XVe siècle. Il tend sous la coupole de nombreuses cordes dont l’ombre projette un quadrillé comme est surnommé sa méthode la

prêché que des contradictions ne retrouve une cohérence, et la plus absolue, qu’en ce qui concerne la peine capitale. Amateur d’exécutions raffinées, théoricien du crime sexuel, il n’a jamais pu supporter le crime légal. « Ma détention nationale, la guillotine sous les yeux, m’a fait cent fois plus de mal que ne m’en avaient fait toutes les Bastilles imaginables. » Dans cette horreur, il a puisé le courage d’être publiquement modéré pendant la Terreur et d’intervenir généreusement en faveur d’une belle-mère

Toulouse qui meurt en 1733 ; Claude Serres à Montpellier qui meurt en 1768 ; Jean Joseph Julien professeur à Aix qui meurt en 1789 ; Gabriel Jean-de-Dieu Olivier professeur à Avignon mourra en 1823 et participera d’ailleurs en tant que magistrat à la critique du projet du Code civil. Dans le Nord, mentionnons Claude de Ferrière mort en 1715 qui a enseigné à Reims. Mais le plus grand nom est sans conteste celui de Robert Joseph Pothier professeur à Orléans. Pothier - qui meurt en 1772 - a laissé de très

attachées. On appelle syntagme un groupe de mots qui se suivent avec une intention de sens. Il en est des verbaux, nominaux, adjectivaux, adverbiaux… conformément aux 10 traditionnelles parties du discours de la grammaire d’autrefois auxquelles Jean-Joseph Julaud a consacré un chapitre dans son Français correct pour les Nuls. Un art et pas n’importe lequel, dame ! Je regarde la grammaire comme la première partie de l’art de penser. Condillac, Cours d’étude pour l’instruction du prince de Parme

donc les distinctions anciennes. Des textes de 1790 viennent affirmer cela. Un décret du 21 janvier 1790 concerne le principe de l’égalité des peines quelquesoit le rang des coupables. Tout le monde sera décapité : idée de Joseph-Ignace Guillotin (l’inventeur de la guillotine, évidemment.) Cahiers de doléances : rédigés par des députés aux états généraux. Les électeurs rédigeaient des doléances concernant, surtout pour le Tiers-État, la volonté d’abolition des privilèges. Mais les privilèges dénoncés

révolution, il va de son propre chef renier son titre de noblesse, il se ait appeler citoyen comme tout le monde et va sans tarder se fonder une fortune en spéculant sur les biens nationaux .Il sera emprisonné sous la Terreur, il échappe de peu à la guillotine et sera libéré après la chute de Robespierre. Il va fréquenté les salons, se lance dans les voyages et bientôt se rend compte qu’il n’a plus un sous .C’est un de ses anciens valets qui va l’héberger. Saint-Simon a décidé d’élaborer de grands projets

fortunes du roman (1) Les voies nouvelles de la narration Gracq : « Le Rivage des Syrtes » Yourcenar : Hadrien, Zénon Mots des Vian, Queneau, Perec Du nouveau dans le roman Sarraute, l’amie d’Enfance Simon, Butor, Robbe-Grillet Le retour des raconteurs Joseph Kessel et Maurice Druon Erpétologiste, Bazin ? Barjavel, Marceau, Jean d’O… Duras, son Amant Le « Vendredi » de Tournier Bonjour Sagan Sollers, « sollertissimus » Le Clézio : être d’être… L’Occupation de Modiano Le point sur le « rompol » D’aujourd’hui