Joseph Smith

démocratie facilitant la création d’entreprise. 3. Genèse de la croissance capitaliste selon Weber Cours effacé mais imprimé II) Une croissance durable et équilibrée est-elle possible en tout temps et en tous lieux ? Les classiques : ADAM SMITH 1776, DAVID RICARDO 1772 sont pessimistes quant à une croissance durable et équilibrée ; ils considèrent que la croissance est destinée à disparaitre progressivement, à s’annuler dans un état stationnaire : à cause de l’évolution de la répartition

répartition Cours de Jean Dellemotte, Christophe Ramaux et Carlo Vercellone Année Universitaire 2013-2014 THEORIES ECONOMIQUES COMPAREES 1 PRIX ET REPARTITION Table des matières Dossier 1 : Introduction à l’économie politique classique. Adam Smith et La division du travail (p. 4) Dossier 2 : Valeur et prix chez David Ricardo (p. 23) Dossier 3 : La théorie ricardienne de la répartition (p. 32) Dossier 4 : Karl Marx, la marchandise et le travail (p.42) Dossier 5 : Karl Marx, exploitation et plus-value

Tableau économique * MIRABEAU (1715-1789) "La terre est la mère de tous les biens" 1757 L'ami des hommes * Jacques TURGOT (1727-1781) 1766 Réflexions sur la formation et la distribution des richesses III. LES CLASSIQUES : * Adam SMITH (1723-1790) « La valeur d’une denrée quelconque pour celui qui la possède et (...) qui a l’intention de l’échanger pour autre chose est égale à la quantité de travail que cette denrée le met en état d’acheter ou de commander (...) Le travail, ne variant

social. XXXXX Dans l’histoire de la science économique « moderne », c’est Jacques Turgot (1) qui, le premier, énonce la concurrence comme une loi économique lorsqu’il décrit la formation du « prix mitoyen » (relatif) du vin par rapport au blé. Adam Smith (2) développe le concept et montre comment la « main invisible » transforme les égoïsmes individuels en harmonie collective, puis Jean-Baptiste Say (3) en extrapole l’idée de l’équilibre macroéconomique. Forgée par le corpus néoclassique, la représentation

Maître de conférences des Universités Introduction La pensée économique peut être découpée en trois grandes phases : les précurseurs (grecs, romains, arabes), les pré-modernes (Mercantilisme, Physiocratie) et l'économie moderne (qui débute avec Adam Smith à la fin du XVIIIe siècle). « […] les idées, justes ou fausses, des philosophes de l’économie et de la politique ont plus d’importance qu’on ne le pense en général. À vrai dire le monde est presque exclusivement mené par elles. Les hommes d’action

concurrents va augmenter parallèlement : donc si pour un même produit il y a plusieurs offreurs, celui qui remportera la plus grande part de marché est celui qui arrivera a obtenir une marge au prix le plus bas. Au XIXe siècle, l'économiste français Joseph Bertrand, exposa dans un modèle simple, les bénéfices de la concurrence sur les prix pour les consommateurs tout en démontrant que celle-ci ne serait pas favorable aux entreprises car même en emportant la plus grande part de marché, en dessous d’un

abstraitement la réalité. Les théories permettent de dégager des paradigmes, c'est-à-dire des modèles de penser, des visions du monde. I- Les grands courants de la pensée économique. On situe la naissance de la science économique à partir d'Adam Smith, c'est-à-dire à la fin du XVIII ème siècle, qui correspond à une période de grands changements: la révolution industrielle. En réalité, il existait déjà cette pensée classique, une certaine réflexion économique. A- Les réflexions économiques avant

discipline en devenir deviendra véritablement une science économique avec la physiocratie. Parmi les nombreux auteurs mercantilistes, on peut citer notamment Jean Bodin (1530–1596), Antoine de Montchrétien (1576–1621), William Petty (1623–1687). Adam Smith, qui en fait une critique forte dans le livre IV de La Richesse des Nations, qualifie le mercantilisme d'« économie au service du Prince ». Il est le premier à faire une description systématique du « système mercantile »[4], terme qui apparaît dans

l'accroissement des prix au 16eme siècle par l'afflux d'or et d'argent en provenance d'Amérique. A la fin du 18eme siècle il apparaît chez les Physiocrates (c'est un courant de la pensée qui est à l'origine de la conception moderne de l'économie). Adam Smith, Maltus, Ricardo, Jean Baptist Say... ont fondé ce qu'on appel l'économie politique classique. Défenseurs du libéralisme économique, ils ont cependant une vision pessimiste de l'avenir à long terme du système capitaliste : le travail occupe une place

internationales, ont mis du temps à comprendre que les politiques de libéralisation systématique qu’ils recommandaient étaient inadaptées aux pays en développement et « émergents », et conduisaient inévitablement à des catastrophes, comme l’a montré Joseph Stiglitz, ancien vice-président de la Banque Mondiale, dans « La grande désillusion ». De même, l’épisode de la « nouvelle économie », dans la seconde moitié des années 1990, a entraîné des diagnostics erronés de la part d’un grand nombre d’économistes