Josephine Butler

connaître par les critiques d’art dans une exposition au Mac Dowell Club. Mais c’est dans l’entre-deux-guerres qu’il commence à être vraiment reconnu, avec sa première exposition personnelle au Whitney Studio Club (1920)11. En 1924, il se marie avec Josephine Verstille Nivison. Surnommée « Jo » par son époux, elle a suivi comme lui les cours de Robert Henri et elle est devenue peintre. En 1933, le couple achète une propriété au Cap Cod où il construit une maison et installe un atelier10. Hopper fut malheureux

Wyoming. 1869 - Royaume Uni : Josephine Butler publie Woman's work and woman's culture, à Londres. 1870 - Inde : Rappel de l'interdiction d'infanticide des filles et obligation de déclarer chaque naissance. 1873 - États-Unis : ouverture de la première université qui ouvre toutes ses sections aux femmes, à Boston 1874 - France Le travail des femmes est interdit dans les mines et les carrières. Le travail de nuit des femmes non majeures est interdit. Joséphine Andrée, syndicaliste fonde le Syndicat

L’exploitation de la prostitution soit le proxénétisme est incriminée, mais ni les femmes qui s'y livrent, ni leurs clients. Le mouvement abolitionniste a en effet pris forme dans la deuxième moitié du XIXème siècle, sous l'impulsion, en particulier, de Joséphine Butler, protestante de Liverpool, qui, en même temps qu'elle luttait pour la promotion des droits civiques, milita contre les « Contagious diseases acts », qui avaient introduit un embryon de réglementarisme en Angleterre, et pour l'abolition du système

siècle. Mais c’est au XIXème siècle qu’est obtenu le droit de coalition et de grève des ouvriers (1825), et l’émancipation des catholiques en 1829 après le conflit irlandais. Le féminisme commence également à s’affirmer sous l’impulsion de Josephine Butler, dont le combat fut un modèle pour tous les mouvements abolitionnistes européens. Elle demande l'abolition des Contagious Diseases Acts, la réglementation officielle de la prostitution qui impose en 1866 une surveillance sanitaire des femmes

environ 1500 établissements souvent tenus par des femmes. Les lieux étaient visités par la police et les institutions sanitaires. Il y avait quand même des filles dans la rue car elles ne voulaient pas être « mises en cartes ». L’abolitionnisme : Joséphine Butler est à l’origine de ce mouvement. Celui ci vise à abolir la prostitution considérée comme de l’esclavage contemporain. Elle dénonce les conditions de vie dans les maisons closes qui ferment donc en 1946. Le prohibitionnisme : Ce mouvement condamne

sensibilité qu’on leur a attribuées. -Activisme qui s’amplifie en 1870’s quand les évangélistes vont fusionner ac des mouvements féministes pour combattre ensemble pour la prohibition de la prostitution. Illustration de la fusion : figure de Joséphine Butler. Les dames patronnesses rejoignent les féministes dans l’Union pour la Réforme Morale en 1882 qui demande l’abolition de la prostitution en condamnant client + proxénète donc prostituées sont vues comme des victimes. Ils veulent interdire

l’opprobre sur la sexualité hors des liens du mariage réapparaît fortement dans toute l'Europe. Le XIXe siècle voit l’émergence d’une certaine tolérance étatique et d’un encadrement juridique et sanitaire. À la fin du XIXe siècle, avec les combats de Josephine Butler, l'abolitionnisme moderne naît en Grande-Bretagne victorienne. À Rome, comme ailleurs dans le bassin méditerranéen, ceux qui possèdent des esclaves peuvent en user à leur guise puisque l'esclave est une propriété privée. La femme esclave est

elle se mobilise contre une série de lois visant à lutter contre les maladies vénériennes- les Contagious Diseases Acts- qui imposent un examen gynécologique aux prostituées. Bien que d’orientation conservatrice, ce mouvement, mené notamment par Josephine Butler, prend parti pour les prostituées et réclame la criminalisation des clients et la fermeture des maisons de prostitution. Il entend plus largement rétablir la pureté des mœurs, la moralité publique et défendre la famille. Le point d’orgue de cette

du Wyoming. 1869 - Royaume Uni : Josephine Butler publie Woman's work and woman's culture, à Londres 1870 - Inde : Rappel de l'interdiction d'infanticide des filles et obligation de déclarer chaque naissance. 1873 - États-Unis : la première université qui ouvre toutes ses sections aux femmes, à Boston 1874 - France Le travail des femmes est interdit dans les mines et les carrières. Le travail de nuit des femmes non majeures est interdit. Joséphine Andrée, syndicaliste fonde le Syndicat

Président Dartiguenave demanda la dissolution de l’Assemblée qui avait refusé d’approuver une Constitution inspirée par le secrétaire à la Marine des États-Unis : Franklin D. Roosevelt. Ceci fut fait par la gendarmerie, commandée par le Marine Smedley Butler. En 1918, celle-ci fut approuvée par référendum (mais avec 5 % de votants). D’inspiration libérale, elle autorisait la propriété foncière aux étrangers. Dessalines avait interdit celle-ci et ce point était resté un principe inaltérable de toute législation