Jour du Souvenir

notre tour devait venir. Et pourtant c’est fini. La vie va reprendre son cours heureux. Les souvenirs atroces qui nous tourmentent encore s’apaiseront, on oubliera, et le temps viendra peut-être où, confondant la guerre et notre jeunesse passée, nous aurons un soupir de regret en pensant à ces années-là. Je me souviens de nos soirées bruyantes, dans le moulin sans ailes. Je leur disais : « Un jour viendra où nous nous retrouverons, où nous parlerons de nos copains, des tranchées, de nos misères

poème s'articule autour d'une double thématique, celle du rêve, vers 4 à 8 et celle beaucoup plus longue des cauchemars, vers 9 à 16. Ainsi, au début du poème la subjectivité du paysage est soulignée dès le premier vers, l'aube qui est le début du jour s'oppose au soleil couchant habituellement représenté par des teintes rouge et or : cette confusion soir/matin est délibérée, et crée un effet de flou, propre à la rêverie. Cependant, dans la seconde partie du texte, le rêve devient cauchemar : « d'étranges

Anniversaire. Que cet anniversaire soit léger et joyeux et que son souvenir ensoleille longtemps les jours à venir. texte anniversaire e-carte Je voulais te dire aujourd’hui, toi qui n’as pas changé, tout le bonheur que j’ai à tes côtes. Une bougie de plus sur ton gâteau, une surprise en cadeau, bon anniversaire ! Au fil du temps et des ans, rien n’a encore égalé l’amour de Maman… Joyeux Anniversaire ! En ce jour exceptionnel, nous nous joignons tous pour te souhaiter le plus merveilleux

l'homme et du monde qui l'entoure. Mais, laissant au moraliste le soin de peser les douleurs et les satisfactions individuelles, demandons-nous ce que l'homme, en tant que membre de l'espèce, peut penser de lui-même et de son labeur. Certes, à se souvenir de ses origines, il a bien sujet de se considérer avec complaisance. Ce petit fils de poisson, cet arrière-neveu de limace, a droit à quelque orgueil de parvenu. Jusqu'où n'ira-t-il pas dans sa maîtrise des forces matérielles ? Quel secret ne dérobera-t-il

(c'est-à-dire concernant les corps) il n'en reste pas moins qu'il faut se souvenir nuit et jour de ce qui s'est passé. C'est justement ce qu'explique la proposition suivante : « Souviens-toi ». L'emploi du tutoiement n'est ici pas anodin. Mylène cherche à nous interpeller, nous faisant comprendre que tous, quels que nous soyons, nous sommes concernés par cette période. Et c'est à nous, générations futures de faire perdurer ce souvenir pour que plus jamais cela ne se reproduise... Faut-il signaler que

, arrêter le temps ne serais ce qu’un seul jour = ces métaphores désigne le fait que plus le temps avance plus on est proche de la mort et ce demande si l’on ne pouvais l’arrêter ne serais ce qu’un seul jour , car il est très vaste, il est interminable 4. V2/ sans retour : l’adverbe sans , veut prouver que quand la mort nous emporte nous ne pouvons revenir 5. V1/ toujours, éternel, jamais , un seul jour: champs lexical de l’éternité =pourrais souligner

Date : 1989 Nombre de chapitres : Prologue/Introduction + 4 cataplasmes Présentation : Comment une mère peut-elle distraire son enfant des douloureux cataplasmes qu'elle lui applique chaque jour pour soigner ses bronchites chroniques ? En lui racontant des histoires, ce sont quatre contes qui se suivent et constituent une seule histoire. 2. L’auteur Pages 4 et 5 + « à retenir »Bibliographie page 137

mourais là-bas sur le front de l'armée Tu pleurerais un jour ô Lou ma bien-aimée Et puis mon souvenir s'éteindrait comme meurt Un obus éclatant sur le front de l'armée Un bel obus semblable aux mimosas en fleur Et puis ce souvenir éclaté dans l'espace Couvrirait de mon sang le monde tout entier La mer les monts les vals et l'étoile qui passe Les soleils merveilleux mûrissant dans l'espace Comme font les fruits d'or autour de Baratier1 Souvenir oublié vivant dans toutes choses Je rougirais le

travail qu'il offre. Résumé En 1994 Christophe Loizillon décide de filmer les mains de cinq de ses amis, Charly, René, Khadija, Zinedine et Madeleine. Ils nous racontent les histoires de leurs vies à travers leurs mains et partagent les souvenirs de la mémoire « haptique1 ». Avec une démarche expérimentale Loizillon transmet les mémoires de ses personnage d'une manière originale et sur tout pleine de sensibilité. Dans le cadre en gros plan les mains des personnages posées sur une table

d’un souffle et d’un mot aux vaines figures » et qui inspire une «béatitude infinie » : sortilège renouvelé chaque jour dans le hors-temps de la représentation théâtrale. Maintien de la femme à la lisière du réel : « image », fantôme » èSur scène, le jour et la nuit se valent (Aurélie est « belle comme le jour […], pâle comme la nuit » […]), les trois comparaisons successives au jour, à la nuit, et aux Heures divines imposent l’idée d’un temps cyclique, l’actrice renvoyant à l’archétype de la «