Juan de Garay

l’acculturation 4. Une nation en construction (1810 – 1880) 4.1 L’ère révolutionnaire (1810 – 1829) 4.1.1 L’indépendance (1810 – 1816) : une période charnière 4.1.2 Guerres civiles et début d’expansion territoriale (1816 – 1829) 4.2 La tyrannie de Juan Manuel de Rosas (1829 – 1852) 4.2.1 Le Restaurateur des lois 4.2.2 La campagne de 1833 4.2.3 Rosas et Calfucurá 4.3 Le libéralisme au pouvoir (1852) 4.3.1 Alberdi : gouverner, c’est peupler 4.3.2 Sarmiento : civilisation et barbarie 4.4 L’Argentine

ils utilisent aussi des cauris pour commercer entre eux. Les Portugais tiennent également plusieurs pêcheries sur la côte, où ils font sécher leurs prises14. Les forts espagnols[modifier le code] En 1449, le roi Jean II de Castille accorde à Juán de Guzman les terres situées entre le cap Ghir (cabo de Aguer, près d'Agadir) et le cap Bojador15 mais la première expédition castillane sur le continent ne date que de 1476. Ils érigent un fort nommé Santa Cruz de Mar Pequeña en face des Canaries

Munúa Jesús Gámez González Helder Rosario Mtiliga Fernando Apoño Javi López (78’) Benachour (82’) Duda Caicedo (59’) SUSTITUCIONES Obinna (59’) Juanito (78’) Luque (82’) TOTAL 6,3 8 6 6 6 6 6 6 6 6 7 7 6 s.c. s.c. Casillas Sergio Ramos Albiol Garay Marcelo Granero (71’) Xabi Alonso Gago (59’) Van der Vaart (80’) Higuaín Cristiano Ronaldo SUSTITUCIONES Guti (59’) Benzema (71’) Drenthe (80’) TOTAL 4,4 5 4 4 5 6 4 5 3 6 4 3 4 6 s.c. GOLES: 1-0 M. 8 Duda bate a Casillas tras recibir una

leurs rivalités. Les nobles se séparèrent des villes qui prétendaient leur faire restituer les biens enlevés à la couronne. L'empereur trouva parmi eux des troupes. La bataille de Villalar (1521) mit fin à l'insurrection, et son chef, l'héroïque don Juan de Padilla, porta sa tête sur l'échafaud. Charles-Quint ne revint qu'après la victoire. Irrité de l'affront fait à la majesté impériale, il ne sut pas se montrer clément et il se vengea par des supplices et des confiscations. Ce fut, en Castille

partis européens. Le péronisme existe ainsi comme une superposition et comme une articulation plus ou moins conflictuelle de Les syndicats étaient jusqu’aux années 1980 la « colonne vertébrale » du mouvement péroniste, selon l’expression utilisée par Juan D. Perón pour définir la place des « travailleurs » dans son parti. « Au début de 1988, après que les représentants des 62 Organisations Péronistes [le principal courant syndical dirigé par l’alors puissante Union ouvrière métallurgique] et les dirigeants