Juge Dinstruction Saisine Et Compétence

peuvent s’en prévaloir et doivent s y conformer. L’opposabilité de la chose jugée signifie que ce qui a été jugé peut être opposable à tout le monde, personne ne peut revenir sur ce qui a été jugé (il existe malgré tout la grace), en principe aucune autorité administrative ou politique ne peut revenir sur la décision, le juge lui-même ne peut pas car en prononçant son jugement il épuise sa compétence et est dessaisi de l’affaire. Deux points doivent être soulignés, la chose jugée est toujours instable

très fouillé en 1990, ce rapport mettait en évidence l'urgence, la nécessité impérieuse de réformer le CPP sur l'exemple de certains systèmes étrangers en vu de mieux garantir les droits de la défense et mieux garantir l'impartialité du juge, particulièrement de juge d’instruction. Ca pousse donc la législateur a adopter une réforme générale du Code. Cette loi de 2000 a tenté de suivre les enseignement de ce rapport. En 2000, malgré les critiques, on a pensé que cette réforme ambitieuse viendrait

droit à l’occasion d’une contestation. C’est le juge qui rend la justice. La justice est une prérogative souveraine qui appartient à l’état car l’état doit attribuer la fonction de juger à certaines personnes. C’est une nécessité car sinon les conflits ne serait pas tranchés. Ce deuxième sens repose sur un fondamental : on propose au juge de dire le droit parce que «  nul ne peut se faire justice à soi même ». On a besoin d’un tiers qu’est le juge. On en arrive à l’état qui organise la fonction

au 19e siècle ). Le droit est laïque en France. Il y'a d'autre société ou le droit est aussi limité pas parce qu'il y'a le libéralisme mais parce que c'est honteux de faire un procès ( Chine ), un homme d'honneur ne règle pas ces problèmes devant le juge mais le règle par lui même, il négocie . Titre 2 - Le droit et les droits Le terme de droit est assez polysémique, elle est essentielle car il y'a une notion entre le droit ( objectif = ensemble de règle de droit en vigueur dans un état ). Les droits

le chancelier D’aguesseau , il estimait que le juge charge d’appliquer la loi doit se contenter d’en être le religieux adorateur de la loi , sans rien y ajouter , et sans rien en retrancher. Le juge , doit être et en parallele peut être le bouche de la loi , celui qui se contente de transmettre de la loi , telle qu’elle , Celui qui se contente de l’appliquer dans les litiges pour lesquels il est saisit. On peut considerer que le raisonnement du juge lorsqu'il va être saisit d'un litige consiste toujours