Juifs du Pape

hérésies. Mais la violence caractérise souvent le combat pour l'unité de l'Église, elle marque la « christianisation » forcée de la Saxe par Charlemagne, donne lieu à la croisade des Albigeois, à la naissance du tribunal de l'Inquisition sous le pape Grégoire IX et aux guerres hussites. 3.3.2. Manifestations de la foi catholique Des milliers de fidèles répondent aux appels à la croisade ou se lancent sur les chemins de pèlerinage. Des sommes considérables sont engagées pour ériger des églises

manière littérale. L’Église catholique accepte le fait que la théorie de l'évolution soit plus qu'une théorie et reconnaît que le livre de la Genèse est plus symbolique que scientifique. Les juifs quant à eux acceptent cette théorie et ne lisent pas leur livre sacré, la Torah, de façon littérale. Néanmoins, quelques juifs essaient de créer une corrélation entre la sciences et la Torah. Les preuves Tout d'abord, les créationnismes réagissent très violemment à la théorie de l'évolution car affirmer que

années 1962 à 1965 et dénommé Vatican II, a généralement rassemblé 2,500 évêques, dont 28 du Québec. Lors des huit premiers conciles, les épiscopes présents provenaient du Moyen-Orient, à quelques exceptions près; l’épiscope de Rome, plus tard dénommé pape, n’avait convoqué aucun de ces conciles et n’y était pas présent. Les douze conciles suivants, réunis en Europe, étaient majoritairement composés d’évêques de ce continent. À Vatican II, seulement le tiers des évêques catholiques romains y exerçaient

l’Europe dans la nouvelle Constitution. Le pape commence par préciser que durant ces 50 ans, le continent européen a parcouru un long chemin qui a conduit à la réconciliation des deux poumons, l’Orient et l’Occident, “unis par une histoire commune mais arbitrairement séparés par un rideau d’injustice” !.. Accusant l’Europe d’oublier son identité forgée par le christianisme, de commettre une sorte “d’apostasie”, terme particulièrement dur de la part d’un pape, “apostasie de soi-même, plus encore que

systématique des juifs, par des ghettos dès 1939, puis des massacres intensifiés et des camps d’extermination à partir de 1941. Les tziganes subissent une politique similaire. Les homosexuels ne sont visés que s’ils sont allemands ou considérés comme tels (Alsaciens et Mosellans français). Un certain nombre d’entre eux ont subi les camps de concentration. - La première est critiquée par certains courants très minoritaires, certains anarchistes, socialistes ou par le Pape Benoît XV, la seconde

« Nouvelle Rome » (voir plan p 73 ). 2. Des chrétiens orthodoxes Doc. Icône p 72 A partir du schisme de 1054, l’Eglise d’Orient se sépare définitivement de l’Eglise catholique romaine : les chrétiens orthodoxes ne reconnaissent pas l’autorité du pape mais uniquement celle du patriarche de Constantinople nommé par l’Empereur, leurs cérémonies sont en grec, leurs prêtres peuvent se marier, leurs églises adoptent le plan en forme de croix grecque, un pouvoir miraculeux est accordé aux icônes (peintures

Vatican II (1962-1965), où il offrit notamment une importante contribution à l'élaboration de la constitution Gaudium et spes, le Cardinal Wojtyła prit part à toutes les assemblées du Synode des Evêques. Au cours du second Conclave de 1978, il fut élu Pape par les Cardinaux le 16 octobre et prit le nom de Jean-Paul II. Le 22 octobre, Jour du Seigneur, il entamait solennellement son ministère pétrinien de 263º successeur de l'Apôtre Pierre. Son pontificat de près de 27 années allait être l'un des plus

la raison » cherchera à scruter dans les deux œuvres la fonction de la séduction dans le conflit entre les papes, entre l’empereur et le pape, entre les représentants de la science et la religion. Au-delà de l’aspect superficiel des intérêts personnels présentés d’habitude comme le fond des conflits, nous allons voir qu’est-ce qui peut être commun entre un pape, un savant, un empereur et une philosophe ! La troisième partie « La séduction de la chair et du savoir » nous allons montrer à partir

ambigües entre les corsaires sarrasins et Hugues de Provence sont autant de signes que des lueurs de connaissance mutuelle filtraient à travers le brouillard d'une ignorance réciproque, mais inégalement distribuée entre les deux camps.   En 1076, le pape Grégoire VII et l'émir Hammadide de Bougie échangent des ambassadeurs et des informations sur des questions touchant à la communauté chrétienne de cette ville. Dans sa lettre, le pontife écrit que « d'une manière différente, nous reconnaissons tous

soumettent les peuples chrétiens d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient. Ils autorisent néanmoins les chrétiens à faire des pèlerinages sur les Lieux saints, du moins jusqu’à l’arrivée des Turcs seldjoukides, en 1078. L’Occident chrétien, à l’initiative du pape, organise alors des pèlerinages armés en vue de reconquérir les territoires perdus par la chrétienté. Ceux qui partent d’Occident portent une croix sur leurs vêtements ; on dit qu’ils sont « croisés » ; les musulmans les appellent les « Francs ». Bien