Jules de Goncourt

représentation des lieux, des machines et des personnages Manifestes et écrits théoriques : - Préface de Germinie Lacerteux (1865) - Préface de l’Assommoir (Zola, 1877) - Le Roman expérimental (Zola, 1880) Ecrivains et uvres : - Edmond et Jules de Goncourt, Germinie Lacerteux (1865) - Zola, Les Rougon-Macquart, histoire naturelle et sociale d’une famille sous le Second Empire (1871 1893) - Alexis, Céard, Hennique, Huysmans, Maupassant et Zola, Les soirées de Médan (1880) Le symbolisme Epoque

artistique, la générosité et l’idéal font place à un certain réalisme dans le style et les sujets traités. Ce réalisme est déjà présent dans les oeuvres de Balzac et de Flaubert, mais il s’affirme plus encore avec les écrits deMaupassant, des frères Goncourt, et plus tard d’Emile Zola, le chef de file du naturalisme, une vision de la littérature censée rendre compte de la société et de ses phénomènes avec le maximum de vérité et d’objectivité. A partir de 1860, un certain libéralisme politique s’installe

artistique, la générosité et l’idéal font place à un certain réalisme dans le style et les sujets traités. Ce réalisme est déjà présent dans les œuvres de Balzac et de Flaubert, mais il s’affirme plus encore avec les écrits de Maupassant, des frères Goncourt, et plus tard d’Émile Zola, le chef de file du Naturalisme, une vision de la littérature censée rendre compte de la société et de ses phénomènes avec le maximum de vérité et d’objectivité. A partir de 1860, un certain libéralisme politique s’installe

Cossery n’a jamais écrit qu’un seul livre ; ses neuf ouvrages (à l’exception d’Une (lire la biographie de COSSERY Albert...) COURTELINE Georges Portrait de COURTELINE Georges Georges Courteline, né Moinaux, est le fils de Joseph-Désiré Moinaux, dit Jules, journaliste vedette de La Gazette des Tribunaux, puis du Charivari, avant de devenir le librettiste attitré d’Offenbach et un (lire la biographie de COURTELINE Georges...) D'AULNOY Portrait de D'AULNOY La comtesse d’Aulnoy, née Marie Catherine

Daeninckx a publié une trentaine de titres qui confirment une volonté d’ancrer les intrigues du roman noir dans la réalité sociale et politique. Il a obtenu de nombreux prix (Prix populiste, Prix Louis Guilloux, Grand prix de littérature policière, Prix Goncourt du livre de jeunesse...), et en 1994, la Société des Gens de Lettres lui a décerné le Prix Paul Féval de Littérature Populaire pour l’ensemble de son œuvre. Parmi les derniers livres publiés par Didier Daeninckx, notons Zapping (1992), Nazis dans

Perses" d’Eschyle Outre ces trois livres existant dans plusieurs collections, vous sont proposés des études portant sur les ?uvres et des ouvrages généraux sur « la guerre ». Le thème 2014-2015, à l’aise ! «Veni, vidi, legi, vici » aurait pu dire Jules César ! SOMMAIRE Sur le thème de la guerre "Le Feu" de Henri Barbusse "De la guerre" de Carl von Clausewitz "Les Perses" d'Eschyle Sur le thème de la guerre Nous vous proposons comme études sur le thème de la guerre, différents livres analysant

croyons-nous, les fondements du réalisme moderne, et il est naturel que la forme ample et souple du roman en prose se soit toujours plus imposée pour rendre à la fois tant d’éléments divers.Henri Cartier-Bresson, Hyères, 1932 Jules et Edmond de Goncourt, Préface de Germinie Lacerteux, 1864 Vivant au XIXe siècle, dans un temps de suffrage universel, de démocratie, de libéralisme, nous nous sommes demandé si ce qu’on appelle « les basses classes »

écrits pour que le lecteur reconnaisse les lieux et parfois l’histoire. Le lecteur se sent ainsi proche du héros et le style d’écriture était simplifié volontairement pour toucher le grand public. Parmi les grands auteurs on peut notamment citer Jules Verne ( ?) ou la comtesse de Ségur. Démocratisation de la Presse également. création par le banquier Millaud en 1863 d’un « quotidien non politique au prix de cinq centimes » c’est Le petit journal. Puis Le petit parisien (1876), Le matin (1886),

« fabrique » de la notion littéraire -, cette expression qui deviendra un véritable slogan : l’école du désenchantement. On pourra vérifier cette expression dans son roman La Peau de chagrin, dans le roman de Stendhal Le Rouge et le Noir ou dans celui de Jules Janin L’Âne mort et la Femme guillotinée. Et c’est ainsi que la littérature va trouver son rythme à coups de slogan car dès 1830 elle ne peut plus échapper au pouvoir de la presse dont Balzac connaît parfaitement les rouages. N’est-ce pas ce qu’il

fabrique » de la notion littéraire -, cette expression qui deviendra un véritable slogan : l’école du désenchantement. On pourra vérifier cette expression dans son roman La Peau de chagrin, dans le roman de Stendhal Le Rouge et le Noir ou dans celui de Jules Janin L’Âne mort et la Femme guillotinée. Et c’est ainsi que la littérature va trouver son rythme à coups de slogan car dès 1830 elle ne peut plus échapper au pouvoir de la presse dont Balzac connaît parfaitement les rouages. N’est-ce pas ce qu’il