Jules Ferry

du Château d’Eau de Pierre-Simon Girard déplacée à son tour dans la cour d’entrée de la halle aux bestiaux de la Villette, où on la voit toujours. LES PROJETS Un concours ouvert en 1878 par le Conseil municipal sélectionna deux projets : celui de Jules Dalou qui présentait une sculpture de la République se dressant sur un char tiré par deux lions entouré d’allégories, le jury l’écarta sous prétexte que cette œuvre ne représentait pas la République mais le Triomphe de la République ! La statue trouva

députés de la gauche que l'on dit «intransigeante» ou «radicale». À cette place, il va s'en tenir longtemps à un rôle d'opposant qui lui vaudra le surnom de «tombeur de ministères». Ainsi combat-il avec succès les gouvernements «opportunistes» de Jules Ferry. Évincé de la politique par le scandale de Panama, il se cantonne dans le journalisme mais revient en grâce avec l'Affaire Dreyfus. Il retrouve une tribune avec son élection de sénateur du Var en 1902. Chef du mouvement radical, à l'extrême-gauche

avant sa séparation en décembre 1875 ; les 225 autres sièges le sont par un collège électoral le 30 janvier 1876. Le gouvernement[modifier] Au gouvernement de Jules Dufaure nommé au lendemain des législatives de 1876, mais encore trop marqué à droite pour les républicains[1], a succédé, le 12 décembre 1876, le ministère de Jules Simon. Jules Simon, ministre de l'Intérieur et président du Conseil, est un homme « profondément républicain et résolument conservateur » selon ses propres mots[3], il devait

ans plus tard face à l'avancée massive des républicains, et notamment de Léon Gambetta: le leader républicain. Les monarchistes sont vaincus alors qu'ils étaient majoritaires en 1871. La République s'impose avec l'élection d'un nouveau président (Jules Grévy), la chambre des députés (qui vote les lois et contrôle l'action du gouv.) et le sénat sont républicain également. Les Républicains mettent alors en place un régime démocratique libéral sous la forme d'une république parlementaire (libertés garanties+Parlement

Napoléon III et ouvre une nouvelle page dans l’histoire de la politique Française. Celui-ci étant fait prisonnier, c’est tout le système du second empire qui s’effondre ; et dans la quête du pouvoir ce sont les républicains représenté par Jules Fabre, Jules Ferry et Léon Gambetta, qui sont les premiers a proclamer le 4 septembre 1870 le nouveau régime français : la république. Mais cette proclamation n’à qu’une valeur politique, et tandis que la guerre contre la Prusse continu, une assemblée national

3) Le contexte historique resituez le texte dans le temps et l’espace : Après le renvoie de Jules Simon le Président du Conseil le 16 mai par Patrice de Mac-Mahon, Président de la République, la première grande crise de la IIIe République éclate. Le gouvernement suivant, nommé par le remplaçant de Simon, Broglie, n’est pas représentatif de la majorité parlementaire. Les députés de gauche, Gambetta et Ferry en tête, manifestent leur mécontentement vis-à-vis de cette décision du Président de la République

universel (élections municipales et élections législatives). * La propagande électorale. * Le développement de la presse nationale, régionale et locale, libérée de toute censure * L’alphabétisation croissante de la population grâce aux lois Ferry * L’école laïque avec sa pédagogie patriotique et moralisatrice véhiculée par les « hussards noirs » de la République * L’armée (brassage social, patriotisme). * Les cercles et cafés républicains (chambrées en Provence). * Les organisations

députés a été dissoute par le chef de l'état, partisan de la cause monarchiste, Patrice de Mac-Mahon. Au grand regret de ce dernier, les élections qui suivirent renforcèrent la présence républicaine ce qui le contraindra a quitter son poste en 1879. Jules Grévy, républicain sera élu président de la république Cette crise va non seulement corroborer la chambre des députés élue au suffrage universel direct mais va réduire la valeur du rôle que détient le président. Ainsi la chambre des députés détient

salut national).   C/ La victoire difficile des républicains (1871-1879)   Les débuts de la république sont très difficiles. La guerre contre  la Prusse va se prolonger par une guerre civile.   1.    La guerre et la révolution sociale.   Jules Ferry et Léon Gambetta <= chef du nouveau gouvernement qui veut continuer la guerre. Octobre 1870 : Paris est encerclé, durant l’hiver c’est la famine mais ils résistent et forme une milice : la Garde National. Au sein du gouvernement, les partisans

Doumer (années 20-25, par un anarchiste russe). Président qui démissionne : Casimir Perier, Alexandre Millerand, Paul Deschanel Felix Faure : mort pendant mandat. Jules Grévy Grand président : Raymond Poincaré, auteur des systèmes d'alliance 1913 "La politique coloniale est fille de notre politique industrielle" Jules Ferry 1912 : Titanic, rupture, idée que le progrès est aussi source de menace. Pas forcement signe de bienfaits. Prix Nobel accordé à M. Nobel, créateur de la dynamite