Jules Valles L Enfant Imagination

Charles Ferdinand Ramuz (série tech., sept. 2006) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sujet 16 • Texte de Georges Brassens (série collège, juin 2006) . Sujet 17 • Texte d’Arthur Rimbaud (série collège, juin 2006) . . Sujet 18 • Texte de Jules Supervielle (série collège, nov. 2007) . . . . . 261 ¾ ½ ¾ ¾ ¾ Le théâtre L’autobiographie 294 301 Sujet 19 • Texte de Marcel Pagnol (séries tech. et prof., juin 2005) ¾ Sujet 20 • Texte de Jérôme Garcin (série collège, avr. 2007) .

vil- quelques inscriptions complètement déçu, quand, à notre passage, on nous a montré deux fragments 48 tl'épilaplies qui ornent cour de la prèlre calabrais enseigne le l'école, un jeune où grec nnoderne aux enfants du village, filles el garçons. N" >"" 7;!. 0- T- B- CONS(tantinys) V- A- V- E- H 7-I. ()• PRAEC(iLivs^ S T B Q C- FIL DVLGIS FIL V- A- SIMO PA T- XXV H- S- E Des hauteurs de Sidi-Merouan

Poursognac, une pièce de Berquin, une de Scribe et un proverbe dramatique de Carmontelle » Entrée au Collège royal de Rouen : « Un soir, à trois heures, en veste bleue ». Flaubert a onze ans. Flaubert envoie ses vœux à son oncle Parain, sa femme et leurs enfants, les Bonenfant. 1833 Séjour à Nogent-sur-Seine. Flaubert a été au spectacle : trois pièces, dont la troisième, Simple Histoire, de Scribe et De Courcy « était bien jouée ». Baptême d’Émilie-Apolline Bonenfant : « J’ai assez mal baptisé ma pauvre filleule

Shakspeare et Walter Scott ont coutume de représenter leurs fossoyeurs ou leurs faiseurs de cercueils – deux professions qui se touchent du doigt – comme des personnages gais et plaisants : ils en tirent ce bénéfice que le contraste frappe notre imagination, et, par conséquent, nous impressionne davantage. Notre respect pour la vérité nous défend malheureusement de suivre leur exemple, et nous sommes obligé d’avouer que le caractère de notre héros était en harmonie complète avec le métier qu’il exerçait

né en 1895 a été notamment lié au dadaïsme, au constructivisme et au Bauhaus. Il meurt à Chicago en 1946. VIGO Jean Zéro de conduite fr 1933 Film corrosif tourné par jean VIGO (1905-1934), fils de l’anarchiste Miguel ALMEREYDA, qui montre des enfants révoltés face à la sclérose du milieu scolaire. Cette utopie de la révolte juvénile annonce le fameux If de ANDERSON EN 1968. BRUNIUS Jacques Bernard Autour d’une évasion fr 1934 Film surréaliste, reprenant une idée de Jean VIGO, autour de la

du désir d’abolir la contrainte métrique (l’exigence d’une longueur fixe et identifiable) qui pesait sur le vers, pour donner à l’expression poétique une souplesse qui l’accorde aux mouvements de la sensibilité. Les théoriciens du vers libre sont Jules Laforgue et Gustave Kahn (cf. Palais nomades de Kahn, 1887). 6 En effet, la poésie moderne propose souvent des vers libres, les vers dont le nombre de syllabes n’est pas déterminé. Le vers est libre, c’est-àdire de dimensions et de structures

l’autre, mais non l’un avec l’autre pourtant, nous avions ce que j’ai su plus tard qu’on appelait « de mauvaises habitudes ». Qui de nous deux en avait instruit l’autre ? et de qui le premier les tenait-il ? Je ne sais. Il faut bien admettre qu’un enfant parfois à nouveau les invente. Pour moi je ne puis dire si –4– quelqu’un m’enseigna ou comment je découvris le plaisir ; mais, aussi loin que ma mémoire remonte en arrière, il est là. Je sais de reste le tort que je me fais en racontant ceci

ruraux de l’époque : les Civam (Centres d’information et de vulgarisation agricole et ménagère) et les Maisons familiales rurales. 15 LE SYNDICALISME Être syndicaliste c’est regarder dans la même direction. C’est le 7 juillet 1883 que M. Jules Tanviray, professeur départemental d’agriculture, créa le syndicat des agriculteurs du Loir-et-Cher. La profession de foi (publiée sous la forme d’un programme) déclarait : « Les syndicats sont des associations de personnes ayant des intérêts identiques

. p 89 par G Fontana, Professeur certifié, DEA de Philosophie LA VIE .................................................................................................................................. p 99 par Gilbert Guislain, Professeur au lycée Jules Ferry à Versailles, Interrogateur à Grandchamp, Saint-Louis de Gonzague et Intégrale L a par Gilbert Guislain V i e SUJETS DE DISSERTATIONS .............................................................................................. p 115 SUJETS

. . . . . 7.1. Louis-Napoléon Bonaparte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7.2. Adolphe Thiers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7.3. Patrice de Mac-Mahon . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7.4. Jules Grévy . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7.5. Sadi Carnot . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7.6. Jean-Casimir Périer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7.7. Félix