Julie-Victoire Daubié

que de récits autobiographiques. Elle fut aussi poète, traductrice, essayiste et critique. Elle fut la première femme élue à l'Académie française en 1980, après un soutien actif de Jean d'Ormesson, qui prononça le discours de sa réception. Julie-Victoire Daubié, née le 26 mars 1824 à Bains-les-Bains (Vosges) et décédée le 26 août 1874 à Fontenoy-le-Château, est une journaliste française. C'est la première femme française ayant obtenu le droit de se présenter au baccalauréat, , à Lyon en 1861.

jeunes filles. La mobilisation pour l’éducation des femmes trouve appui dans l’opposition libérale au régime, notamment dans les milieux saint-simoniens. Elisa Lemonnier crée en 1862 les premières écoles professionnelles pour jeunes filles. Julie-Victoire Daubié sollicite avec le soutien de François Barthélemy Arlès-Dufour, un influent capitaine d’industrie saint-simonien, l’autorisation de se présenter à l’épreuve du baccalauréat qu’elle obtient à Lyon en 1861 à l’âge de 37 ans. Madeleine Brès doit

définis en fonction des rôles sociaux assignés aux femmes, les couvents et congrégations prennent majoritairement en charge l’éducation des jeunes filles. Elisa Lemonnier crée en 1862 les premières écoles professionnelles pour jeunes filles. Julie-Victoire Daubié obtient l’autorisation de se présenter à l’épreuve du baccalauréat, qu’elle obtient en 1861, à l’âge de 37 ans. L’amélioration de l’enseignement des femmes reste un leitmotiv des féministes françaises : en 1866, André Léo crée ainsi une association

jeunes filles. La mobilisation pour l’éducation des femmes trouve appui dans l’opposition libérale au régime, notamment dans les milieux saint-simoniens. Elisa Lemonnier crée en 1862 les premières écoles professionnelles pour jeunes filles. Julie-Victoire Daubié sollicite avec le soutien de François Barthélemy Arlès-Dufour, un influent capitaine d’industrie saint-simonien, l’autorisation de se présenter à l’épreuve du baccalauréat qu’elle obtient à Lyon en 1861 à l’âge de 37 ans. Madeleine Brès doit

dociles, vertueuses et aptes aux travaux d'aiguilles, alors que les garçons sont formés à une vie active. En 1862, Elisa Lemonnier crée les premières écoles professionnelles pour jeunes filles. Puis, en 1861, c'est à l'âge de 37 ans que Julie-Victoire Daubié est la première femme à obtenir son baccalauréat, après avoir sollicité le soutien de François Barthélémy Arlès-Dufour, un influent capitaine d'industrie saint simonien. De même, Madeleine Brès, grâce à l'intervention de l'impératrice Eugénie

de Paris. Il sanctionnait alors plusieurs années d'enseignement spécialisé en droit, médecine ou théologie. Il a été recréé dans sa forme moderne par Napoléon Ier en 1808. L'usage plus que les textes en interdisait l'obtention aux filles. Julie-Victoire Daubié, Vosgienne de Fontenoy-le-Château l'obtient à Lyon à l'âge de 37 ans en 1861. Depuis l'année 1924, les filles et les garçons passent le même examen (cf. Histoire de l'éducation des filles en France). Actuellement le baccalauréat français

qui les limitait dans leurs projets personnels. Progressivement, les choses ont évolué. Lors des deux guerres mondiales, on peut dire que la situation a basculé car les femmes ont du prendre la place des hommes. Depuis les femmes ont obtenu des victoires significatives dans de nombreux domaines (contraception, avortement, etc.…). La parité est aujourd’hui protégée par la loi. Mais l’égalité homme, femme est encore loin d’être parfaite. Il s’agit d’un domaine immense. Nous ne pourrons le traiter

filles. La scolarité n'est cependant pas encore ni gratuite ni obligatoire. 1851 - France : le premier projet de loi proposant le droit de vote des femmes aux élections municipales voit le jour : il est dû à Pierre Leroux. 1861 - France : Julie-Victoire Daubié est la première bachelière française. 1862 - France : Elisa Lemonnier crée l'enseignement professionnel féminin, public et laïque. 1867 - France : Victor Duruy créé les cours secondaires publics destinés aux filles. 1874 - France

examens, aux diplômes, aux distributions qui préparent les hommes à la vie publique. » Certaines pourtant s’obstinent pour l’accès à ce grade de bachelier qui leur ouvrirait les portes de l’enseignement supérieur. La première à l’obtenir est Julie-Victoire Daubié, qui essuie d’ailleurs dis refus successifs du recteur de l’université de Paris pour son inscription, persuadé qu’il est que cette demande est « outrecuidante, ridicule, que les femmes n’ont pas besoin de cela ». En 1908, enfin, sans doute

fonction du sexe de leurs élèves. En effet, les filles y apprennent les travaux ménagers et la puériculture. Il s’agit d’ailleurs souvent de couvents .Elisa Lemonnier crée en 1862 les premières écoles professionnelles pour jeunes filles. Julie-Victoire Daubié sollicite avec le soutien de François Barthélemy Arlès-Dufour, l’autorisation de se présenter à l’épreuve du baccalauréat qu’elle obtient à Lyon en 1861 à l’âge de 37 ans. Mouvement pour le droit de vote des femmes Royaume-Uni Au Royaume-Uni