Julien Sorel Heros Romantique Prison

seulement la sienne, mais celle de « beaucoup d'autres » qui ont partagé son infortune : « Si j'étais seul malade, je n'en dirais rien ; mais, comme il y en a beaucoup d'autres que moi qui souffrent du même mal, j'écris pour ceux-là... » La génération romantique de 1830 (les écrivains nés vers 1810 : Gérard de Nerval né en 1808, Alfred de Musset ne en 1810, Théophile Gautier né en 1811, exprime une même vision désabusée, pessimiste, du monde. C'est dire si la date de naissance importe des lors que la société

* Cosme le Grand Cosme dit le Grand arrière petit -fils de Cosme l’ancien. Il est le 1er à porter le titre de duc. * Julien Il est le frère de Laurent de Magnifique, il est cardinal mais il a quand même une famille. * Jean Il est le fis de Laurent le Magnifique. Il deviendra le Pape Léon X et ce fut un très grand pape, dans les années 1520. * Jules Julien a un fils illégitime qui s’appelle Jules et qui deviendra pape à son tour, appelé Clément VII. * Alexandre Il est le

conseils. Ils n’arrivaient à rien de satisfaisant. Heureusement qu’ils trouvèrent dans leur bibliothèque l’ouvrage de Boitard, intitulé L’Architecte des Jardins. L’auteur les divise en une infinité de genres. Il y a, d’abord, le genre mélancolique et romantique, qui se signale par des immortelles, des ruines, des tombeaux, et un ex-voto à la Vierge, indiquant la place où un seigneur est tombé sous le fer d’un assassin ; on compose le genre terrible avec des rocs suspendus, des arbres fracassés, des cabanes

potentiel (cet animal est bien vertébré); pour déterminer si un élément relève de tel type, on compare les propriétés du type (par exemple, un texte romantique est écrit au « je », exprime une émotion et de forte intensité, etc.) et celles de son occurrence potentielle (ce texte possède les propriétés du texte romantique, il est donc un texte romantique). 1.3 Analyses avec et sans hypothèse 1 On peut ajouter à ces genres textuels le résumé, qui est également une forme d‘analyse puisqu‘il fait

| | | |Georges SOREL (1847-1922) | |

boisage», «les dents serrées de colère, le coeur gonflé de haine, l’unique résignation à la nécessité du ventre» (page 492). Et le Voreux était toujours «le monstre avalant sa ration de chair humaine». Mais Étienne «recommençait le rêve de les changer en héros, de diriger le peuple, cette force de la nature qui se dévorait elle-même» (page 493), avait «l’espoir fiévreux de la revanche» (page 494). Il aperçut la Maheude qui, «lamentable dans ses vêtements d’homme» (page 495), descendait dans la mine et qui

avec son mari Selim dit Le Soussi et leurs deux fils (Ali et le Bareki) dans un bidonville, la Cité, près de Tanger. 3 Nour est « initié » par Ma el Aïnine ; Lalla, par Es Ser : derrière ces deux maîtres, il y a El Azraq, l’Homme Bleu. Les deux héros suivent donc un même chemin spirituel, chacun à une époque et dans des contextes différents. Tous deux se dirigent vers le Nord : Nour suit sa tribu de Smara vers Tiznit, vers la Saguiet el Hamra, en quête d’une vie meilleure pour les Touaregs ; Lalla

boisage», «les dents serrées de colère, le coeur gonflé de haine, l’unique résignation à la nécessité du ventre» (page 492). Et le Voreux était toujours «le monstre avalant sa ration de chair humaine». Mais Étienne «recommençait le rêve de les changer en héros, de diriger le peuple, cette force de la nature qui se dévorait elle-même» (page 493), avait «l’espoir fiévreux de la revanche» (page 494). Il aperçut la Maheude qui, «lamentable dans ses vêtements d’homme» (page 495), descendait dans la mine et qui

«_les dents serrées de colère, le coeur gonflé de haine, l’unique résignation à la nécessité du ventre_» (page 492). Et le Voreux était toujours «_le monstre avalant sa ration de chair humaine_». Mais Étienne «r_ecommençait le rêve de les changer en héros, de diriger le peuple, cette force de la nature qui se dévorait elle-même_» (page 493), avait «_l’espoir fiévreux de la revanche_» (page 494). Il aperçut la Maheude qui, «_lamentable dans ses vêtements d’homme_» (page 495), descendait dans la mine

vallei Bij een gorilla stonden te kwijlen Zonder zorg wat men ervan zei. Onbeschaamd was ’t getuur van die wijven Naar één plek die ik, sakkerloot, Nooit en te nimmer kan beschrijven, Omdat mijn moeder dat verbood. Pas op, een gorilla! Tout à coup la prison bien close (fermée) Où vivait le bel animal S'ouvre, on n'sait pourquoi, je suppose Qu'on avait dû la fermer mal; Le singe en sortant de sa cage Dit: "C'est aujourd'hui que j'le perds," Il parlait de son pucelage (maagdelijkheid) Vous aviez deviné