Jupon

l’auteur de raconter son déshabillage à la façon d’un striptease. Pour faire monter la tension, il y a une gradation dans le déroulement, « elle avait défait ses bottines, elle retirait ses bas et dénoua son jupon ». L’érotisme est accentué par la description précise de la chute du dernier jupon. Le moment ou enfin elle s’offre est matérialisé par la métaphore « les ressorts chantèrent sous son poids ». C’est toujours elle qui se montre sensuelle elle est « nue sous la chemise flottante » et « deux

continuellement. L'univers, n'excédait pas le tour soyeux de son jupon. A chaque fois que je soigne un patient je n’arrête pas de penser a elle, elle hante mes pensées. C’est la première fois que j’ai pris une telle décision, celle d’épouser la femme que j’aime, pour la première fois de ma vie je suis le seul maitre de mon destin. Dans ma vie, comme dans mes études je n’y comprenais rien à rien j’étais étourdis je vivais sous les jupons de ma mère qui décidait de tout pour moi. Mais aujourd’hui je

Comtesse, fiancée de Figaro, objet de désir de plusieurs hommes comme Chérubin mais surtout le Comte. Symbolise la vertu, est moqueuse → lance des pics subtiles au Comte, est fidèle à son mari et à la Comtesse Chérubin= page du Comte, coureur de jupon, sert souvent de messager Le Comte= Grand seigneur d'Espagne caractérisé par le libertinage favorisé par son rang social, représente l'aristocratie Basile= maître de clavecin de la Comtesse, sert de commère dans cet extrait Figaro= valet du Comte

enchantements, Je guette, obéissant à mes humeurs fatales Des êtres singuliers, décrépits et charmants. Ces monstres disloqués furent jadis des femmes, Éponine ou Laïs ! Monstres brisés, bossus Ou tordus, aimons-les ! ce sont encor des âmes. Sous des jupons troués et sous de froids tissus Ils rampent, flagellés par les bises iniques, Frémissant au fracas roulant des omnibus, Et serrant sur leur flanc, ainsi que des reliques, Un petit sac brodé de fleurs ou de rébus ; Ils trottent, tout pareils à

Lecture On nous demande comment s’opère le duel entre les deux protagonistes . Pour cela nous allons étudier trois axes majeurs : un duel sous le masque de la bienséance une arme : l’ironie il s’agit d’un duel entre une coquette et un Tartuffe en jupon Partie 1 : Bienséance : C’est ce qui ne choque pas le bon goût de l’époque. C’est un ensemble de barrières à ne pas franchir, or cette scène est une scène d’Agôn ou d’Agone (une scène de combat dans le théâtre Grec ) Deux femmes du monde donc

donne. Il souffla bien fort ce jour-là, Et le jupon court s’envola ! » Cette chanson chantée par le personnage maudit de l'Aveugle lors de la mort d'Emma fait clairement référence à la vie qu'elle a menée. Tout d'abord, la première phrase symbolise ses rêves d'amour alors qu'elle n'était qu'une enfant dans son couvent. Puis, les « épis » représentent les amants qu'Emma a eu au cours de sa vie. De plus, le vent qui souffle dans son « jupon court » donne une image de légèreté. Enfin, « la

      – L'Aveugle s'écria-t-elle.      Et Emma se mit à rire, d'un rire atroce, frénétique, désespéré, croyant voir la face hideuse du misérable, qui se dressait dans les ténèbres éternelles comme un épouvantement.Il souffla bien fort ce jour-là,Et le jupon court s'envola !      Une convulsion la rabattit sur le matelas. Tous s'approchèrent. Elle n'existait plus.Mouvements: 1- “ Cependant à lui découlèrent des yeux”: une rémission momentanée2) “ Alors à comme un glas de cloche”: la lutte entre la vie

Les robes sont en constante évolution du 14eme au 17eme siècle. Premièrement, la robe s’élargie en cloche vers le bas, puis vers 1550, le vertugadin apparait. C’est un gros jupon recouvert d’un bas-de-jupe de taffetas épais. Cette mode viendrait de Jeanne de Portugal qui l’a créée afin de cacher sa grossesse. Vers 1600 le jupon atteint sa largeur maximale. La robe s’ouvre largement en décolleté pour laisser voir la cotte. Aussi ses manches sont très évasées et doublées de fourrure. Pour le haut de

« bouche », « sourire », « ventre ». La femme sait jouer de ses charmes par maintes artifices : ses « jupons » (v.10), « ses bijoux ». III). La beauté est une fleur du mal. 1). Soumission du poète. Si la beauté suscite la dévotion de ceux qui l’entourent, elle provoque en même temps leur avilissement en établissant une relation de maître à esclave : « le désir charmé suit tes jupons comme un chien » (v.10). Le poète aux genous de son unique « reine ». La soumission de l’amant est suggérée

d‘emblée  par  la  majuscule,  et   son  anthropomorphisation,  voire  gynécomorphisation,  pour  être   plus  précis   –  en  nous  passant  ce   néologisme  !   Et   elle  est  bien  femme:  regard,  œil,  répands  des  parfums,  baisers,  bouche,  jupons,  l’omnipotence: «Et tu gouvernes tout», et l‘innocence affichée: «et ne réponds de rien».  ∙  traditionnelles  aussi certaines images: celui  de la  «belle matineuse» réapparaît avec l’œil au  couchant  et  à   l’aurore.  Le  philtre  amoureux