Juron

solitude (« glacées »). Les thèmes associés à ce texte sont ceux de l'usure d'un couple, du non-sens de la vie, de la fuite de la tendresse ou encore du vole des illusions. Brest, de Miossec Miossec fait passer son message par des procédés dont un juron « tonnerre de Brest ». On ressent plus de colère que de tristesse, de plainte : « tu me détestes » ; « dévorer les restes ». Il s'adresse à quelqu'un, avec qui semblerait-il que sa relation soit orageuse. Le texte nous suggère que s'il venait à partir

comique Madame Pernelle, très agitée, coupe la parole à tout le monde (=/ Flipote qui est muette, molle, lente). Langage de Mme Pernelle, des expression populaires : la cour du roi Pétaud, pire eau que l’eau qui dort, qui veut plaire à son mari ; des jurons, des grossièretés : vous êtes un sot, forte en gueule, merci de ma vie. Tf utilise la religion comme une manière de « réussir » dans la vie, en abusant de la naïveté et de la crédulité d’êtres manipulables (aujourd’hui les responsables de certaines

satire des ecclésiastiques ? I- Vulgarité du personnage Le personnage de maître Janotus est vulgaire à cause de son éducation. Son impolitesse se manifeste à plusieurs endroits : « bien l’bonjour » + pas de préambule + familiarité + impératifs + jurons Le personnage est grossier de caractère : il est malhonnête (l.24 : dîner + l.30 : propose des indulgences) De plus, il projette sa malhonnêteté sur les autres (l.15 : « sauf si on ne se tient pas à ce qu’on m’a dit ») Janotus se voit confier

humaine, j’observai la rue, une silhouette me fit sursauter. Fermement campé au sol, revêtu d’un sévère uniforme bleu, un policier faisait penduler sa matraque. Le représentant de l’ordre balayait la foule des yeux. Je me figeai inconsciemment. Des jurons retentirent dans mon dos, pourtant, je ne bougeai pas d’un pouce. La vigilance de l’agent semblait totale, et, de trop nombreuse fois, son regard scrutateur se posa sur moi. Je tremblai, parcourue de spasmes glacés. - Vous devriez fuir, me murmura

vain Toinette.Le comique de mots est également présent dans cette scène lorsque les interjections « Ouais ! », « Ah ! », « Eh ! » donnent de l’intensité et surprennent le lecteur. Le registre de langue est courant voire familier, avec l’emploi de jurons ou d’injures par Toinette ou Argan comme « Mon Dieu », « Chienne », « Pendarde », ainsi que des menaces verbales de la part d’Argan pour Toinette. Ces expressions provoquent le rire du lecteur et soulignent la spontanéité des échanges entre les 2

: il naît du décalage entre le type de scène jouée (scène de séduction amoureuse), et la manière dont elle est jouée. comique de gestes : les mimiques d'Arlequin comique de langage : les changements de registre ; langage galant d'Arlequin + juron ("palsembleu"). Parodie du langage précieux : "mes flammes", "mes feux". D. L'intention morale Le but de la caricature : montrer aux maîtres-spectateurs la réalité de leurs comportements. La parodie de la scène d'amour révèle le caractère artificiel

et un filet limpide d'alcool (l.7). Le narrateur reproduit le langage et le comportement du monde ouvrier avec les surnoms : (l.5) «le zingueur» qui est en fait Coupeau ; les exclamations : (l.15) «Tonnerre de Dieu !» ou « Dame ! » (l.19) et les jurons : « ce roussin » (l.21). Le discours rapporté et le style indirect libre reproduisent des formules familières et donnent aux propos des ouvriers un côté plus réaliste. Zola, pour décrire l'Alambic de façon plus réaliste, utilise la personnification

vulgaire cela choque car il est noble. Il est aussi lâche, sans morale, fourbe, traître, stupide * mère ubu est manipulatrice, ambitieuse, mal intéressée, vulgaire, sournoise, pas bête car elle veut le pouvoir * tensions entre le couple * jurons déviés à cause de la censure imposée par une société moralisante (merdre) * scène grotesque, peu subtile, farce * Exagération, vulgarité, ridicule B) grotesque * Le lieu n’est pas historique : Pologne c’est absurde => indications

frissonne » -exagération pour montrer l’importance de l’aveu « le comble des horreurs » « nom fatal » -périphrase pour désigner Hippolyte 3. Une réaction immédiate -phrases exclamatives « Voyage infortuné » « tout mon sang dans mes veines se glace » -jurons « Grands Dieux » « Juste ciel » -gradation « Ô désespoir !ô crime !ô déplorable race ! -adjectifs péjoratifs pour monter l’importance des conséquences de cet aveu « infortuné » « malheureux » « dangereux »

se produise. Il permet une bon inter du message. _______________________________________ La fonction expressive Cette fonction est axée sur le destinateur qui manifeste ses émotions, son affectivité., donc sur le « je ». Les onomatopées, les jurons, les formes exclamatives en général, les adjectifs à valeur expressive, etc. Les traits non linguistiques du genre mimique, les gestes, le débit, les silences, ont aussi une fonction expressive.  Exemple: « [Ça] nous rappelle douloureusement René