Juron

des pipes montait dans la clarte aveuglante du gaz, ou elle roulait comme une poussiere, noyant les consommateurs d'une buee, lentement epaissie; et, de ce nuage, un vacarme sortait, assourdissant et confus, des voix cassees, des chocs de verre, des jurons et des coups de poing semblables a des detonations. Aussi Gervaise avait-elle prissa figure en coin de rue, car une pareille vue n'est pas drole pour une femme, surtout quand elle n'en a pas l'habitude; elle etouffait, les yeux brules, la tete deja

l'amour et ne savait plus aimer. Avec mes paroles qu'elle a vite avalées, mes promesses et ma séduction, son cœur s'est remis à battre pour un homme, cet homme est bien moi. Je me suis métamorphosé en ogre, la blessant, la rejetant, lui lançant des jurons et l’humiliant, sauf qu'elle m'a toujours pardonné, au point de la sentir soumise et esclave de cet amour. Mais je ne lui résistais pas quand mon regard croisait le sien à travers l'écran qui nous séparait, son regard revolver, beau et doux, chargé

Gros JérémyTd n°201Explication linéaireLe Bourgeois Gentilhomme est une comédie-ballet écrite par le dramaturge Molière, est représenté pour la première fois le 14 octobre 1670 au château de Chambord devant le roi et la cour. C’est la dixième œuvre de l’auteur. Cette comédie fait la satire des bourgeois et plus précisément des bourgeois minaudiers, c’est-à-dire les riches gens qui ne possèdent pas de titre de noblesse depuis la naissance et qui souhaite par-dessus tout l’être. La pièce

ensuite ses études universitaires à Victoria en Colombie-Britannique, à Cambridge dans le Massachusetts et à New York. À l'âge de vingt ans, elle arrive à Paris pour poursuivre ses études puis décide de s'y installer. Elle travaille à un mémoire sur les jurons à l'École des hautes études en sciences sociales sous la direction de Roland Barthes, participant dans le même temps au mouvement des femmes et publiant dans des revues et journaux qui y sont liés, notamment Sorcières,Histoires d'Elles et les Cahiers

de peuple-concierge mais pour rentrer chez nous le soir à l'heure où le soleil s'en vient crever au-dessus des ruelles mais pour vous dire oui que le soleil se couche oui chaque jour de nos vies à l'est de vos empires rien ne vaut une langue à jurons notre parlure pas très propre tachée de cambouis et d'huile speak white soyez à l'aise dans vos mots nous sommes un peuple rancunier mais ne reprochons à personne d'avoir le monopole de la correction de langage dans la langue douce de Shakespeare

adoucissement des mœurs conserve la pratique de la langue. C’est au 17e siècle que vient l’idée de pacifier la langue. Pourra-t-on être condamné à une exécution capitale pour fait de blasphème ? On fait la traque aux jurons. « Sacré nom de dieu » -> « scrogneuxgneux ». Chasse aux blasphèmes, aux jurons, aux interjections. Il y aussi l’idée de restaurer une langue unifiée comme si l’on pouvait retrouver en quelque sorte une origine, l’enjeu étant en vérité d’unifier un territoire. Se crée ainsi une mythologie

les paroles de son discours n’étaient pas acceptables. De plus, la personnification qui suit nous indique que lors d’une forte réaction le général est porté à utiliser des grossièretés. « En silence, Hercule Poirot écouta le torrent d’insultes et de jurons que crachèrent les lèvres du vieil homme. » (p.213) Ensuite, la manière dont il parle de ses filles n’est pas réellement acceptable. Lorsqu’il utilise la litote « Elles ne sont pas trop moches… pas trop moches dans l’ensemble. » (p.211) pour décrire

personnage le plus vomique de la pièce I/Le personnage d'Arlequin 1) Arlequin, fou Amoureux -Champ lexical de l'amour -Arlequin premier a déclarer sa flamme -Arlequin submergé de joie -Arlequin appelle Lisette: "Princesse" -"Ma princesse", "jurons nous" => langage peu flatteur, infantile 2)Une caricature d'un personnage amoureux -Personnage ridicule: Hyperbole "Je crie au feu" -On imagine Arlequin courir partout -Exagération de la scène -Comique de scène: Arlequin fou amoureux: Parle

sa chemise. Fabu menaçait de lui tordre le col, bien qu’il ne fût pas cruel, malgré le tatouage de ses bras, et ses gros favoris. Au contraire ! il avait plutôt du penchant pour le perroquet, jusqu’à vouloir, par humeur joviale, lui apprendre des jurons. Félicité, que ces manières effrayaient, le plaça dans la cuisine. Sa chaînette fut retirée, et il circulait dans la maison. Quand il descendait l’escalier, il appuyait sur les marches la courbe de son bec, levait la patte droite, puis la gauche

Cet extrait nous présente une scène d’exposition traditionnelle. Tout d’abord nous rentrons dans une scène d’exposition in médias res  comme le montre la premier de Figaro :« Dix-neuf pieds sur vingt-six » ou l’on voit le personnage directement en action. Celui-ci est interrompu par sa fiancée Suzanne qui le questionne en sollicitant son avis concernant son chapeau comme le démontre l’interrogation « le trouves-tu mieux ainsi ? », ce qui permet alors de créer une affinité entre les deux personnages