Juron

rôle à jouer sur le plan politique. -elles doivent ê sous la dépendance de leur mari (ex tâches domestiques l.5-7) et considèrent que la magistrature n'est pas pour les Fe.( l.31-32). *une leçon rendue ambigue par le comique. Effets comiques: juron "mort de ma vie"l.20. comparaison incongrue (déplacée): l.20 le pistolet est comparé à un éventail. Ainsi, le comique rend le message ambigue: il semble contrecarré la modernité de la prise de position des femmes. Bilan: l'argumentation, qui s'incarne

(« que j'exposasse l'embonpoint de mes plumes à l'inclémence de la saison pluvieuse » l. 25-26 pour « que je sois mouillé par la pluie »). Scène 6 et 7 : comique renforcé par le contraste avec le registre familier des autres personnages (ex : jurons « dame » dans les deux scènes, l. 5 et 23, « par ma foi » l. 16, mots nouveaux comme « filofie » l. 6, qui trahit le manque d'éducation de Marotte). Mais un message satirique sous-jacent a. La satire sociale : la violence des rapports maîtres/serviteurs

langage familier qui nous interpelle le plus car c’est une chose peu commune à l’époque et cela marque le lecteur ou le spectateur. Pour moi le procédé qui intéresse le plus est le langage familier et la vulgarité qu’utilise Alfred Jarry, tel que le jurons « Merdre » que l’on peut caractériser d’euphémisme de la comédie classique. Le langage familier donne au texte un aspect comique et le comique est ainsi lié à la provocation. Le premier mot « merdre « constitue un défi, il choque le public. Une

mouvements « bondit,rebondit »et de son environnement « corde ».Ce qui fait la description d'un objet en mouvement . II) Le jeu poétique: 1) Jeu sur le rythme et les sons a. Rythme: i. "Tous les coeurs il dévaste/ mais se doit d'être chaste/ et son juron est baste!" ii. "Plus rose que nature/ et moins adroit qu'un singe/ il bondit aux agrès/ saisi d'un zèle pur." b.Sonorités: i. Rime intérieure: suffixe "aste" (l.6) ii. Allitérations ou "chaînes" de sonorités 2) Jeu sur les mots a) Détournement

noble a) Un sujet noble Lieu : palais (didascalie initiale ) Enumération des titres de noblesses + terres Proclamation des édits (l40) Personnages de noblesse ( roi , compte , duc , …) b) Un sujet détourné de façon comique Comique de mot : jurons « merdre (v1) , « boufferesque » + injures « tu as une sale tête » , « stupide bougre » Visuel , gestuel = usine ou jeu = nobles arrivent , on leur pose un question , puis disparaissent + « crochet à nobles (b10) Comique de répétition : question aux

personnages s'affrontent avec brio par le biais du langage. Effet dur le spectateur : vivacité et fraîcheur car les répliques rebondissent d'un personnages à l'autre (courtes et incisives) + rythme (onomatopée « crac », interjections « Oh non! », juron « Parbleu !»). L'énonciation est traditionnelle (un personnage parle à un autre) mais très travaillée au niveau de la langue. − Paragraphe 4, Texte D : Voix Off = énonciation moderne qui nécessite des moyens matériels modernes (texte du XXe). Effet

Références textuelles Analyses Interprétations I. Le bilan des personnages. 1.Mr Roland : La voilà… la voilà / Elle vient / Cristi ! ça va vite Pronoms : la Lorraine + " Cristi " juron fam. Mr R. fidèle à lui-même : on retrouve ce juron qui fait écho au " Zut ! " du début du roman mais surtout ici on voit qu’il est plus intéressé par le bateau que par son propre fils qui part !  Criait toujours Roland Didascalie (vaudeville) + adverbe de permanence

tous les deux de nature pessimiste : « Moi, je veux me fâcher et ne point entendre » comme le dit Alceste au vers 6 et Philinte aux vers 7-8 : « Je ne puis vous comprendre ». C’est une scène comique car Molière utilise le comique de mots avec des jurons comme « Morbleu » au vers 27 puis au vers 62 et avec les stichomythies des vers 1 à 6. Le comique est présent dans les premiers vers quand Alceste est en colère contre Philinte. On peut voir le comique de gestes avec les didascalies : « assis »,

poignets et un jet d'eau brûlant s'est échappé de ma bouche pour plonger en mon sein. Il est ensuite partit -sûrement pour boire un verre de lait. J'écoutais : d'après les bruits de tiroirs que l'on ouvre et qu'on referme violemment, ainsi que des jurons grossiers, j'en ai déduis qu'il n'y avait plus de lait dans le frigo. Allait-il revenir ? Je commençais à déborder... Un bruit de porte ouverte puis refermée doucement : c'était la mère de famille inquiétante. Si seulement il y avait eu du lait

» L.7« Tais-toi ! » L.22«Je t’ordonne de te taire maintenant» L.30«Vas-tu te taire, enfin, bon Dieu ?» L.34 | -Répétition du verbe se taire= insistance -Mode impératif=ordre- Exclamation= ton plus insistant-Questions qui ont valeur d’exclamation -Juron= voc familier | Les personnages ne parviennent plus à communiquer calmement : leurs paroles contiennent de la violence. Ainsi que leurs gestes. | «Imbécile» L.11«Tu es laide» L.22«Avec vos rides, votre ventre» L.3«Lui broie le bras» L.30«il la secoue»