Juron

l’identité de l’inconnu du cabinet, « Chérubin », et les motifs réels de l’invitation pour Londres. Figaro va déclencher le comique, volontairement, en retardant les conclusions d’Almaviva. Il fait diversion avec la fameuse tirade de God-dam. C’est un juron qui occupe la scène. On a l’impression d’avoir une pièce de théâtre à l’intérieur de la pièce. Figaro est le comédien de cette pièce de théâtre. Le comique vient de l’absurdité du God-dam Chaque fois qu’il dit God-dam, c’est l’inverse de ce qu’il voulait

70,0 Cannabis X 1,6 X 203 Cocaïne X 4,5 X 500 7. Une voiture vous suit derrière et ça vous irrite. Est-il mieux d’accélérer, garder votre vitesse, ralentir ou de brandir le poing en criant quelques jurons? Je ne crois pas qu’il est mieux d’accélérer car la vitesse est dangereuse. Il ne faut pas non plus insulter l’autre conducteur. Il est mieux de ralentir car lorsque la voiture derrière va pouvoir dépasser, ça va être plus facile pour elle de dépasser

et “très barbu”. Les deux frères possèdent un portrait physique complètement opposé. Enfin, des éléments propres au réalisme sont présents. Plusieurs critères nous démontrent cela. L’utilisation du langage ordinaire et familier comme : “zut” ou de jurons comme “christi” nous permettent de bien ancrer les personnages dans le réel, et aussi d’avoir une plus profonde découverte des personnages. Il faut ajouter que le langage familier donne à la scène une touche plus authentique. Mais le réalisme est

En outre, il y a le passage où Pecqueux surprend Philomène et Jacques ensemble. L’émotion de Pecqueux est assez facile à deviner dans cet extrait: D’une secousse, il s’était relevé, et il fuyait déjà, éperdu, et il entendit une voix d’homme, des jurons, toute une bataille. « Ah! garce, j’ai attendu jusqu’au bout, j’ai voulu être sûr! - Ce n’est pas vrai, lâche-moi! - Ah! ce n’est pas vrai! Il peut courir, l’autre! je sais qui c’est, je le rattraperai bien!… Tiens! garce, dis encore que ce n’est

des contes en l'air ? Scapin, à part. Peut−être. Argante, se croyant seul. Tous leurs discours seront inutiles. Scapin, à part. Nous allons voir. Argante, se croyant seul. Ils ne m'en donneront point à garder. Scapin, à part. Ne jurons de rien. ... " La scène III de l'acte II est également comique grâce au geste que font les personnages "sur scène". "Léandre, en mettant l'épée à la main. Vous faites le méchant plaisant. Ah ! je vous apprendrai... Scapin, se mettant

 Insupportable   Retentissement  allant  d’un  état  d’angoisse  ou  d’anxiété  à  un  état  dépressif   COMPOSANTE  COGNITO-­‐  COMPORTEMENT  ALE   • Expression  verbale(paroles,  cris,  pleurs,  jurons)     • Réaction  motrices  (mouvements,  mimiques,  attitude  antalgique,    agitation)     • Réactions  neurovégétatives  (FR,TA,  pouls,  sommeil)  et  neuro-­‐endocrines     • Intervention

-action sur scène : violence du tyran qui fait intrusion par la force : ainsi « la porte est renversée » ; exige tout l’argent sans se soucier de la survie de ses sujets ; utilise une légion de grippe-sous.  -violence verbale d’Ubu : menaces, injures, jurons, cynisme absolu -violence du ramassage des impôts par Ubu et ses Grippe-sous, physiquement montré sur scène -cette violence engendre la violence de la réponse : d’abord inquiets et respectueux, les paysans prennent les armes et se battent : « aux

la boisson et au sexe. Rabelais invite le lecteur à l’amusement et à l’ivresse, mais il refuse les conventions nobles du langage rhétorique. Il y a des déplacements de valeur, comme par exemple la volonté d’emprunter dans le langage populaire des jurons, des grossièretés et des propos « bien ivres ». Rabelais met son langage au service du rire par des techniques astucieuses. Il utilise des onomatopées qui permettent d’imiter les bruits sonores du quotidien, X

situation à Figaro, de plus en plus impatient : « Il faudrait m’écouter tranquillement », l.26. Elle est donc capable de sang-froid comme elle le montrera dans la suite de la pièce. Figaro laisse éclater son inquiétude avec un juron « bon Dieu ». A partir de la ligne 28, Suzanne va alors exposer le stratagème mis en place par le comte, qui trahit Figaro. Elle rappelle sa complicité avec son amoureux « mon ami » et use du langage élégant du XVIIIème siècle pour lui révéler la

ta tabarnac de vie à faire la même tabarnac d’affaire en arrière de la même tabarnac de machine ! Toute ta vie ! » (l. 11-12) Ici, le procédé de répétition et la phrase exclamative contribuent d’ailleurs à accentuer ce sentiment. La répétition du juron illustre la colère du personnage, alors que celle de l’expression « toute ta vie », quant à elle, souligne surtout l’impossibilité de changer quoi que ce soit à la situation. De plus, le fait que Léopold fasse des reproches à Dieu à quelques reprises