Jusqu'à la mort

La position de la religion catholique face à bien des sujets s’est souvent retrouvée à changer. Leur idéologie face à la peine de mort n’échappe pas à cette tendance. En effet, selon les époques que l’on décide d’observer, elle sera pour et elle en fera abondement usage, ou sera contre et proscrira son usage. Selon moi il y a beaucoup de politique dans ses changements, et je ne serais pas surpris d’apprendre que leur réelle opinion sur le sujet est en fait la même depuis toujours. Mais d’abord, commençons

l'espace de temps occupé par une action ou séparant le début et la fin d'un évènement. Juridiquement, la personnalité juridique dure de la naissance jusqu'à la mort de l'individu, ce qui correspond du point de vue classique du droit à la durée de la vie, la vie désignant la période qui s'étends de la naissance (et même de la conception) jusqu'à la mort. Délimitation du sujet : Seule la personnalité juridique de la personne physique sera ici abordée, nous n’étudierons donc pas le statut de la personne

nous en serons purifiés, jusqu’à ce que le dieu lui-même nous ait déliés. Alors, oui, nous serons purs, étant séparés de cette chose insensée qu’est le corps. Platon, Le Phédon (extrait). Témoin des dernières heures de Socrate, Le Phédon nous rapporte la réflexion provoquée par la proximité de la mort du philosophe, développée par son disciple, Platon. Entouré de ses disciples qui l’interrogent, Socrate aborde la question de la mort en questionnant l’âme, comme

La peine de mort n'est pas apparu dans notre société uniquement au 19e - 20e mais elle est bien plus ancienne, cependant elle est encore pratiquée activement dans certains pays, notamment aux Etats unis avec l'affaire actuelle Hans Skinner, alors que dans d'autres, elle a été abolie. Au XVIIIe siécle, une grande partie des populations étaient Athés, et avaient le besoin de rendre justice par eux même alors que seul dieu posséde le droit reprendre ce qu'il a créer. En effet la justice n'est pas infaillible

de l’impératif « continuons » et elle n’a pas le droit de parole « ne m’interrompez pas ». Enfin, Ionesco emploie l’image de la cruauté humaine avec de nombreuses emphases « souvenez-vous en » « sachez-le » et le champ lexical de la mort « tombeaux », « mort » et de menace de

deux danseuses de flamenco, la chanteuse d'opéra, le pianiste, le marionnettiste et les deux troupes de comédie musicale : les Diamants et les Lumières. Tous, étaient prêt à tout pour que certains se désistent. Les Diamants avaient été jusqu'à menacer de mort, en disant au pianiste et au marionnettiste qu'ils leurs mangeraient leurs tripes à pleine dent, mais ces derniers ne cédèrent point. Le marionnettiste prénommé Alban surnommé le « gothique » au lycée croyait en des esprits ayant des pouvoirs

Paul assiste à cette scène macabre. Comment et par qu’el moyen l’auteur d’écrit une scène normalement horriblement tragique en une scène admirable mais tout en restant tragique ? Tout d’abord nous analyserons la scène tragique de la tempête puis la mort de virginie. On remarque dès le début une grande souffrance physique de Paul en voulant a tout pris essayer de sauver virginie en accentuant la chose grâce a une accumulation : »les jambes en sang, la poitrine meurtrie et a demi noyé »

L’euthanasie, est la définition d’un acte qui, peut être appelé noble par certain et indigne par d’autre, nécessitant courage et volonté et qui est en effet la provocation de la mort d’un souffrant incurable. Beaucoup d’entre vous sont soit pour, soit contre, mais la plus part ne savent pas vraiment pourquoi, guidé par la délicatesse de la morale qu’exerce la société sur nous, ignore les réponses. A mon avis, je suis totalement pour. Soumis à leur destin, ces souffrants n’ont aucun

Noémie Chavant 1ère ES 2 27/04/2015 Corpus de Français La question de la peine de mort Dans ce corpus nous aborderons la question de la peine de mort à travers quatre supports différents. Le premier est la préface de Le Dernier jour d'un condamné, de Victor Hugo, datant du XIXème siècle, 1829. Le deuxième est un texte d'Albert Camus, Réflexions sur la guillotine, écrit en 1957. Le troisième est une chanson de Georges Brassens, Le Gorille. Elle a été écrite en 1952 et diffusée sur Radio

Alfred de Vigny « La mort du loup » Introduction [Amorce] Les poètes recourent souvent à des allégories pour rendre compte de leur réflexion sur l’homme. [Présentation du texte] Ainsi le poète romantique Alfred de Vigny écrit un poème intitulé « La Mort du Loup » paru dans le recueil Les Destinées : il y évoque une chasse nocturne qui se termine par la mort du Loup suivie d’une réflexion morale sur les Hommes et sur la vie. [Problématique] Comment Vigny donne-t-il toute son efficacité à ce poème