paul et virginie
On remarque dès le début une grande souffrance physique de Paul en voulant a tout pris essayer de sauver virginie en accentuant la chose grâce a une accumulation : »les jambes en sang, la poitrine meurtrie et a demi noyé » De plus on observe également une souffrance morale de toutes les personnes présent sur la scène : « un cri de désespoir » « O jour affreux ! » l’auteur utilise une ponctuation expressif pour accentuer le drame. On peut voir également l’extrême danger de la tempête « d’une effroyable grandeur s’engouffra entre l’ile d’ambre et la cote, et s’avança en rugissant vers le vaisseau » l’auteur utilise une hyperbole pour nous montrer la grandeur du danger et aussi une métaphase « montagne » désignant les vagues. On remarque un champ lexical du tragique : « éternel adieux » « hélas » « inévitable » cela désigne la mort inévitable de virginie. La fin de l’extrait, qui est la mort de Virginie est tragique avec une courte phrase de conclusion qui résume tragiquement l’extrait en trois mots : « tout fut englouti ». On peut donc voir que Bernardin de Saint Pierre a mis en scène la tempête comme étant un grand drame pour tout le monde. La mort de virginie est cependant mise en valeur et non comme une horrible mort.
Le regard qu’on les personnes qui entoure cette scène tragique, on une grande compassion pour elle : « Sauvez la, Sauvez la ; ne la quittez pas ! » on peut voir une répétition et une ponctuation expressif