Just Fontaine

Le loup et le chien, Fable de La Fontaine Jean de La Fontaine (1621-1695) - Il est poète français - Défenseur du style classique - Il est protégé par les grands de la cour notamment par Fouquet - Il reste éloigné de la cour mais il fréquente des salons - il est allé à l’Oratoire en 1641 mais il va quitter cet enseignement religieux en 1642 - Membre de l’Académie depuis 1684 - 1692 il est converti par l’abbé Pouget avant de mourir - Fables (1668-1693) Introduction : Le 17ème siècle

fables ne sont pas ce qu’elles semblent être. […] Une morale nue apporte de l’ennui ; Le conte fait passer le précepte avec lui. Poèmes, récits chargés d’une dimension morale et saynètes tout à la fois, les Fables choisies mises en vers de La Fontaine (1621-1695) ont été publiées de 1668 à 1693 et n’ont cessé de susciter l’admiration, servant de modèle depuis plus de trois siècles. La fable 12 du livre VIII, Le Cochon, la Chèvre et le Mouton, est située dans le second recueil où le bestiaire

Jean de La Fontaine, un auteur impliqué dans son époque : Jean de la Fontaine est né à Chateau-Thierry le 8 juillet 1621. Son père était maître des Eaux et Forêts et Capitaine des Chasses. Sa mère, née Françoise Pidoux, était originaire de Coulommiers dans le Poitou. Jean étudia au collège de Château-Thierry jusqu'en troisième. Il y apprit surtout le latin. En 1641, il entre à l'Oratoire, à Paris. Dans cette école, il s'adonnera à la lecture, son passe-temps favori. Malheureusement, ses

conte que d’une fable.   I. Mise en scène de la moralité.               a. moralité et récit.               La Moralité se situe du vers 1 à 15. Par du général vers le particulier, de la moral vers l’exemple. 1er partie : Thèse de La Fontaine sur le comportement de la jeune veuve : -Vers 1 et 2. Il développe cette idée grâce à des répétitions, des explications plus détaillées de son point de vue :             -Vers 3 à 13. Annonce le plan du conte qui va illustrer cette idée (comportement

poésie de La Fontaine est une bonne façon de réunir ces deux camps, malgré l’appartenance de La Fontaine aux classiques. La Fontaine est non seulement un poète mais aussi un fabuliste. Ses fables avaient une fonction éducative mais aussi dénonciatrice et ironique grâce à un récit simple et une morale marquante. Cela leur a permise de traverser le temps. On le voit clairement dans la fable intitulée Le rat et l’huitre publiée en 1678 dans le recueil Les Fables. Dans cette fable La Fontaine se livre à

probablement servi. Cependant, des éléments importants distinguent les deux comédies, à savoir, tout d'abord, que l'Euclion de Plaute est un citoyen pauvre qui a trouvé un trésor, et qui ressemble plus, surtout au début de l'Aulularia, au savetier de La Fontaine qu'à un avare. Il a, d'autre part, devant l'opulent Mégadore, un complexe d'infériorité qui est totalement étranger au riche usurier qu'est Harpagon. D’autres scènes ou fragments de scène, qui ne sont pas chez Plaute, peuvent trouver leur origine

v25 : nouvel encombre :problème, péripétie (coup de théâtre), événement imprévu, nouveau danger, allusion à l'intrusion du loup, incident... v26 : chute, rapport cause à effet. → Le loup parut, tout le troupeau s'enfuit v27 : commentaire de La Fontaine Récit qui repose essentiellement sur l'opposition, la contradiction La moralité (v28 à 31) v28 :méchants soldats : sans valeur La morale résume la fable dans un 1er temps → transposition troupeau/troupe = même comportement Sous

A la cour du roi Arthur, Calogrenant raconte la mésaventure qui lui est advenue dans la forêt de Brocéliande pour avoir répandu l'eau d'une fontaine merveilleuse. Le roi décide de s'y rendre avant quinze jours. De son côté, Yvain se rend à la fontaine, puise un peu d'eau et la verse sur le perron. Aussitôt s'élève une violente tempête, puis un chevalier inconnu engage le combat avec Yvain. Ce dernier blesse mortellement son adversaire et le poursuit jusque dans un château dont la porte se referme

lui-même est susceptible d'avoir, d'où une fonction éducative. L'objectif réel de l'écrivain est d'inviter le lecteur à remettre en question ses façons de faire et de penser : s'il a quelques défauts, il doit s'en corriger. Ainsi, dans ses fables La Fontaine dénonce les défauts des hommes en général. Le fabuliste les pointe du doigt; le lecteur doit y remédier. On peut également noter Voltaire, qui, en reprenant la forme traditionnelle du conte, l'a modifié pour en faire un conte philosophique amusant

qu’il en fait en réalité une grande critique. Ensuite, c’est parfois la morale du texte qui est mal perçue. Comme dans certaines fables de Jean de La Fontaine par exemple dans sa fable Le rat qui s’est retiré du monde où au premier abord on pourrait croire qu’il s’agit d’un simple rat solitaire glouton et qui refuse d’aider les siens. En réalité, La Fontaine dénonce les dervis, il fait une critique du clergé régulier. Il dénonce la position adoptée par l’église au cours d’un conflit pour financer une