Justine ou les Malheurs de la vertu

du mystère de son dénuement : Or n’ai je pas quanques je haing : C’est mes dommages / Ne sai se ç’a fet mes outrages ; / Or deviendrai sobres et sages / Apres le fet / Et me garderai de forfet. Maintenant, je n’ai rien de ce que j’aime / Voilà mon malheur / Je ne sais si mes excès en sont la cause ; / Je jure de devenir sobre et mesuré / Mais j’ai déjà fauté / Et je jure de ne plus recommencer …Tiens donc, brave Rutebeuf : on fréquente les tavernes, on joue et on y laisse l’argent du ménage ! Pauvre

mystère de son dénuement : Or n’ai je pas quanques je haing : C’est mes dommages / Ne sai se ç’a fet mes outrages ; / Or deviendrai sobres et sages / Apres le fet / Et me garderai de forfet. Maintenant, je n’ai rien de ce que j’aime / Voilà mon malheur / Je ne sais si mes excès en sont la cause ; / Je jure de devenir sobre et mesuré / Mais j’ai déjà fauté / Et je jure de ne plus recommencer…Tiens donc, brave Rutebeuf : on fréquente les tavernes, on joue et on y laisse l’argent du ménage ! Pauvre

l'individu ne craint rien de l'abstinence sexuelle, l'humanité, elle, y risque sa survie. La copulation des animaux assure la transmission de l'espèce, celle des hommes, par d'autres voies (le mariage, la famille monogame, la fidélité présentée comme une vertu) vise exactement les mêmes fins. Pour sa part, l'éthologie enseigne qu'il existe des comportements naturels communs aux animaux et aux humains. On se croit souvent mis en mouvement par la conscience, la volonté, le libre choix. En fait, on obéit la

valeur. - Ménélas : Il pourrait être ridicule puisqu’il est le cocu de service. Il était le mari d’Hélène. Mais il ne l’est jamais : mari bafoué. Il ne se plaint jamais, il sait qu’il est responsable, il est lucide et essaie de prendre la part du malheur sur ses épaules. Il est brave et on le trouve la plupart du temps au plus fort de la mêlée. - Achille : C’est le fils d’un mortel, Pélée, et de Thétis, déesse. Son seul point mortel, le talon. Achille est très fort, c’est le plus fort. Il protège

changent et dès lors le système de valeurs ? Ce qui était ironique par le fait que c’était une manière oblique de se représenter le monde est peut-être ailleurs dans le temps et dans l’espace une manière directe de le voir ; ce qui était vice devient vertu. L’ironie tient donc toujours à la spatio-temporalité et au système de valeurs plus ou moins partagé par l’entourage immédiat. « En effet, le texte ironique fonctionne à l’allusion au réel et à la référence aux réglementations (lois, étiquettes, systèmes

troupe, compte la recette de la représentation de la tragédie à laquelle, à son insu, il vient d'assisteré. Clindor est en effet devenu comédien et triomphe sur une scène de théâtre. Finalement, Pridamant, convaincu par Alcandre qui lui vante les vertus du théâtre et fait ressortir le bien-fondé du choix des jeunes gens, emporte l'adhésion du vieux père qui, enfin rasséréné et conquis par la prestigieuse magie du théâtre, «vole vers Paris» où il retrouvera son fils. Commentaire Corneille définit

troupe, compte la recette de la représentation de la tragédie à laquelle, à son insu, il vient d'assisteré. Clindor est en effet devenu comédien et triomphe sur une scène de théâtre. Finalement, Pridamant, convaincu par Alcandre qui lui vante les vertus du théâtre et fait ressortir le bien-fondé du choix des jeunes gens, emporte l'adhésion du vieux père qui, enfin rasséréné et conquis par la prestigieuse magie du théâtre, «vole vers Paris» où il retrouvera son fils. Commentaire Corneille définit

que le sage politique suive les œuvres de Dieu au gouvernement de ce monde Chapitre IV. S'il est bon que les officiers d'une République soient perpétuels : Raisons pour montrer que les Magistrats ne doivent être perpétuels. [Les] loyers de vertu [sont] communs. Il faut par tous moyens trancher la racine de sédition. Impunité des Magistrats perpétuels. Deux fautes notables que plusieurs font au gouvernement des Républiques. Ruse des tyrans Chapitre V. S'il est expédient que les

composé la chanson pour célébrer la souveraineté nationale à l’occasion de l’indépendance de la République démocratique du Congo. Dans cette œuvre d’art, il chante la bravoure des politiques congolais, Patrice Lumumba, Joseph Kasavubu, Joseph Ileo, Justin Bomboko, qui se sont battus pour “arracher” l’indépendance auprès de leurs colonisateurs, les Belges. 2 Maître Liyolo est un peintre congolais de renommée internationale. En 1972, il avait dessiné et présenté, à l’entrée de la foire internationale

tragédie en cinq actes. Le premier acte correspond aux signes prémonitoires du malheur et à l'émergence de la peur aux Bastides Blanches. Il s'achève sur l'image de Gondran et Marguerite au chevet de Janet. Ils ont «les yeux gourds, la bouche amère, le cœur tout chaviré d'inquiétude, de mystère, de peur» (page 68). Les Bastides Blanches se sont barricadées et attendent la catastrophe. Aux trois actes suivants, le malheur pressenti frappe en prenant la forme de la sécheresse (pages 68 à 98), de la maladie