Juvénal

de Bourges, Orléans, Poitiers, Toulouse et Lyon. Etienne Dolet publie en 1540 un traité sur la manière de bien traduire d'une langue en autre, mettant en avant l'art de la traduction. Ainsi sont éditées en français les oeuvres de César, Cicéron, Juvénal, Perse et Salluste chez les Romains ; Appien, Diodore, Epictète, Euripide, Homère, Isocrate, Plutarque et Platon chez les Grecs. Ce renouveau de la pensée et de la littérature, côtoyant une affirmation du pouvoir royal et la découverte du Nouveau

tensions depuis la colonisation, le génocide trouve donc ses racines dans la colonisation belge qui s’accompagne d’une racialisation entre Hutus et Tutsis et donc d’une différence d’accès à certaines ressources. Le 6 avril 1994, le président rwandais Juvénal Habyarimana est assassiné, son avion est abattu par un missile. Cet évènement est l’élément déclencheur du génocide. Rapidement, les hutus accusent les Tutsis d’être responsable et appellent la population à exterminer les Tutsis par vengeance. Des

1860) INTRODUCTION « Les embarras de Paris » est un poème classique écrit en 1860. Il est écrit sous forme d’ alexandrin et respecte les règles de versification. « Les embarras de Paris », est directement inspiré « des embarras de Rome » de Juvénal. A cette époque, La ville de Paris voit exploser sa démographie et les transports se multiplient Dans ce poème Boileau nous fait alors une satire de la ville de Paris , c’ est à dire qu’ il dénonce les désagréments de cette ville en passant par

visite, il eût beaucoup d’imagination. Il rêve en effet de la vie auparavant à Rome avec les commerçants, les soldats, et les « odeurs de cuisine ». Il parle aussi d’un certain Juvénal, qui était un poète satirique latin, qu’il croit apercevoir (ce qui montre qu’il reste un contemporain). Il parle également des Satires, de Juvénal qui raconte la prostitution qui s’effectuait près du Colisée, pendant que la vie quotidienne de la population continuait. Il reparle ensuite de Lucrèce, en analysant sa philosophie

répond pas, lourde et navrante, avec le poids du jour sur ses paupières, Avec ce poids vivant qui bouge dans sa chair et l’encombre, Et le dernier billet du mois plié dans son corsage. Textes et activités complémentaires 1. Juvénal, Satires, 1. Juvénal (Ier – IIe siècles) est un poète latin. Auteur de seize satires, il est considéré comme un modèle du genre. Connu pour sa virulence, il sait aussi rester prudent : il attend la mort du tyran Domitien pour rendre ses Saturae publiques et

d'abord, il permet de se défouler, de rejeter nos sentiments de violence. Le sport peut faire baisser le taux de violence tout en nous faisant changer nos idées et permet de penser à autre chose que nos soucis, nos problèmes. Et comme la citation de Juvénal le dit si bien : « Mens sana in corpore sano », « un corps sain dans un esprit sain ». Le sport est en outre bon pour la santé, il permet de garder la forme. Il peut faire perdre du poids aux personnes étant en sur-poids, ré-éduque d'autres

paraît dans un temps où, malgré les succès de Pierre Corneille et de Molière, Jean Chapelain est encore la principale autorité en littérature. Les premiers écrits importants de Boileau sont les Satires (1660–1668), inspirées de celles d'Horace et de Juvénal. Il y attaque ceux de ses contemporains qu'il estime de mauvais goût, comme Jean Chapelain, Philippe Quinault ou encore Georges de Scudéry. Au contraire, il est un admirateur de Molière et, plus tard, de La Fontaine et de Jean Racine. Les sept premières

blâme s'exprime, dans l'antiquité romaine, à travers la satire, genre poétique peu codifié qui associe la description railleuse d'une époque et l'enseignement moral qu'il convient d'en retenir. A la manière des auteurs latins (Horace, Martial et Juvénal), les écrivains de la Renaissance (Marot) puis les classiques (Boileau) écrivent des satires en vers. Plus généralement, la veine polémique et satirique se retrouve dans de nombreux textes dont l'intention est de condamner, de s'opposer à une attitude

rapprochée de nous de quatre-vingts, de cent, et même de plus de trois cents ans. Velleius Paterculus, qui écrivait sur la fin du règne de Tibère, vers l'an 37 de J.-C., dit que neuf cent cinquante ans se sont écoulés depuis Homère jusqu'à lui. Pline et Juvénal, qui fleurirent sous Vespasien et Domitien, en comptent près de mille ; et Solin assigne avec une sorte d'assurance l'époque de la mort d'Homère, en la fixant à la soixante-douzième année qui suivit la prise de Troie. Dans ce conflit, ou plutôt dans

parfois même. La seconde idée exposée ici c’est le rapport cause / conséquence : le travail influe sur l’esprit. Le travail permet une hygiène de vie physique et morale. Cette idée n’est pas sans rappeler la fameuse citation extraite des Satires de Juvénal « Mens sana in corpore sano » Un esprit sain dans un corps sain.