Juvénal

Cicéron prononça en faveur de Caton d'Utique, « le dernier républicain ». Cet ouvrage, aujourd’hui perdu, est connu par les citations de Cicéron (ad Atticum, 13, 50, 1), Tacite (Annales, 4, 34), Suétone (Caesar, 56, 3), Plutarque (Caesar, 54), Appien, Juvénal et Dion Cassius. Enfin, et plus curieusement, il rédigea un traité de grammaire De analogia, en deux livres, dans lequel il expose des théories grammaticales argumentées sur l’analogie (d’où le titre de l’ouvrage), ainsi qu'un poème intitulé le

des enfants. Cette idée s’inscrit dans la lignée des traditions antiques, dans la mesure où les humanistes soulignent l’importance d’avoir un « esprit sain dans un corps sain » (cette citation est extraite des Satires de Juvénal, un auteur latin des Ier – IIème siècles). 4) Les humanistes se distinguent également par le renouveau de leur réflexion politique. Ils sont nombreux à s’interroger sur les meilleures formes de gouvernement et sur la manière d’organiser

tu ne seras point de ces jaloux affreux, Habiles à se rendre inquiets, malheureux Qui tandis qu’une épouse à leurs yeux se désole, Pensent toujours qu’un autre en secret la console. Mais quoi, je vois déjà que ce discours t’aigrit. « Carmé de Juvénal, et plein de son esprit Venez-vous, diras-tu, dans une pièce outrée, Comme lui nous chanter : que dès le temps de Rhée La chasteté déja, la rougeur sur le front, Avait chez les humains reçu plus d’un affront : Qu’on vit avec le fer naître les

règles, le sport doit être un ascèse (purifier le corps par la douleur). Le sport est garant de la santé publique ? Dès l’antiquité on trouve le proverbe « un corps sain dans un esprit sain », (en latin : « mens sana un corpore sano ») proverbe de Juvénal. A la Renaissance le sport est intégré à une éducation complète (ex : Gargantua, enfant géant qui pratique plusieurs sports) au 19 ème siècle les problèmes de santé publique sont liés à la paupérisation (appauvrissement extrême) su prolétariat (ouvrier

L'éducation de cette époque est très complète, elle n'est pas seulement dédiée à l'esprit mais se consacre également au corps afin que l'homme soit doté d'un corps saint dans un esprit saint. « Mens sana in corpore sano » , citation en latin de Juvénal qui illustre l'esprit de la Renaissance. Un homme qui étudie développe des capacités telles que la réflexion qui lui permettent de devenir libre en écoutant ses propres pensées. Un homme qui réfléchit n'est plus esclave des doctrines de son temps

soit très varié, elle utilise toutes les ressources du comique : dialogues, monologues grotesques, portraits caricaturaux, anecdotes intercalées, jeux de mots, quiproquos, comique de situation… autant de procédés qu’employaient déjà Horace, Perse ou Juvénal. • Pour servir le rire plusieurs moyens sont susceptibles de ridiculiser le sujet d’une pièce satirique : entre autres, la diminution, l’exagération, la parodie ou encore la juxtaposition qui permet de mettre des éléments de valeur inégale au

dans l’océan profond, tumultueux et semé d’embuches de la grammaire (latine) de Priscien » ; ensuite pour bien comprendre « la signification de la Genèse et des Prophètes », ils devaient « lire les modèles du bon langage », comme Virgile, Stace, Juvénal, Horace, Lucain ou Térence. Telle est, exprimée dans ce texte du haut Moyen Age, la motivation « fonctionnelle » du travail des moines copistes sur les auteurs « païens » ( à l’époque d’Abbon, l’abbesse Hrotswitha de Gandersheim s’était essayée, pour

) Mais le plus important est de multiplier les victoires militaires.♥ Conséquence : perte de pouvoir du Sénat (peuple-citoyens)3. Empereur et citoyens ⇢ Statut de citoyen à RomeDocument 3 :Il confirme la perte de pouvoir des citoyens qui d’après Juvénal, se contentent seulement « du pain et des jeux du cirque » ( regard nostalgique/ regrets). Cependant, le statut de citoyen était très recherché parce qu’il permettait d’avoir une bonne situation sociale étant donnée que l’on pouvait suivre la carrière

milieu du IIe s., aux cités proche du Danube. Cette extension de la citoyenneté provoque des réticences : le philosophe Sénèque écrit que l’empereur Claude « voulait voir tout le monde en toge, les Grecs, les Gaulois, les Ibères, les Bretons ». Pour Juvénal, poète romain du IIe s., c’est « l’Orone (fleuve qui coule en Syrie) qui se déverse dans le Tibre » (le fleuve qui coule à Rome). Le rôle de l’armee Dans l’armée (qui comprend 25 légions, sous Auguste, soit 125 000 hommes et 33 légions à la fin

deux futurs époux et l'unanimité entre tous les contractants faisait ordinairement les fiançailles. Cependant assez souvent on écrivait les articles et les conventions du mariage sur un registre public que chacun scellait de son cachet, comme le dit Juvénal. Cette espèce de contrat se passait la nuit, et quelquefois au point du jour. On se donnait de garde de faire les fiançailles dans des temps orageux ou nébuleux ; cela était de mauvais augure. La cérémonie finie, le fiancé donnait à la fiancée des