Kabylie

berbère (dialecte kabyle), Paris, EPHE/Université René Descartes (thèse pour le doctorat de 3e cycle), 2 vol. - CHAKER S. : 1980 - Dérivés de manière en berbère (kabyle), GLECS, XVII, (1972-1973). - CHAKER S. : 1983 - Un parler berbère d'Algérie (Kabylie) : syntaxe, Université de Provence. - CHAKER S. : 1984/a - Textes en linguistique berbère (introduction au domaine berbère), Paris, CNRS. - CHAKER S. : 1984/b - A propos du passif en berbère, Travaux du CLAIX, 2. - CHAKER S. : 1985 - Synthématique

sens que nous attachons à ces expressions » (5). Nous y ajouterons : ni une « anarchie », à moins que l'absence de centralisation n'en soit une. Enfin, Robert Montagne est particulièrement mal inspiré lorsque dans sa comparaison avec le Rif et la Kabylie, il intitule l'un de ses paragraphes « L'anarchie rifaine » (6). A-t-il oublié les Conférences de Michaux-Bellaire ou les ignore-t-il ? « L'autorité du Makhzen semblait donc bien établie dans le Rif lorsque en 1 900 la révolte de Bou Hamara et les

l’Empire colonial français a dû faire face à des révoltes constantes. En Algérie, les Français ont subi la résistance de l’émir (roi) Abd el-Kader, de 1832 à 1847. Plus tard, en 1870, ils ont dû réprimer dans le sang la grande révolte des berbères de Kabylie. En Asie du Sud-est, les campagnes sont secouées par plusieurs révoltes paysannes en conséquence du régime colonial d’exploitation. En 1908, au Centre de l’Indochine, les paysans contestent la fiscalité et les corvées qui pèsent sur eux. Malgré les

l'intégration et le gouvernement français instaure l'état d'urgence (1er avril). Les opérations menées relèvent de la guérilla (guérilla = combat menés par de petit groupes pour lutter) : attentats, attaques de détachements, sabotages, d'abord en Kabylie et dans le Constantinois. Les premiers appelés du contingent sont envoyés en Algérie tandis que les violences se multiplient : les massacres perpétrés à l’initiative du FLN frappent des européens et des musulmans accusés de " collaboration

l’affriction de la dentale (issue de /tt/) et donc de l’abandon dans la notation usuelle du kabyle de la cédille diacritique : - l’affriction de la dentale est un phénomène essentiellement kabyle ; - l’affriction n’est pas généralisée en Kabylie (parlers de la Kabylie de l’Est sans affriction) ; - Même là où elle existe, l’affriction n’est pas stable : elle n’est pas réalisée dans les mêmes contextes dans tous les parlers (Cf. parlers des Igawawen, At-Yanni…) ; - Sa distinctivité est très faible

ensuite l’investiture de Constantinople. L’ordre était en principe assuré par deux forces militaires rivales, l’odjaq, la milice des janissaires, et la taïfa des raïs, la corporation des corsaires. Mais l’arrière-pays, le Sud, le Constantinois, la Kabylie, échappait au pouvoir de la régence d’Alger, qui fut essentiellement une "colonie d’exploitation". Le pouvoir ottoman eut recours à la formation de smalas (colonies militaires) et aux maghzens, des tribus privilégiées qui faisaient rentrer l’impôt

mouvement. Sur place, les colons réclament une vigoureuse répression et, de fait, l’armée et la gendarmerie démantèlent la plupart des réseaux du FLN, réduisant le mouvement à une activité sporadique dans les zones montagneuses des Aurès et de la Kabylie. A Paris, le Président du Conseil, Mendès France, et son ministre de l’Intérieur, François Mitterrand, multiplient les énergiques déclarations sur leur volonté de rétablir l’ordre et sur l’appartenance de l’Algérie à France « L'Algérie, c'est la France

l'alphabet tifinagh depuis le troisième siècle avant J.C. ; en l'abjad arabe, depuis l'époque médiévale ; et en l'alphabet latin, aujourd'hui official en Mali et Niger. Pendant Printemps berbère (Tafsut Imazighen) de mars 1980, plusieurs berbèrophones en Kabylie et à Alger manifestèrent pour l'officialisation de la langue tamazight en Algérie. En 2002, ils réussirent. Aujourd'hui alors on voit une renaissance de littérature berbérophone. ------------------------------------------------- La littérature arabophone[modifier]

réclament la souveraineté sur une certaine aire du Sahara d’avant l’ère coloniale (sur la base de la loi coloniale du 10 juin 1957, portant organisation commune des régions sahariennes (ORCRS) qui regroupait des territoires de l’Algérie (sans la Kabylie), plus des 2/3 du Niger et la moitié du Tchad). Les actes de rébellion des Touarègue du Niger, qui ont suivi, sur le plan de la formation au maniement des armes, le même itinéraire que ceux du Mali, se résument comme suit : • 24 août 1992 : Assassinat

du Maroc et de la Tunisie, qui viennent d’accéder à l’indépendance ( en 1956 ) , comme bases pour ses attaques contre les positions françaises. Le 20 août 1956, un congrès secret rassemblant vingt dirigeants du FLN est donc réuni dans la Soummam (Kabylie). Il est décidé, à cette occasion, de réorganiser les forces armées en créant une Armée de libération nationale (ALN), dotée d’un état-major unique, qui est confié à Krim Belkacem. En septembre 1956, l’ALN intensifie la guérilla en zone urbaine