Kant Bienfaisance

Tout au long du texte de kant, La morale est vue en terme d'obligation. Agir moralement, c'est faire quelque chose même si on en a pas envie, et non parce que ca nous est utile ou nous rend heureux. Tout le monde sait que l'action moralement bonne est conforme aux règles et aux lois. Je pense que l'idée de valeur morale est beaucoup plus complexe, et ne se résume pas au seul concept d'obligation. C'est une approche beaucoup trop théorique, difficilement adaptable à la vie de tout les jours

Texte de Alain : Je dis que le respect de la vie d'autrui n'est pas un devoir social, attendu qu'il existe indépendamment de l'existence ou de la nature d'une société quelconque. Quand un homme tomberait de la lune, vous n'auriez pas le droit de le torturer ni de le tuer. De même pour le vol je m'interdis de voler qui que ce soit, j'ai la ferme volonté d'être juste et charitable envers mes semblables, et non pas seulement envers mes concitoyens, et je rougirais d'avoir augmenté injustement la note

ensemble. Le désir ne peut donc pas être le fondement d’une éthique, contrairement à ce que pensait Epicure. La raison n’est pas un instrument au service du bonheur empirique, selon Kant car aucune inclination naturelle ne peut être érigée en loi universelle, or la raison ne comprend que ce qui est universel.   Cependant Kant ne nie pas que l’homme est un être intéressé. C’est pourquoi selon lui l’homme a besoin de croyances métaphysiques telles que Dieu ou l’immortalité de l’âme. Ces croyances sont

mais de la découvrir dans une expérience dialectique, qui partira de la praxis individuelle pour aboutir à cette « totalisation sans totalisateur » que constitue l’histoire. Il s’agit donc bien d’une méthode critique, semblable à celle qu’utilise Kant, et qui s’oppose à tout dogmatisme, qu’il s’agisse du dogmatisme hégélien ou du dogmatisme de la dialectique de la Nature, qui extrapole aux phénomènes naturels la structure dialectique de l’action humaine, c’est-à-dire de la praxis. Car si la raison

Mais Kant donne une autre dimension à l’art. En effet, dans la critique de la faculté de juger il explique ce qu’est le mythe du génie. Pour Kant le génie c’est l’artiste qui produit une œuvre d’art sans même avoir conscience du concept de beauté, ainsi l’artiste et inspiré, à un don. Son œuvre ne respecte aucun critère prédéfinis, le génie est original car il ne se conforme pas à des modèles établis, de plus il ne peut pas expliquer sa démarche ou la méthode qu’il a suivit, ainsi Kant donne un

NOTE SYNTHETIQUE I/La démarche de l'élève et le travail fourni Notre travaux se sont effectues par association de deux personnes au CDI et bien évidement chacun chez sois. Des moyens efficace et pertinents pour rendre le fruit de notre labeur au délais prévu. Quelques instants avant la fin d'heure nous les mettions en communs et répartitions les tâchesque chacun avaient à effectuer pour la semaine d'après. C'est sur ce plan la mais avec hélas un rythme plus ou moins saccadé que nous

Chapitre 2 : La transition vers la science économique : les précurseurs de la pensée libérale et classique Section 1 : W. Petty, R. Cantillon Section 2 : P. de Boisguilbert, J. Locke et D. Hume , J. Bentham Section 3 : B. Mandeville, Montesquieu et Kant 2ème Partie: Naissance de la science économique : l’économie politique classique Chapitre 1 : L’école physiocratique Section 1 : La conception d’un ordre naturel Section 2 : Relations économiques entre classes et théories de la circulation

Qu’est ce que les Lumières ? de Kant Il s’agit d’une œuvre philosophique écrit en 1784 dont le titre complet est « Réponse à la question : Qu’est ce que les Lumières ? ». Le but de cet ouvrage est d’expliquer les bénéfices que l’Homme détient quand il pense par lui-même. Le thème principal de l’œuvre est l’autonomie de la réflexion de l’homme adulte. La question que l’auteur se pose est pourquoi l’homme n’utilise pas sa propre réflexion alors qu’il en a les moyens. Les Lumières sont comparées

Exercice de dissertation Discutez l'énoncé suivant dans un texte argumentatif (env.500 mots), en vous référant à L'Adversaire (2000) d'Emmanuel Carrère. « Un mensonge, normalement sert à recouvrir une vérité. Le sien ne recouvrait rien. » (L'Adversaire, p.99) Emmanuel Carrère dit dans son livre L'Adversaire, qu'un mensonge, normalement sert a recouvrir un vérité mais le mensonge de Jean-Claude Romand ne recouvrait rien. Autrement dit, le mensonge sert à cacher une vérité mais

être aussi due au trouble de personnalité se manifestant par des comportements antisociaux. Les psychopathes, par exemple, passent à l’acte sans culpabilité apparente. On voit leur nombre accroitre partout dans le monde, ces jours-ci. La philosophe Kant plaçait «la raison» au centre du monde, il me semble qu’à sa place; je mettrai « la conscience morale» au centre du monde. Si la conscience morale existait partout, le monde roulera parfaitement. En conclusion, la conscience morale existe mais change