Kant Explication Conscience

toujours curieux de savoir ce que les autres pensent de soi, et on est souvent surpris du jugement d'autrui. Mais pourquoi vouloir se connaître ? Est-on ce que l'on décide d'être et l'on se connaît déjà, ou bien y a-t-il quelque chose qui échappe à la conscience et à la connaissance de soi, et alors comment y accéder ? Faire du sujet un objet de connaissance, n'est-il pas contradictoire ? Le sujet, lui-même en devenir, n'est-il pas par définition insaisissable ? Le problème porte donc sur la possibilité

sa conduite sur les déterminations que la nature lui a d’abord imposées. Il est donc nécessaire de dégager la cause de cette transformation pour pouvoir rendre compte de cette spécificité de la nature humaine. Pour rousseau on peut trouver cette explication dans le fait que l’être humain est perfectible, dans le fait qu’il peut aussi bien s’améliorer que se rendre pire qu’il n’est. Quoi qu’il en soi, une telle possibilité n’évolue plus simplement de manière naturelle mais s’inscrit dans un progrès

religion particulière, et tenter de situer ce qui est commun à toutes, et même au-delà, jusque dans des formes apparentées, telles que les sectes et certains mouvements sociaux politiques. . Il ne sera pas ici question de Dieu (dont on sait depuis Kant qu’il ne peut être prouvé par l’exercice de la raison), mais d’un phénomène social et psychologique humain, commun à toutes les sociétés et à toutes les époques, y compris  «  l’âge de pierre »(traces magico- religieuses) et les sociétés officiellement

(considérés comme des choses) a fondé notre patrimoine génétique de la sociologie. Edmund Husserl, philosophe allemand, contemporain de Weber qui a formalisé la phénoménologie  le discours de la science concernant les phénomènes (sociaux), phénomène de conscience. La phénoménologie a été considérée comme une parente de la sociologie compréhensive de Weber. La phénoménologie existe en philosophie en tant qu’objet d’étude, et elle se veut une nouvelle science. Alfred Schutz (60’), élève de Husserl, avant

toujours curieux de savoir ce que les autres pensent de soi, et on est souvent surpris du jugement d'autrui. Mais pourquoi vouloir se connaître ? Est-on ce que l'on décide d'être et l'on se connaît déjà, ou bien y a-t-il quelque chose qui échappe à la ­conscience et à la connaissance de soi, et alors comment y accéder ? Faire du sujet un objet de connaissance, n'est-il pas contradictoire ? Le sujet, lui-même en devenir, n'est-il pas par définition insaisissable ? Le problème porte donc sur la possibilité

jugements synthétiques a priori (Kant), c’est-à-dire une connaissance innée du monde ? Kant pense pouvoir prouver que l’intuition de l’espace et du temps n’est pas a posteriori (issue de l’expérience) mais qu’au contraire elle est la condition de toute expérience : car sans la notion d’espace (et de causalité) je n’aurais même pas l’idée de choses indépendantes de moi, donc je n’aurais pas d’« expérience ». C’est sur la base de raisonnements de ce genre que Kant nous demande d’admettre l’idée que

yeux ». Nos perceptions par les sens nous permettent seulement de vagues impressions. Chapitre 18 « Descartes » : La matière, la conscience. L’auteur explique de Descartes pensait qu’il y avait deux substances, la pensée et la matière. Elles découlent toutes les deux de Dieu. Descartes croit que l’homme nait avec certaines idées (innées) présentes dans la conscience et qui précèdent toute expérience. Plus l’idée est claire et plus elle devrait correspondre à quelque chose de réel. Il parle aussi

pouvant servir de référence Un texte de Bergson qui tend à montrer que les œuvres d’art nous apprennent à percevoir ce qui demeurerait sans elles inaperçu : « Quel est l’objet de l’art ? Si la réalité venait frapper directement nos sens et notre conscience, si nous pouvions entrer en communication immédiate avec les choses et avec nous-mêmes, je crois bien que l’art serait inutile, ou plutôt que nous serions tous artistes, car notre âme vibrerait alors continuellement à l’unisson de la nature. Nos

toi même". Les hommes rattrapés par leur destin : c'est l'objet de nombreuses pièces de théâtres : les tragédies (ex : Œdipe). Science de l'Histoire Hérode (484 – 424 av. J.C.) Thucydide (460 – 400) Les philosophes grecs tentent de trouver une explication rationnelle, des causes naturelles, aux phénomènes naturels, au déroulement de l'histoire. Les plus connus furent Hérode et Thucydide. Médecine Hippocrate (env.460 av. J.C.) Pour les grecs, la maladie est le fait des dieux. La guérison également

d’être, but, …). Discussion à partir de la question D’où vient le monde ? (les explications scientifiques et leurs limites, les questions existentielles humaines, ...) Chapitre II. Le chapeau haut de forme A domicile : Lecture de la suite + finalisation de la définition. En classe : Elaboration commune de la définition de la philo (une attittude dans la vie / une discipline de sciences humaines) et explication de la métaphore du lapin dans le chapeau haut de forme. Mise en parallèle avec la