Kant Mill

Dans son livre Auguste Comte et le positivisme, John Stuart Mill résume la doctrine positiviste de Comte d'une manière à la fois claire et synthétique : "La doctrine fondamentale d'une philosophie véritable, d'après M. Comte, aussi bien que le caractère par lequel il définit la Philosophie Positive, se peuvent résumer de la façon suivante : Nous ne connaissons rien que des phénomènes ; et la connaissance que nous avons des phénomènes est relative, et non pas absolue. Nous ne connaissons ni l'essence

• Doctrine : le positivisme • Article détaillé : Positivisme. • Idées générales[modifier] • Dans son livre Auguste Comte et le positivisme, John Stuart Mill résume la doctrine positiviste de Comte d'une manière à la fois claire et synthétique : • "La doctrine fondamentale d'une philosophie véritable, d'après M. Comte, aussi bien que le caractère par lequel il définit la Philosophie Positive, peuvent se résumer de la façon suivante : Nous ne connaissons rien que des phénomènes ; et la connaissance

cause de quoi ou en vue de quoi l'homme est-il moral ? Si notre seul mobile est l’intérêt, il s’agit alors d’adhérer à une vision plutôt pragmatiste qui ne peut être justifié seulement jusqu’à un certain point. D’un autre côté, tel que le comprend Kant, la conduite morale peut a priori être déterminée, au delà de l’intérêt même, par la notion de devoir. L’obligation morale, le devoir, est inhérente à la liberté en acte. Le rigorisme kantien n'en affirme pas moins que l'intérêt ne saurait être authentiquement

consiste donc à obéir à ses propres lois individuelles et morales (que l’individu s’est lui-même donné). Et deuxièmement, la liberté consiste à obéir à un ensemble de lois sociales et morales (sont partagées par tous les individus libres d’une société). Kant parlera à ce titre d’autonomie, c'est-à-dire la capacité de se donner ses propres lois et de les respecter (Critique de la raison pratique, 1788). Le Devoir Le devoir peut être envisagé en tant que : Contrainte externe : Le devoir est relatif

relativisme réagit d’une façon maladroite à l’absolutisme. Le pluralisme est la voie de juste milieu.  À la question > Comment répondraient les tenants des 3 grandes écoles éthiques. (déontologique, utilitariste et vertus) RÉPONSE PERSONNELLE Kant : ment pas car c’est moral Aristote : Mentir = immoral, mais selon sentiment/jugement on peut mentir, mais on se doit de pas en prendre l’habitude 4. Expliquez pourquoi, pour Aristote, les deux hypothèses de départ sur le bonheur (le plaisir pour

degré, et que potentiellement quant à la durée). Kant, Critique de la raison pure (1781) «  « Demandez-vous si vous êtes heureux, et ainsi vous cesserez de l’être ; la seule chance est de prendre comme but de la vie, non le bonheur, mais quelque fin extérieure à lui. » Autobiographie ******************************************************  « C’est la flambée éclatante et accidentelle de la jouissance, ce n’en est pas le feu permanent et sûr. » Mill Le bonheur est certes éphémère, mais «  Il ne

(Descartes le martèle tout au long du Discours de la méthode). On retombe ici, avec quelques aménagements, sur le « bonheur de philosophe » prôné par Platon. Je n’insiste pas sur ce point, assez facile à argumenter.3.2. Antithèse : la pensée critiqueAvec Kant, un glissement s’opère. Le bonheur est sans doute pensable ; mais parce que la raison seule donne une pensée rationnelle (en rapport avec le réel), alors si l’on s’interroge sur la possibilité d’être réellement heureux, il faut le faire avec l’aide

mesure où il redonne de la force à la morale, il semblerait qu'à faire de l'action morale un simple moyen en vue d'une fin qui lui serait supérieure en dignité, on ôte à cette dernière toute son essence. Si l'on se réfère à la philosophie morale de Kant, la morale ne peut être un marche-pied en vue d'autre chose, la morale doit être elle-même la fin en soi. Il semblerait alors qu'à n'être moral que par intérêt , on ne le soit, en réalité, pas. Mais s'ouvre alors une autre difficulté, si l'on ne peut

élémentaires de la vie religieuse », (1912) « La science sociale et l’action » (parue après sa mort). I. Définition de l’éducation Dans ce premier point nous essayerons de comprendre ce qu’est l’éducation pour des auteurs comme John Stuart Mill, (un libéral) Herbert Spencer, afin de montrer par la suite ce qu’Emile Durkheim apporte de plus sur la conception de l’éducation. Etant consciente que ce texte n’aborde point explicitement la définition de l’éducation pour les deux positions, nous

définitions différentes : · Stuart MILL : Pour lui, l’éducation c’est rendre la nature humaine plus perfectionnée par ses actions propres et par les actions extérieures. Mais pour notre sociologue, cette définition correspond aux faits disparates. Choses hommes Hommes hommes Adulte jeunes (c’est le niveau qui nous concerne) · Emmanuel KANT : « Son but est de développer