Karl Popper Tolérance

principe de tolérance. Etre tolérant c’est ne pas réprimer certains abus qui pourrait être condamnés, c’est supporter chez autrui ce qu’on n’approuve pas, c’est admettre des manières de penser et d’agir différentes des nôtres sans pour autant les partager. La tolérance endosse donc de nombreuses significations. Mais quelque soit son sens la tolérance semble, de nos jours, être devenue une vertu essentielle pour vivre paisiblement en communauté. Mais peut-on tout tolérer ? La tolérance infinie est-elle

changement ? Cette fulgurante évolution était-elle une fatalité ? Jusqu’à quand et jusqu’où le progrès nous mènera-t-il ? S’arrêtera-t-il seulement un jour ? Sommes-nous condamnés à progresser ? Dans cette dissertation, je vous exposerai l’avis de Karl Popper (1902-1994), qui était un philosophe, épistémologue britannique et auteur de cette citation sur le progrès. Ensuite, j’exprimerai mon avis sur le sujet. Avant de commencer, qu’est-ce que le progrès ? D’après le Petit Larousse, il s’agit du développement

 » (Popper) ; l'histoire est faite par les individus à échelle de la liberté qui est la leur sans possibilité autre que de l'embrasser pleinement (Camus) et la politique devient l'arène de la liberté absolue du Moi comme éthique suprême de l'inconditionné et de l'indéterminable (Stirner). Aristote,  Physique (v. 350 avant J.-C.) Hegel, G.W.F.  Leçons sur la philosophie de l'histoire (1830) Marx, Karl.  Le

en prenant cette croyance et l'ensemble des dogmes qui s'y rapportent comme un principe. Bilan Dès lors, la différence des convictions non seulement se conçoit comme possible mais est une source de richesse pour la pensée humaine. La tolérance est cette attitude qui refuse son contraire : l'intolérance par respect de la liberté de pensée, pour autant que cette liberté soit responsable et sans fanatisme. On peut dès lors se demander si un renversement de notre position de départ

objet 2. Mais il pensait également que l'élaboration d'une logique de la science était non seulement essentielle, mais irréductible aux autres perspecti­ves, dans la mesure où les questions de validité nécessitaient un traitement sui generis 3. De même, Popper voyait bien que la question de l'acceptation ou du rejet des énoncés de base susceptibles de corroborer ou de réfuter les théories scientifiques constituait une question réelle; mais il en faisait une question empirique de la psychologie qui, comme

objet 2. Mais il pensait également que l'élaboration d'une logique de la science était non seulement essentielle, mais irréductible aux autres perspecti­ves, dans la mesure où les questions de validité nécessitaient un traitement sui generis 3. De même, Popper voyait bien que la question de l'acceptation ou du rejet des énoncés de base susceptibles de corroborer ou de réfuter les théories scientifiques constituait une question réelle; mais il en faisait une question empirique de la psychologie qui, comme

avoir, pouvoir, savoir Quelques auteurs : Karl Marx est celui qui explique le mieux le capitalisme : Il apparaît quand il se forme un prolétariat ils vont vendre leur force de travail les négociants (dirigeants) vont capter la richesse produite par la force de travail : ils captent la plu value. C’est de la que nait le capitalisme : je ne suis pas assez riche pour posséder donc je vend ma force de travail. Max Weber reprend les idées de Karl Marx. Le capitalisme est le premier système organisé

Existence d’un consensus pour démo et régimes autoritaires mais le consensus est total ds démocraties cad qu’il y a des procédures de régulations des conflits ds société légales et légitimes pour tous ≠ régimes autorit : consensus partiel : pas de tolérance de l’expression publique d’un désaccord, seulement dans sphère privée (donc à ce niveau consensus et non au niveau sphère public) ⇨ Régimes (ou plus exactement systèmes) totalitaires : aucun consensus car aucun désaccord possible : de tels systèmes

nous ; il est au-devant, il est dans la perfection de l’ordre social » Comte de Saint Simon (1760-1825) économiste et philosophe «  Tous ceux qui ce sont proposés de créer le paradis sur terre, n’ont jamais rien produit d’autre que l’enfer. » Karl Popper (1902-1994) philosophe des sciences. I - Un monde d’utopies L’antiquité Des lieux mythiques inspirent les utopies, elles devenues politiques avec Platon qui dans De la République tente de condamner la démocratie de son temps. Dans l’antiquité

liberté d’expression semble finalement une bonne solution. Karl Popper est un penseur né en 1902 et mort en 1994. Il pense que il faut mettre des limites dans la liberté d’expression, il déclare : « pour maintenir une société tolérante, la société doit être intolérante à l'intolérance. » mais aussi que « la tolérance illimitée a pour conséquence fatale la disparition de la tolérance. », c’est ce que l’on appelle le paradoxe de la tolérance. En effet cette dernière devient non plus une vertu mais