Keynes Et La Crise De 1929

doit disposer financement . depuis le 19e siècle ,le rôle régalien de l’etat est consacré par lès physiocrate ,son rôle est alors de protéger l’apropriété privee tout en stimulant l’initiative privee . Avec le 20e siècle (guerre mondial et le crise de 1929 ), le rôle économique de l’etat s’accroit , avant la 1Er guerre mondiale, l’etat jouait le rôle du bon gendarme .Durant la 1Er GM ,l’etat devient prenneur de décision pour soutenir la croissance .durant la 2éme GM on assiste à un Etat providence

La monnaie selon Keynes : une équation à trois termes L’équation de Keynes est la suivante : Y = C + I où Y est le revenu, C la consommation et I l’investissement. Cette équation est faite pour établir qu’une augmentation de l’investissement, d’Etat pour l’économie nationale, finance à terme l’augmentation de revenu en générant l’augmentation de l’épargne (via la capacité d’épargne). Sa théorie a été très directement appliquée par Roosevelt. Elle sous-tend les politiques dites "budgétaires" ou

a- Les conséquences de la Première Guerre Mondiale : quelques années de crise et de désordre monétaire • En Europe, la guerre et ses conséquences se traduisent par une baisse du PNB/PIB Au sortir de la guerre, le PNB des pays belligérants européens (France, Royaume Uni, Allemagne, Italie…) est en moyenne inférieur de 30% à son niveau de 1914. En outre, ils sont très endettés vis-à-vis des Etats-Unis et leur balance commerciale extérieure est négative (par exemple, la France exporte à hauteur

planification accompagner de la collectivité des terres ( pas de propriétaires) et la nationalisation des entreprises (moins de terre privés) donc l’état centrale va décider de tous. L’objectif est l’industrialisation. En 1960, l’URSS connait une grande crise. En fin d’année 1990, il n’existe plus. Dans un premier temps, la production baisse. A partir des années 20, il y a un essor spectaculaire , l’URSS est la 2éme puissance industrielle, c’est une puissance mondial, cela s’accompagne d’une alphabétisation

La monnaie selon Keynes : une équation à trois termes L’équation de Keynes est la suivante : Y = C + I où Y est le revenu, C la consommation et I l’investissement. Cette équation est faite pour établir qu’une augmentation de l’investissement, d’Etat pour l’économie nationale, finance à terme l’augmentation de revenu en générant l’augmentation de l’épargne (via la capacité d’épargne). Sa théorie a été très directement appliquée par Roosevelt. Elle sous-tend les politiques dites "budgétaires" ou

est condamné à disparaître : Ce système est par nature instable, en effet la recherche des gains de productivité conduit à l'acquisition de machines pour remplacer les hommes, ce qui conduit à terme à une impossibilité d'écouler la production. Cette crise finale entraînera donc la mort du capitalisme et son remplacement par un autre système économique. Le socialisme : La propriété privée des moyens de production à l'origine de l'exploitation de la classe ouvrière doit être abolie. L'instauration d'un

besoins et l’utilité.  L’utilité fait que les gens achète un produit plutôt qu’un autre avec une démarche rationnelle (= comparaison entre les produits pour maximiser l’utilité)  Utilité pas mesurable pour Walras mais suppose qu’elle l’est.  Keynes : remet en cause les hypothèses classiques (JB Say). La monnaie fait l’objet d’échange pour elle-même, elle n’est pas neutre, il y a un marché de la monnaie.  2 types de personnes : les consommateurs et les producteurs  Demande = variable privilégiée

C’est l’économiste soviétique Kondratiev qui met en lumière l’existence de cycles économiques de 40 à 60 ans en 1926 (Les vagues longues de la conjoncture) (TBI) caractérisés par une phase ascendante (croissance économique) et une phase descendante (crise conduisant à une stagnation voire récession, c’est-à-dire diminution de la production de richesses). L’économiste austro-hongrois Schumpeter reprit pour sa part les cycles de Kondratiev en mettant en lumière le fait que les cycles de croissance reposent

macroéconomie moderne ou bien des fondements microéconomie de la macroéconomie ? Où en est-on et que change la crise actuelle ? ». C’est un économiste qui a publié en 1948 Economics, et il reçoit en 1970, le prix Nobel de sciences économiques. L’histoire économique est la source des conjectures (prédiction) et des tests tels que l’exemple de la période récente, qui repose sur la crise. Mais « l’histoire économique ne raconte pas sa propre histoire » : en histoire économique comme dans toutes les

empêcher la hausse des prix du blé c’est évité la baisse du taux de profit le libre échange peut empêcher pour longtemps la menace stagnation économique grâce a la loi des débouchés de « Say » il y a impossibilité de crise générale de surproduction cependant il existe des menaces de crise passagère en ca de guerre ou d’encombrement d’un secteur donné il ne peut y avoir trop de capital dans un pays le machinisme peut toutefois entrainer le chômage mais l’opposition au machinisme peut poussé les capitaux