Keynes Neutralité De La Monnaie

Les économistes et l’argent 4.1.2 Marx et le fétichisme de l’argent 4.1.3 Les sociologues classiques et l’argent (fin 19e-début 20e) 4.1.4 Polanyi : l’argent marchandise fictive 4.1.5 L’analyse de Viviana A. Zelizer 4.1.6 Aglietta et Orléan : la monnaie et le sacré 4.2 La consommation (Séance 10) 4.2.1 La critique du modèle utilitariste 4.2.2 La critique de la Société de consommation 4.2.3 Sociologie de la consommation et du consumérisme 4.3 Le marché, les marchés (Séance 11) 4.3.1 Le marché dans

cY C= cY + C0 C Même sans revenu, la consommation n’est pas nulle. C0 Y (1) (3) (2) (1)PMC = PmC (2)PMC = c + (C0/Y) -> diminue quand le revenu augmente. (3) PMC > PmC -> loi psychologique fondamentale. Chez Keynes la consommation prime sur l’épargne (on détermine d’abord les dépenses de consommation et ce qu’il reste, c’est l’épargne.) Au contraire, Smith (les classiques) par exemple considère que la consommation est le résidu non épargné. Pour les revenus

indépendante (pétrole). Or le non l’a emporté pour des raisons économiques telles que la possible disparition de certaines entreprises ainsi que des problèmes afin de financer le budget des retraites. Autre aspect fondamental : la monnaie. Westminster a refusé de partager sa monnaie et Bruxelles comme pour n’importe quel autre pays émettait des conditions avant d’autoriser l’Euro en Ecosse. C’est donc la peur de l’isolement économique qui a poussé les Ecossais à voter massivement contre l’indépendance

dans la sphère privée. Il campe sur les compétences de puissance publique. Cette posture étatique a des incidences au plan financier. L’Etat gendarme repose sur un certain nombre de principes. Il y a 3 grands principes : Le principe de la neutralité budgétaire, c'est-à-dire que les finances publiques n’ont pas vocation à intervenir dans le domaine économique et à être utilisées comme un instrument d’action sur les lois de l’offre et de la demande. Le budget de l’Etat ne peut donc jamais être

connaissance en matière économique. La première théorie dont l’ambition est véritablement scientifique est le tableau économique des physiocrates. François Quesnay (1694-1774), médecin de Louis XV, considère que l’économie est un système de flux de monnaie et de biens, à l’image du corps humain où le sang Alain Peyrefitte, Du miracle en économie leçons au Collège de France, édition Odile Jacob, octobre 1998. Numéro 41 • Octobre 2006 circule. Son tableau est un modèle simplifié des échanges

sur l’Union Européenne : 1er traité qui amène des choses nouvelles : idée de créer une monnaie européenne relance l’Europe politique (pas accepté) : projet de MONNET Il est signé par les états membres, seul le Danemark qui refuse la ratification. La GB a demandé une dérogation au Traité pour garder leur monnaie. En 1993, nouveau référendum au Danemark, qui accepte selon les mêmes conditions que la GB (monnaie nationale). De même que la Suède, la Finlande et l’Autriche. En 1997, le TRAITE D’AMSTERDAM

Pour eux, la monnaie n’est pas neutre à court terme, elle a même des effets importants mais la neutralité à long terme est conservée. Selon Friedman une politique de relance keynésienne est toujours inflationniste et ne réduit le chômage dans le meilleur des cas que pendant une période courte. Le taux de chômage ne peut pas durablement s’éloigner du taux naturel de chômage. Cette école de pensée reprenant donc pour l'essentiel la théorie quantitative de la monnaie, qui avance que la monnaie influe seulement

la création monétaire dans le financement de la croissance. Reprenant alors la distinction classique au sein des intermédiaires financiers entre ceux qui sont "bancaires" et ceux qui ne le sont pas selon qu'ils ont ou non le pouvoir de créer de la monnaie, nous posons dans une troisième et dernière partie la question de la spécificité des banques au sein de la galaxie des intermédiaires financiers. Plan : Partie 1 : L'intermédiation au centre de la macroéconomie monétaire. Chapitre 1 : L'intermédiation

personnes, et pour cela financer une police et une armée ; Assurer le respect de la loi, et pour cela financer une justice ; Assurer la circulation des marchandises d'un lieu à un autre en développant la voirie. Par ailleurs, selon ce principe de neutralité de l'Etat, le budget de l'Etat, c'est à dire les dépenses et les recettes de l'Etat, ne doit pas peser sur l'économie. C'est pourquoi le budget doit être strictement équilibré ; les dépenses ne peuvent âs être supérieures aux recettes, ms les recettes

l’idée que la société peut fonctionner indéfiniment et les dépenses qui ont lieu à travers la circulation de la monnaie permettent d’assurer spontanément la cohérence sociale c'est à dire qu’elle peut donc se reproduire indéfiniment et que l’un des élément fondamentaux de cette reproduction de la société est la circulation de cette monnaie et par ailleurs cette circulation de la monnaie permet donc d’assurer ce que nous on appellerait la cohérence sociale et ce que Quesnay lui-même appelait un ordre