Kherrata

des mouvements nationalistes algérien notamment Ben Bella venu en France dans le cadre de négociations secrètes. - Souvent l’opposition trouve son achèvement dans l’utilisation de la violence comme le 8 Mai 1945 où les émeutes de Sétif de Guelma et Kherrata se transforment en véritable massacres. La question de l’utilisation de la violence se pose pour la France avec la guerre d’Algérie et « La question » (Titre du livre de Maurice Alleg sur la torture) de la torture. L’intervention armée est le dernier

situation du manque d'eau dans certaines villes. Les barrages en Algérie sont Hamiz, situé à 35 kilomètres d'Alger, Béni Haroun dans la wilaya de Mila, barrage de Timgad, Taqsebt, Tichy-haf, Tilesdit, Koudiat Acerdoun, barrage Ourkis, barrage de Kherrata dans la Wilaya de Béjaïa. À l'ouest, de nombreux barrages alimentent les villes comme Beni Bahdel, Sikkak Bekkhedda, Dahmouni, Bentaïba,Ghrib, Bougara, barrage de Sidi M’Hamed Bénaouda[33]. Il existe aussi des stations d'épuration d'eau comme à

Nord-Constantinois, le 20 août 1955? Entrée dans la guerre ouverte 1) SETIF ET GUELMA, LE 8 MAI 1945 ? L'affrontement larvé entre les 2 communautés prend un tour dramatique en 1945: a) Évènements du 8 mai 1945 Les massacres de Sétif, Guelma et Kherrata sont des répressions sanglantes d'émeutes nationalistes qui sont survenues en 1945 dans le département de Constantine. Elles débutent le 8 mai 1945: pour fêter la fin des hostilités et la victoire des Alliés sur les forces de l'Axe, un défilé

de cette loi un an plus tard. En 2007, Nicolas Sarkozy, successeur de Jacques Chirac, condamne sur le sol algérien la colonisation, celle-ci étant « injuste par nature ». En 2012, François Hollande évoque "les massacres de Sétif, de Guelma et de Kherrata". C'est de ce fait le premier chef d'état français à employer le mot « torture » pour décrire certains actes commis pendant la guerre d'Algérie et rappelle le « devoir de vérité sur la violence, les injustices, les massacres, la torture ». Et le

jeunes - Ayauz Slimane Maison de jeunes de Kherrata Maison de jeunes de Béjaïa Maison de jeunes d’Amizour Maison de jeunes - Hadji Mohamed Arab Maison de jeunes - Ahmed Larbi Maison de jeunes - Hamimi Nacer Maison de jeunes - Abderrahmane Farès Maison de jeunes - Maouche Hadj Laâmara Maison de jeunes de Béjaïa Maison de jeunes de Souk El Thenine Maison de jeunes de Seddouk-centre Maison de jeunes de Chemini Maison de jeunes de Tazmalt Maison de jeunes de Kherrata Auberge de jeunes de Tichi Maison de jeunes

Le 8 mai, la répression d’émeutes insurrectionnelles au cours desquelles une centaine d’Européens sont tués fait plusieurs milliers de morts (entre 15 000 et 45 000 selon les estimations) parmi les Algériens dans les régions de Sétif, Guelma et Kherrata. En avril, un groupe de militants du PPA déterminés à entrer dans la lutte armée en constituant un front commun créent le Comité révolutionnaire pour l’unité et l’action (CRUA), transformé en Front de libération nationale (FLN) le 1er novembre :

principe de l'autodétermination était solennellement proclamé par les alliés. Mais le 8 Mai 1945, qui marquait la fin de la guerre fut pour l'actuelle wilaya de Jijel, le théâtre d'un génocide de Tamentout à Beni-Aziz (Ex Chevreuil ), zone proche de Kherrata, autre ville martyre avec Sétif et Guelma. Le bagne, les travaux forcés, les déportations et l'emprisonnement devinrent le lot de ceux qui échappèrent à la mort. « La répression sévère, impitoyable est commencée... J'ai vu dans les yeux des chefs

140 | 1.91 | Sidi aich | 40 | 1.64 | 129 | 1.76 | Beni djelil | 40 | 1.64 | 116 | 1.58 | Seddouk | 40 | 1.64 | 115 | 1.57 | Tala hamza | 39 | 1.60 | 118 | 1.61 | Fenaia | 38 | 1.56 | 108 | 1.48 | Barbacha | 36 | 1.48 | 111 | 1.52 | Kherrata | 33 | 1.35 | 75 | 1.02 | Darguina | 29 | 1.19 | 99 | 1.35 | Toudja | 29 | 1.19 | 74 | 1.01 | Kendira | 26 | 1.07 | 92 | 1.26 | Malbou | 25 | 1.06 | 88 | 1.20 | Beni maouche | 25 | 1.06 | 83 | 1.13 | Chemini | 23 | 0.94 | 70 | 0.96 |

fournit 90 000 m3 ou le centre de Beni Saf, ont amélioré la situation du manque d'eau dans certaines villes. Les principaux barrages en Algérie sont ceux d'El Hamiz, Béni Haroun, Timgad, Taqsebt, Tichy-haf, Tilesdit, Koudiat Acerdoun, Ourkis et Kherrata. Dans l'Ouest, de nombreux barrages alimentent les villes comme Beni Bahdel, Sikkak Bekkhedda, Dahmouni, Bentaïba, Ghrib, Bougara, barrage de Sidi M’Hamed Bénaouda31. Il existe aussi des stations d'épuration d'eau, telle celle d'El Kerma. Géographie

155 2.12 Tichy 49 2.00 172 2.35 Ouzellaguen 43 1.76 120 1.64 Taskriout 42 1.72 140 1.91 Sidi aich 40 1.64 129 1.76 Beni djelil 40 1.64 116 1.58 Seddouk 40 1.64 115 1.57 Tala hamza 39 1.60 118 1.61 Fenaia 38 1.56 108 1.48 Barbacha 36 1.48 111 1.52 Kherrata 33 1.35 75 1.02 Darguina 29 1.19 99 1.35 Toudja 29 1.19 74 1.01 Kendira 26 1.07 92 1.26 Malbou 25 1.06 88 1.20 Beni maouche 25 1.06 83 1.13 Chemini 23 0.94 70 0.96 Ighil ali 23 0.94 65 0.89 Ait r’zine 20 0.82 53 0.72 Boukhlifa 19 0.78 52 0.71 Boudjellil