Kim Il-sung

reste du monde. On remarque cela particulièrement au niveau de l’Asie. Avec la révolution en Chine dirigée par Mao Zedong , le 1er Octobre 1949 qui était un succès et il proclame la république populaire de la Chine, pareil en Coré du nord avec KIM IL SUNG, mais bien évidement les Etats Unis doit marqué son territoire et continuer à faire face à son ennemie ( l’URSS). Les USA s’emparent de la coré du sud. Cependant pour riposter les Etats Unis choisissent un outil de séduction , ils proposent le plan

Chine. La France , soutenue par les USA s’oppose donc aux révolutionnaires . La France doit en 1954, doit donner son indépendance au Vietnam ( au nord ). • La Guerre de Corée est également une période de tensions. Le dirigeant nord coréen Kim Il Sung souhaite envahir le Sud en 1950. Les USA proposent une intervention de L’ONU pour repousser les nord coréens. Proposition acceptée et l’ONU parvint à gagner la guerre et un cessé le feu est signé en 1953. B - La coexistence pacifique ( 1953

crise de représentativité de l’ONU : Formose (Taiwan) de Jiang JIESHI seule représentée 1. les succès du Viêt-minh en Indochine 1. l’apogée de la tension : la guerre des 2 Corée - 1950-53 Carte 5 p.195 a) invasion Nordiste (État communiste, Kim IL SUNG, capitale Pyongyang) b) contre offensive surtout US (Mac ARTHUR) sous couvert de l'ONU au côté du dictateur Syngman RHEE c) intervention directe de la RPC ==> - plus d'1 Million de morts - stabilisation autour du 38 °// : armistice

1987 Odile Hullot-Kentor, Autonomie et destin « La Princesse de Clèves », Thèse de doctorat, Amherst, University of Massachusetts 1988 Guilda Kattan, « La Princesse de Clèves » : éléments d’une sémiotique sociale., Mémoire de maitrise, 1972 Sung Kim, Les récits dans « La Princesse de Clèves » : tentative d’analyse structurale, Saint-Genouph, Nizet, 1997 Ludovic Lalanne, Brantôme et « « La Princesse de Clèves » » de Mme. de La Fayette, Paris, [S.n.], 1891 Gérard Letexier, Madame de Villedieu

au sud l’armée américaine séparées par une frontière définit au niveau du 38ème parallèle. Le 15 août 1948, la Corée du Sud est proclamée République de la Corée et dix jours plus tard le nord devient la République populaire de Corée gouverné par Kim H-Sung. S’en suit la guerre de Corée du 25 juin 1950 au 27 juillet 1953 entre les deux états dû à des idéologies différentes (communiste au nord et capitaliste au sud). Aujourd’hui les deux états coexistent difficilement. Le Japon daterait du VIIe

deviennent tellement importantes, qu’à la veille de la seconde guerre mondiale, 20% de la production industrielle japonaise provenait de la Corée. Le 16 Mai 1961 : Date couperet Le 16 Mai 1961, le Général Park Chung-Hee et le lieutenant-colonel Kim Chong P’il lancent un coup d’Etat contre le régime du second président de l’histoire sud-coréenne, Chang Myon. Pour mesurer l’ampleur des changements depuis la prise du pouvoir du Général Park, rappelons brièvement ce qui s’est passé durant la dernière

l’Inwa », ou « harmonie entre les personnes ». Dès 1988, son président Ja Gyeong Koo a lancé une ambitieuse charte intitulée "Management pour le XXI° siècle", qui redéfinit sa démarche innovatrice et engage une profonde réorganisation de ses structures (Kim, 1994). Dans toutes les sociétés du groupe, la charte s'efforce de réorienter les comportements vers le marché (programme intitulé "Tirer de la valeur pour le client"): les réformes engagées s’avèrent toutefois classiques, faisant appel à des outils

Corée en 1953), ainsi que de sa dépendance à l’égard du Sud pour son aide économique et humanitaire, la Corée du Nord ne va certainement pas envisager de tels actes contre le Sud. Afin d’améliorer les relations avec le Japon, le chef d’État de la RPDC, Kim Jong Il, a fait des efforts considérables qui ont conduit à deux visites du Premier Ministre Koizumi en RPDC, à un accord concernant le retour de Japonais preneurs d’otages qui vivent avec leurs familles à Pyongyang depuis les années 70, et au retour

Après la défaite japonaise en août 1945, la Corée est coupée en deux au niveau du 38e parallèle : au Sud, la République de Corée, proaméricaine, dirigée par Syngman Rhee, au Nord, la République populaire de Corée, pro soviétique, dirigée par Kim Il-sung. En 1948 et en 1949, les armées soviétiques et américaines quittent leurs zones d’occupation respectives, de part et d’autre du 38e parallèle. Le 12 janvier 1950, le secrétaire d’État américain Dean Acheson déclare devant des journalistes que

point la répression concentrationnaire fût vitale au communisme soviétique et l'on constate finalement qu'aucune des expériences communistes n'a échappé à cette loi: ni la Chine du "Grand Timonier" avec ses 65 millions de morts, ni la Corée de Kim II Sung (2 millions), ni même le Viêt-nam du "gentil Oncle Hô" (1 million) ou le Cuba du flamboyant Fidel, flanqué du pur Che Guevara et de leurs 150'000 victimes. A cela il convient d'ajouter, les deux millions de victimes du système cambodgien et de leurs