Kim Il-sung

officielle d'autonomie du Juche développée par le président Kim Il-sung. Après sa mort en 1994, Kim Jong-Il, son fils, lui a succédé à la tête de l’État mais non en tant que Président de la République, cette fonction étant restée« éternellement » rattachée à la personne de Kim Il-sung2,3. Après la dislocation de l'URSS et une série de catastrophes naturelles, la Corée du Nord a subi une famine faisant de 900 000 à deux millions de morts4,5. Kim Jong-Il adopte alors la politique du Songun ou « l'armée

le Sud en 1950, guerre qui se termina par un match nul en 1953. La situation demeura ainsi jusqu’à aujourd’hui. Selon l’auteur, la nouvelle intelligentsia nord coréenne ignorait tout du Marxisme. Elle reçut un cours intensif des Soviétiques. Kim Il Sung, un homme qui, selon un diplomate, ne semble avoir jamais lut un livre sérieux, avait été mis à la tête du pays, ayant été un résistant contre les Japonais. L’auteur élabore sa description de l’idéologie Nord Coréenne à partir de l’art domestique

(Suwon Bluewings)Kim Young-Kwang (Ulsan Horang-i)Jung Sung-Ryong (Seongnam Ilhwa) DÉFENSEURS Lee Young-Pyo (Al-Hilal/ARS)Kim Dong-Jin (Ulsan Horang-i)Cha Du-Ri (SC Fribourg)Oh Beom-Seok (Ulsan Horang-i)Cho Yong-Hyung (Jeju United)Lee Jung-Soo (Kashima Antlers)Kim Hyung-Il (Pohang Steelers)Min-Soo Kang (Suwon) MILIEUX DE TERRAIN Kim Nam-Il (Tom Tomsk) Park Ji-Sung (Manchester United) Kim Jung-Woo (Gwangju Phoenix)Lee Chung-Yong (Bolton Wanderers)Ki Sung-Yong (Celtic/ECO)Kim Jae-Sung (Pohang Steelers)Kim

États-Unis Matthew Ridgway Drapeau des États-Unis Mark Wayne Clark Drapeau des États-Unis Harry S. Truman Drapeau des États-Unis Dwight D. Eisenhower Drapeau de la Turquie Tahsin Yazıcı Drapeau : Corée du Nord Kim Il-sung Drapeau : Corée du Nord Choi Yong-kun Drapeau : Corée du Nord Kim Chaek Drapeau de la République populaire de Chine Mao Zedong Ground Force Flag of the People's Republic of China.svg Peng Dehuai Drapeau : URSS Joseph Staline Drapeau : URSS Georgy Malenkov Forces en présence

aujourd’hui, le vœu posé au sein d’un essai par un résistant coréen en 1947 semblait porteur d’un projet permettant l’unification pleine du pays. Cet essai s’adressant aux coréens est publié à la fin de l’autobiographie « Baekbeomilji » de Kim Gu. Kim Gu, est né en 1876, soit la même année que la signature du premier traité inégal du pays avec l’empire du Japon, le « traité de Ganghwa ». Opposant tout au long de sa vie à la domination japonaise sur la Corée, il est en parti connu pour être l’un

la guerre fait rage et cause la mort de 2 millions de personnes, le déplacement de millions de civils et des centaines de milliers de familles seront séparées. La paix est de nouveau établie le 27 juillet 1953 suite à l'armistice de Panmunjom. Kim iI Sung, secrétaire général du Parti du travail de Corée depuis 1946, prend des mesures législatives, inspirée du système communiste, afin de reconstruire l'économie de la Corée du Nord. Il réalise un plan économique, nationalise les industries et met en

communiste de type stalinien qui s’avère être aujourd’hui l’un des derniers vestiges du système communiste international mais surtout son élément le plus agité. Son « leader » Kim Il Sung, héros de la résistance contre l’occupant est le premier à avoir inscrit un principe dynastique dans un Etat communiste et même si son fils, Kim Jong Il ne détient pas le charisme de son père sa mainmise sur le régime reste totale. Toutefois au-delà de cette forme de gouvernement inédite la Corée du Nord a la particularité

2012 Le Soleil Objet : Mort de Kim Jong-il en Corée du Nord Après la guerre froide, beaucoup ont vu la chute du communisme en Union soviétique comme la disparition totale de ce mouvement en territoires eurasiens. Cependant, un pays dans le nord-est de l’Asie vit toujours sous ce régime, il s’agit de la Corée du Nord. Le dictateur qui était au pouvoir depuis 17 ans, Kim Jong-il, est décédé d’une crise cardiaque le 19 décembre dernier dans un train. Son fils Kim Jong un prend maintenant la relève

d'informations, on compterait environ une dizaine de grands camps en Corée du Nord il y a 12 ans, et six de nos jours ; le nombre de détenus ne cesserait de croître. On Sung au nord-est Hoeryung au nord-est près de la frontière chinoise et russe, camp n°22 Kyung Sung (Kyonsong) au nord-est, camp n°11 Duk Sung au nord-est Hoe Chung au centre Yodok au centre, camp n°15 destiné aux familles de « criminels » et aux « criminels » légers ; ce nom signifirait « enfer » pour les coréens ;

: « Signe, indice qui laisse prévoir quelque chose de dangereux, de nuisible » (Larousse). Kim Jung-un a fait de la menace son leitmotiv. Dans la nuit du 3 au 4 avril, le dirigeant nord-coréen annonce son intention d’ « écraser » le États-Unis par des frappes nucléaires, prétend qu’il est en mesure d’attaquer la Corée du sud et le Japon. Aujourd’hui, il met en garde les étrangers présents sur son sol. Kim Jung-un inspire la crainte. Un sentiment renforcé par le mystère entretenu autour du pays