Kim Il-sung

démocratique de Corée. Tout comme la République de Corée, celle-ci prétendait représenter l'ensemble de la péninsule. L'homme fort du nouveau régime nord-coréen était Kim Il-sung, secrétaire général du Parti du travail de Corée et ancien résistant à l'occupation japonaise. Leader d’un petit groupe de partisans coréens à partir de 1930, Kim avait en effet dirigé plusieurs raids contre les avant-postes japonais en Corée à partir de la Mandchourie où, enfant, il s’était réfugié avec ses parents. En 1941

bateau de guerre Sud-coréen. Suite à ça, le journaliste sera convoqué plusieurs heures par des agents nord-coréens. Tout est mis en œuvre pour cacher la pauvreté du pays aux yeux des français. Cette obsession de perfection a été initiée par Kim Il-sung, qui dirigea le pays de 1945 à 1994. Il est le fondateur de la Corée du Nord et est considéré comme le président éternel. Pour preuve on le retrouve partout dans le pays sous forme de statues, de photos ou de fresques. Le peuple Nord-coréen à quand

targue de la tutelle de l'ONU pour clamer qu'il est le seul gouvernement légitime de la Corée, bien que l'ONU ait seulement sanctionné la validité des élections dans le Sud. Dès lors, chacune des parties se croit légitimée à reconquérir l'autre. Kim Il-sung, affiche En 1950, l'armée de la Corée du Nord étant mieux préparée que celle du Sud, l'URSS semble avoir calculé qu'une courte guerre surprise donnerait une victoire facile, avant que les Américains aient le temps d'intervenir en force. Les troupes

Corée du Nord inchangée depuis des décennies Lorsqu'il est mort, le dictateur nord-coréen Kim Jong-il a laissé derrière lui un héritier presqu’officiellement désigné, son fils Kim Jong-un, âgé de seulement 29 ans. Le jeune homme était alors affublé de titres pompeux et prestigieux dont celui de général. Mais il était bien loin d'avoir l'expérience qu'avait accumulée son père lors de la mort de Kim Il-sung, le fondateur du régime stalinien nord-coréen, en 1994. Il est pourtant parvenu sans encombre

modèles économique. Cette guerre à également séparé en deux un pays : la Corée , effectivement la Corée a été coupée en deux : la Corée du nord qui est communiste (URSS) et la Corée du sud qui est pro-américaine. Le dirigeant communiste du Nord Kim Il-Sung, demande à Staline l'autorisation de renverser son rival du Sud Syngman Rhee. Staline n'essaya pas de l'en dissuader. En 1950 la Corée Nord qui est aidée par la Chine et L'URSS combat contre la Corée Sud qui elle est soutenue par les Etats-Unis

-1948 : le gouvernement de la Corée du nord refuse de reconnaître la légitimité des élections menées en Corée de sud sous l'égide de l'ONU pour affirmer qu'il est le seul gouvernement légitime en Corée. C'est le président de la Corée du nord Kim Il Sung qui peut ainsi légitimer l'agression de la Corée du sud dirigée par Syngman Rhee.>> ->> paragraphe détaillé B. L'attaque de la Corée du nord et ses conséquences - 25 juin 1950 , les troupes nord coréennes franchissent le 38

fondateur, Kim Il-sung, le 15 avril, qui donne habituellement lieu à des démonstrations de puissance militaire. De son côté, le Japon s'est également déclaré mercredi « en état d'alerte » pour intercepter tout missile menaçant l'archipel. Des missiles Patriot ont été déployés dans le centre de Tokyo et autour de la capitale, et d'autres devaient être mis en place sur l'île méridionale d'Okinawa. Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, âgé de moins de trente ans, qui a succédé à son père Kim Jong-il

d'influence *sur la péninsule A Un pays sous influence Depuis début Xxième siècle; Domination/occupation Japonaise après guerre Russo-Japonaise 1904-1905. 1945 Division acceptée Staline/Truman (EU remplacent Japon) Deux régimes clients: Kim Il Sung et Syngman Rhee (nationalists) B Une guerre classique de territoire et d'attrition Large opérations militaires (débarquement, blocus naval, confrontations territoriales) Des pertes et destruction massives (Seoul!) 'guerre limitée'?

l’URSS, du Comecon et aussi de la Chine. C’est un parcours sans faute de la Corée du Nord jusqu’à la fin des années 70. Le PNB de la Corée du Nord est supérieur à celui de la Corée du Sud. Dans les pays européens où le courant marxiste est en vogue, Kim Il-Sung, le leader nordcoréen, était vu très favorablement. Pour la France, jusqu’au début des années 80, les relations avec la Corée du Sud n’étaient pas très bonnes, et beaucoup d’hommes politiques soutenaient la Corée du Nord ce qui n’a pas facilité

passible du camp de redressement ou d’exécution. Le culte de la personnalité est porté à son paroxysme : Kim Il-Sung, le fondateur et le premier président de la république de Corée du nord est surnommé le " Président éternel ". Après sa mort, son fils, Kim Jong-Il, le succède et devient le leader incontesté appelé le " Dirigeant bien aimé ". Mais il meurt le 17 décembre 2011 et son troisième fils, Kim Jong-Un prend sa place de dirigeant le 28 décembre 2011 et devient le " leader suprême du parti et de