Koudougou

privés (informatique, bureautique, maintenance des équipements). Les Assises nationales de 2002 en ont recensés respectivement trois (3), (l’Université de Ouagadougou, l’Université Polytechnique de Bobo-Dioulasso et l’Ecole Normale Supérieure de Koudougou) et onze (11). Notons tout de même qu’en terme de capacité le rapport reste en faveur de l’enseignement public. On peut noter aussi, à partir tableau 2.5, que la privatisation concerne aussi le primaire. A la rentrée scolaire 1999/2000 il y avait

procurer de l’emploi à une fraction de la population. L’industrie reste dominée d'une part, par des industries alimentaires dans les villes de Ouagadougou, Bobo-Dioulasso et Banfora, et d'autre part par des industries textiles à Ouagadougou et Koudougou. 1.1.3 - Le contexte démographique Les variables démographiques jouent un rôle déterminant dans la planification de l’emploi. Leur connaissance permet non seulement d’expliquer la situation de l’emploi du moment, mais aussi de faire des prévisions

fréquentant ces établissements était de 25 756 pour le public et 17 416 pour le privé. Au niveau universitaire trois établissements assurent actuellement l’enseignement supérieur: • l’université de Ouagadougou; • l’école nationale supérieure de Koudougou (ENSK); • le centre universitaire Polytechnique de Bobo (CUPB). Le CUPB a ouvert ses portes en octobre 1995 et l’ENSK en octobre 1996. En 1994/1995 l’université de Ouagadougou assuraient de 9 452 étudiants. Déjà en 1993/1994, l’université comptait

dans les campagnes. Suivant le genre, 16,6% des femmes sont alphabétisées contre pratiquement le double chez les hommes. Au niveau des régions administratives, seules celles renfermant les grands centres urbains (Ouagadougou, Bobo Dioulasso et Koudougou) ont un niveau d’alphabétisation supérieur à la moyenne nationale (respectivement 61,6%, 29% et 23,3%). Lorsqu’on s’intéresse aux groupes socio – économiques, il apparaît que les agriculteurs et les aides familiaux sont les moins alphabétisés

ruissellement et d’érosion en nappe mesurés sur parcelles en zone soudanienne du Mali – Sécheresse 15, 1 : 57-64. YOUGMA F.R., 1994. Le développement du rôle du NEEM en association avec les cultures. Projet UNSO « Bois collectifs et familiaux ». KOUDOUGOU, Burkina Faso. Bull. Réseau Erosion n° 14 : 334-344. 115 STRATÉGIES TRADITIONNELLES DE GESTION CONSERVATOIRE ET DE RESTAURATION DES SOLS AU VIETNAM Ha PHAM QUANG*, Simon POMEL**, Nguyen VAN THIET*, Didier ORANGE***, Pascal PODWOJEWSKI***

d’habitants correspondant à une densité de 56 141 habitants au Km². Les principales villes du Burkina Faso sont : Ouagadougou (capitale politique et administrative du pays), Bobo Dioulasso (capitale industrielle et économique du pays), Koudougou, Banfora, Ouahigouya et Fada Gourma. A la différence du Sénégal, le Burkina Faso est un pays sahélien enclavé qui ne dispose d’aucun débouché sur l’océan Atlantique distant de 500 Km. Le taux moyen de croissance démographique du Burkina Faso est