Koulak

et qui se caractérisent tous par la volonté de faire table rase du passé ? Extrait : « la foi du siècle » + p.184-185 | Faire table rase de : | But idéologique | Stalinisme | Société de classes : éliminer tout élément capitaliste (bourgeois, koulak) | Paradis socialiste, société sans classes, dictature du prolétariat libre et maître de son destin | Fascisme | Parlementarisme, pluralisme politique, démocratie et socialisme | Unifier le peuple au sein d’un Etat qui donne une volonté unique et

de Serguei Eisenstein. C- L’emploi de la violence de masse. a- Les Etats totalitaires se dotent d’instruments de répression. • Une législation spéciale désigne les adversaires du régime. • URSS: des lois de 1932 sanctionnent les koulaks • Décembre 1935: base d’une justice expéditive. • Allemagne: suspension des libertés publiques, parti unique, pleins pouvoirs pour Hitler. DOC: Decrets des 28 fev et 24 mars 1933 En vertu de l’article 48 de la Constitution, est pris le

l'autorisation de l’Union des écrivains pour publier et les cinéastes produisent des films à la gloire du régime et des héros communistes.En URSS, la dékoulakisation a pour objectif de mater les résistances contre la collectivisation des terres. Les koulaks, des paysans aisés, sont touchés par la répression et environ deux millions de paysans sont déportés dans des camps. La famine dans les campagnes en Ukraine amène à la mort de plus de 6 millions de personnes.En URSS, plus de 15 millions de soviétiques sont

Staline appelle les "koulaks". Staline décide en 1929 de supprimer la propriété agricole privée. Les paysans sont regroupés de forces dans de nouvelles structures contrôlées par l'État. C'est la collectivisation. Les paysans riches, les koulaks, sont éliminés. La propagande anti-koulaks a un impact très important sur les violences que subissent les paysans refusant d'entrer dans le processus de collectivisation. Toute personne contre la collectivisation forcée est traitée de koulaks et est enfermée dans

synagogues et magasins juifs sont incendiés, des familles sont arrêtées et envoyées dans des camps de concentration. | En URSS, tout le monde est visé, mais on s’attaque par période (ou en permanence) à certaines classes sociales (les koulaks paysans propriétaires de leurs terres et hostiles à la collectivisation, les fonction-naires lors des grandes purges), ou à certaines nationalités (les Polonais) ou certaines religions (les Juifs) => « terreur au quotidien », ces ennemis étant

est d’achever la collectivisation entamée avec le secteur secondaire et éliminer les koulaks, qui sont des paysans enrichis grâce à la NEP. [32/7, p.78] Lettre du paysan Polzikov Mais contrairement aux dires des autorités russes, cette collectivisation ne s’est pas faite sur base volontaire. En effet, Staline n’a pas hésité à confisquer les réserves alimentaires et les moyens de production de certains koulaks, ou à déporter certaines populations. Ces différentes mesures expliquent pourquoi la

l’économie et la société. 1. En URSS, collectivisation et stakhanovisme • Dès 1929, Staline décide de mettre en commun la transformation forcée de l’économie en collectivisant l’agriculture et en procédant à l’industrialisation forcée du pays. • Les Koulaks sont exécutés ou déportés ( 5 à 6 millions de victimes) s’ils refusent d’entrer dans les kolkhozes (= fermes collectives). • Dans l’industrie, des plans quinquennaux sont mis en oeuvre en adoptant les objectifs irréalisables (dissimulés). Les ouvriers

À la mort de Lénine en 1924, il élimine un à un ses rivaux : Trotski, Kamenev, Zinoviev, d’abord, puis Boukharine et Rykov ensuite. Maître du l’URSS, il conduit une politique de collectivisation totale des terres, qui a pour effet d’éliminer les koulaks, et engage les pays sur la voie de l’industrie lourde en s’appuyant sur le travail forcé et le goulag. Parallèlement, les purges continuent. L’Allemagne ayant rompu le pacte germano-soviétique du 23 août 1939, Staline dirige « la grande guerre patriotique

Marfa Lapkina n’a toujours pas de cheval pour sa charrue. En désespoir de cause, elle attelle sa pauvre vache, qui finit par tomber d’épuisement sous l’oeil indifférent des autres journaliers (des paysans sans animaux qui tirent une herse, un riche koulak qui lui dispose d’un cheval) qui travaillent eux-aussi dans les champs voisins séparés par des barrières. C’est ici la propriété privée, les différences de richesse, le caractère rudimentaire du travail et l’égoïsme des paysans qui sont mis en évidence

l'opposition du peuple et en particulier du prolétariat miséreux né de la récente industrialisation de la Russie. L’ouvrier travaille trop, n’a aucune protection et ne mange pas à sa faim. Dans les campagnes, quelques 30000 paysans moyens et riches (les koulaks) possèdent 10 millions d’hectares et s’en tirent bien. A côté, 10 millions de paysans pauvres se partagent les 75 millions d’hectares restants. Bref, au sein de la paysannerie, les disparités sont grandes. Paradoxalement, c’est pourtant là que se